mardi 28 août 2018

Le mot en couleur. Août.

Pour août la couleur beige et le mot repos.
Repos avez vous dit?
C'est fini...
Le mois d'août est quasi déjà disparu, Gilles et moi, avons déjà retrouvé le chemin du boulot. 
Arthur, lui, ne l'a pas quitté (et c'est... Hip, hip, hip!!!)
Le mois d'août, repos?
Oui. Et non.
Oui parce que, à part Arthur, pas de réveil.
Non parce que je n'ai plus/pas besoin de réveil pour me réveiller. 
A l'heure des poules.
Repos, oui, chaque chose à son rythme.
Repos, non, j'ai écrit, j'écris... J'ai fait à manger, j'ai fait à manger, j'ai fait à manger, j'ai...
Je me suis fait du soucis, je me fais du soucis, pour Victor. Pour sa rentrée, pour l'avenir de sa formation, pour le logement qu'il va falloir trouver, pour...
Repos, donc. Beige?
Ben... C'est la couleur du paysage maintenant.
Des prés grillés, des champs déjà retournés, de la terre qui s'envole en poussière...
Beige?
Pas mon humeur en tout cas!
Entre le rabiotage de "pouvoir d'achat" (Je vomis ce terme. Ne "calculer" les gens que sur leur possibilité à consommer...) des plus fragiles pendant que l'on embauche un type pour 4,25 millions d'euros annuel (Je n'arrive pas à concevoir ce que l'on peut faire avec autant d'argent...) et le permis de chasse (national) diminué de moitié tout en augmentant le nombre de proies possibles. J'ai entendu ce matin à la radio un responsable de la chasse, si bien reçu par sa royale majesté Mac Rond, dire que les chasseurs étaient les premiers défenseurs de la nature. A part égale avec les agriculteurs traditionnels?
Et puis il y a ces gens qui m'expliquent que je ne doit pas, c'est mal, c'est très très mal, ça prépare le terrain aux prédateurs (!!!) faire d'éducation sexuelle à l'école...
Alors beige?
Non...
Ceci, il faut que je me grouille si je ne veux pas être en retard au boulot.

dimanche 26 août 2018

Vert, c'est vert!

Ce samedi se décline sur cette couleur.
A commencer par le pic vert que Gilles a réussi à prendre en photo par la fenêtre (si on s'approche, il file à tire d'aile).
En fait ils sont deux, un couple, qui fréquentent assidument la "pelouse", devant et derrière la maison.
Puis c'est Annaïg et Hervé qui sont venus se mettre au vert (en fait leur jardin urbain est aussi, voire plus vert que le notre) quelques heures dans notre campagne. Nous avons du rester à l'intérieur pour manger, il faisait froid (relativement, hein, par rapport à l'été), il a même pleuvioté...
Cela ne nous a empêchés d'apprécier d'être ensemble. Au contraire!
Et puis, le temps s'est amélioré.
Nous avons fait un tour au jardin.
J'ai dépendu le linge, qui avait séché quand même.
Nous avons fait un tour au poulailler, Gilles et Hervé ont trouvé le nid "sauvage".
J'ai étendu une nouvelle lessive.
Et nous sommes allés nous promener.
Nous avons "fait" une classique.
Le lavoir du Vau...
(et ses reflets si... J'adore! Je pourrais y rester des heures!)
(le tunnel, bien caché)
...l'ancienne voie ferrée du bois de Pineau.
(La ligne Paris Tours (?), bombardée à Fontaine les coteaux (?))
Nous n'avons rencontré personne.
Suzanne a râlé, un peu. Pourquoi faire l'aller s'il faut revenir sur ses pas?
Et puis elle connaissait déjà, elle est déjà venue.
Puis elle a trouvé des plumes de geai (elle a arrêté de râler).
Mais le geai est resté caché, on ne l'a même pas entendu!
Suzanne a trouvé des fougères trop top, qui font comme des plumes en géant, qui font comme les palmes dans Cléopâtre.
N'est ce pas?
Bref, nous avons fait l'aller, puis le retour.
Nous sommes repassés par le lavoir.
(re photos. Je vous l'ai dit? Je ne m'en lasse pas.)
Nous avons trouvé, cueilli et mangé des mûres.
Nous avons fait coucou aux vaches qui n'ont pas daigné s'intéresser à nous.
Puis nous sommes rentrés.
L'après midi touchait, déjà, à sa fin. 
Et Suzanne était en manque!
Alors, nous avons suivi Annaïg et Hervé, qui repartaient, jusqu'à Savigny où Suzanne (pas moi pour une fois je suis restée de l'autre coté de la barrière)  a pu profiter de la piscine une demie heure.
Samedi pré retour au travail.
Ben si, hélas, Annaïg, la reprise est proche.
Très, très proche...

vendredi 24 août 2018

Yeh!

