Dimanche.
Si je me mets en pause de parents (je peux, et je ne me suis pas gênée, cocher la case indisponible)...
Si je me mets en pause de parents (je peux, et je ne me suis pas gênée, cocher la case indisponible)...
...j'ai quand même pris les choses en main au niveau du bureau.
Parce que là ce n'était plus tenable!
Entre les papiers habituels, factures et autres joyeusetés, les affaires de classe de Suzanne et les miennes... Arg!
Là... C'est mieux!
J'ai aussi profité de mon dimanche pour essayer de faire fonctionner un vieux blog tout pourri (agréé éducation nationale, soupir!) pour l'école.
Je me souvient du temps, lointain, où il avait été créé. Je m'y étais déjà arraché les cheveux.
En bien, définitivement, c'est pourri.
Lundi, à l'école.
J'y accueille une gamine.
Dans la journée, passée à transmettre des documents aux parents qui ne possèdent pas d'imprimante (j'en connais qui recopient les exercices pour que leurs enfants puissent les faire), à faire du dépannage téléphonique de parents largués avec les applications, j'apprends que nous allons toucher des masques et du gel pour pouvoir assurer cet accueil en sécurité.
N'en déplaise à Sibeth je vais apprendre, vite fait, à mettre un masque.
Je rentrerai plus sereine.
Je rentrerai plus sereine.
Et grâce au cadeau reçu à travers la grille, dans une enveloppe fermée, en échange de documents pour l'un de nos élèves, nous, profs "de garde", allons pouvoir entretenir notre moral et nos corps de rêve. Merci F! Tu as tapé dans le mille.
Quand je suis rentrée j'ai trouvé la maison en pleine activité.Gilles dans son jardin et les gosses par ci, par là.
Mais j'étais fatiguée.
Et les chiens ont attrapé Olmes (l'effet de meute), l'auraient bien blessé, tué, si l'on était pas intervenus rapidement. Gros coup de stress.
Heureusement chacun a fait des efforts pour que le repas, que j'ai préparé, se déroule sereinement.
Oui, de la sérénité...
Vous avez la recette?