En Avent 17: cher.

Bon... Cher...

Je n'ai pas envie, non, de parler du prix du chariot de courses (nous mangeons, du cuisiné maison avec des ingrédients si possible locaux, pour le moins français, de saison et le moins possible emballés (voire suremballés)), de la facture de carburant (nous habitons à 5km de la première épicerie, du premier café, à 7 de la première pharmacie, à 20km de la première ville, à 60km de notre médecin), de la valeur de nos biens les plus précieux (? une maison et une voiture dont les emprunts ne sont pas soldés, des meubles de seconde main, un ordi hors d'âge...).

Je papote de ceux qui me sont chers à longueur de billets, ici, et depuis 18 ans (dans 10 jours).

Alors... Que dire qui ne l'est déjà été?

D'ailleurs... Qu'en ai-je déjà dit?

Je lance une recherche, "cher", sur le blog.

 Et, si le cœur vous en dit, le fruit de la recherche est ici.

Un assortiment qui saute de 2010 à 2025, qui bondit et rebondit du Cher (la rivière, qui est inclue dans le nom de notre département Loir et Cher), avec un resto gagné avec une photo, d'une manif à Paris pour défendre nos services publics trop chers, des travaux avec l'achat du poêle, une balade dans les airs (qui apparait parce qu'en Loir et Cher), des balades, des visites, des voitures en panne ou accidentées, des fêtes, des jeux, des voyages, de la culture...

Bref! Cher, mais sans parler de prix (ou presque).

(Hey, pour quasi 10€, j'ai acheté un lecteur de carte mémoire qui fonctionne et, du coup, ai retrouvé les photos de la balade de la semaine dernière!)