Je ne veux pas!!! Non, non!
Mais ce n'est pas moi qui décide... 
Il est des choses qui sont inéluctables (heu... En fait on l'espère, malgré le fait que nous avons bien pourri la planète). 
Je ne veux pas mais les temps changent, l'été s’essouffle...
Le temps change. Aussi.
Alors lundi, dernière séance, nous sommes allés, Gilles, Suzanne et moi, au cinéma, voir les Indestructibles II.
Nous aurions surement mille fois mieux apprécié si la famille assise derrière nous n'avait pas piqueniqué, chips, boissons et bonbons du début à la fin du film.
Nous n'avons pas, nous sommes trop bien élevés, nous, osé faire un scandale, pas osé déranger les autres spectateurs en déménageant dans le noir...
Bon, nous avons récupéré Clovis...
...qui a repris ses habitudes au skate parc.
Mardi Simon a continué...
...et terminé la réparation de la Dyane.
Et Gilles est venu m'aider à aménager ma classe.
J'ai repris la travail à temps partiel, quelques heures par jour.
A l'école j'ai croisé quelques collègues...
La "machine" commence à chauffer.
Jeudi j'ai fait une pause d'école.
J'ai fait une pause orthodontiste avec Clovis.
Un monsieur me regardait surpris/inquiet/interrogatif.
Je n'étais pas comme les autres visée à mon portable, j'écrivais.
(Je continue, plus doucement, à travailler sur mon projet d'écriture)
Quand nous sommes rentrés Bernadette, en soins intensifs depuis 4/5 jours, était morte et enterrée. Zut! C'est con mais on s'attache...
Simon, Gilles avait préparé le repas (un kilo de spaghettis pour 4 (pour 3 1/2, Suzanne mange comme un moineau, pour 2, Clovis avait mal aux dents suite à la révision de son appareil le matin), puis nous avons fait une petite sieste. Nous étions en train de végéter, un peu, devant une série quand Arthur, rentré tôt, est venu nous chercher pour nous montrer ce qu'avait repéré Olmes.
Là, sous la maie de l'entrée.
Puis, quand j'ai retiré le panier derrière lequel elle était planquée entre le mur et la maie.
Oui, dans l'interstice...
Et Gilles ne... Bref, il n'aime pas ça. Pas du tout ça!!!
Alors, après avoir hésité à nous en occuper nous même, nous avons appelé les pompiers. Nous avons surveillé la bestiole en attendant qu'ils arrivent pour qu'elle ne file pas dans un lieu plus inaccessible.
Et en deux mouvements...
La voilà.
Dans la boite.
Bon, ils ont la technique. Et ils étaient trois. Avec des bottes et des gants.
La voilà. La vipère.
Elle n'était pas très heureuse dans la boite. Un peu énervée.
Victor aurait adoré!!! Il aurait surement proposé de l'adopter.
Mais c'est dans un bois que les pompiers l'ont relâchée...
Loin de la maison pour qu'elle n'ait plus l'idée d'y revenir (ça se trouve elle était là depuis un moment. Je suis bien contente d'avoir des chats. Surtout que l'un comme l'autre sont super efficaces à la chasse!).
Voilà, voilà...
Re piscine...
Où je croise de plus en plus d'élèves, anciens, futurs, de parents d'élèves, de collègues.
Et l'on parle... École. Rentrée. Bien sur.
Sur ce, j'y vais.
A l'école.

lundi 20 août 2018

Avant d'aller bosser...

...à l'école, parce que si je reste à la maison je vais trouver plein d'autres choses à faire bien plus... Moins... Je vous raconte un dimanche d'Août en Loir et Cher:
11h, ils sont tous levés. Midi trente, pendant que Gilles prépare le barbecue et qu'avec Carole j'épluche les pommes de terre ils "jouent" à faire des dictées.
Ils jouent à faire des dictées!!! Et ça les amuse beaucoup...
Simon, lui, a repris du service en tant que mécano.
Il faut remettre en état de fonctionnement la Dyane qui s'est reposée tout l'été.
Merci Simon!!!
Un Clovis passe...
Apéro, repas, sieste...
...tout se mêle,...
...s'emmêle plus ou moins.
Et papoti, et papota...
Changement de lieu de démontage, à l'ombre.
La Dyane a démarré et est arrivée jusque là. Alors j'ai bon espoir.
Mais, bon, ils en enlèvent beaucoup, non?
Ça ronronne un peu, mollement quand une décision est prise: 
Nous allons à la piscine!
Oui, ça a pris presque une heure entre la décision et la mise en œuvre de la manoeuvre...
...et Clovis et Vava, autrement occupés, ont passé leur tour, mais nous avons migré à la piscine municipale (photos interdites). Nous ne sommes pas passés inaperçus, bien entendu.
Clém a été fait sifflé deux fois (pour jeté de Suzanne, pour porté de Suzanne. Suzanne a ronchonné, Clém a cherché quelle bêtise il pourrait faire pour se faire siffler une troisième fois et a fini par renoncer. Simon a trouvé que trop de rigueur tue le plaisir de la piscine.). Ils se sont quand même bien amusés.
Et tout le monde était frais pour le troisième (ou quatrième) round de trucs à grignoter pendant que Simon volait au secours du pot d'échappement du camion de Vava et Carole.
Voilà, voilà! Ils étaient sur le départ (presque) ils attendaient juste que j'ai terminé ma conversation au téléphone avec Victor, qui donnait de ses nouvelles. Remarquez (vous pouvez cliquer sur l'image pour agrandir) les têtes de Clém et de Suzanne...
Ils ne voulaient pas partir "trop tard".
Ils sont partis vers 20 heures.
C'est jamais trop tard quand on est bien, non?