dimanche 29 juin 2025

Les 52 de Virginie: "maison"

26éme semaine du défi photo de Virginie et nous voici à la maison!
Où, comme souvent à cette heure matinale (pas tant, il est 8h26), je suis la seule éveillée (et je le savoure).
Je "risque", de l'être, seule, un moment, pour la plupart (la maison est pleine) ils n'en sont qu'au début de leur nuit (moi je suis allée me coucher quand Victor, Emma et Apolline sont partis, j'ai vaguement entendu Clovis et Coline partir un peu plus tard)...
Je les ai entendu rire, dans le jardin, dans la cuisine...
Gilles les a pris en photo dans le trampoline (elle est chouette, cette photo!!!).
Suzanne et ses copines, et son copain (pas petit), dorment.
Au moins l'un (l'une?) d'entre eux sur la mezzanine.
Alors le rangement de la cuisine, vider le lave vaisselle, le re remplir, attendra.
Comme attendent les grolles dans l'entrée (devrais-je prévoir une étagère "invités?").
J'ai tout ouvert, l'air, encore frais, traverse les pièces. 
Tout comme le chants des oiseaux (la musique de karaoké des voisins (Suzanne et sa troupe reprenaient, à tue tête, certains refrains) en fête, eux aussi, c'est tue il y a quelques heures).
Dès que le soleil donnera sur la façade je refermerai.
Quand ils se lèveront le soleil sera haut et chaud, la maison fraiche.
Hop! Un petit tour dehors...
...avant que les températures ne montent.
Maison en mode "été" et...
Qu'est ce que c'est bien de vivre ici!

samedi 28 juin 2025

Coquecigrues et comptes incongrus.

Cela faisait quelques jours que je n'avais trouvé ni le temps (entre les allers retour pour Suzanne et les conduites à l'école de Bastien), ni l'envie (oui, coup de flemme), de marcher le matin (et l'après-midi encore moins (au lieu d'aligner les pas (que mon podomètre ne compte qu'à moitié, d'ailleurs), pendant les entrainements de Suzanne, j'enfile les chapitres assise "au frais", au bord du Loir)).
Mais hier matin, hop, j'ai repris la clef des champs.
Et mon appareil photo qui dormait un peu ces derniers jours.
Voilà un bol d'air et quelques fleurs.
De quoi évacuer des idées, et de menus tracas qui s'incrustent.
(les avions, militaires et très fréquents (entraînement pour le 14 juillet?) inquiètent Suzanne)
(le soleil, et sa chaleur, ont percé les nuages)
L'anniversaire de Suzanne, avec ses copines/copain, se réduit comme une peau de chagrin (et lui en provoque): deux copines du lycée ont annoncé, en milieu de semaine, que tous comptes fait, la route était trop longue, elles ne viendraient pas (même si Suzanne (enfin, moi, conduisant Suzanne) l'avait faite pour aller à l'anniversaire de l'une d'elle). 
Et puis les jumelles, ses copines depuis l'école maternelle, lui ont fait faux bond, elles auraient des obligations bénévoles (invitation acceptée il y a plus d'un mois).
Mouaip! Pour le moins pas cool...
Suzanne a pris le parti de se concentrer sur celles/celui qui seront là.
Elle a préparé des gâteaux, rangé sa chambre (sac poubelle en stand by dans l'entrée), élaboré des plans de déco.
Et, pour ne pas gâcher, proposera à ses frères, les places réservées au laser game.
Et puis... Je ne dois pas, mais c'est plus fort que moi, je me tracasse pour Arthur et sa voiture.
Il n'a pas encore réparé les dégâts (mais les pièces commandées encombrent le bureau et le salon depuis...), provoqués par le voisin lui rentrant dedans, qu'il... S'est tapé un chevreuil en rentrant du travail (évidement les dommages sont à l'opposé des premiers!).
Ceci dit, j'ai effectué l'examen demandé par mon médecin et j'ai, dixit le spécialiste, des artères de jeune femme. Cool!
Et puis, est-ce lié à mes nouvelles lunettes? je n'ai pas fait de migraines depuis des jours (semaines?).
Encore que...
C'était moins une hier soir!
Cynthia nous avait invités (comme nous prenions en charge Bastien, à la sortie de l'école (décalqué par une journée de répétition, sans sieste) et jusqu'à ce que ses parents, qui travaillaient tard nous rejoignent) à la fête de l'école de Bastien. 
Et, après avoir longuement hésité, nous avons accepté.
Nous nous sommes donc retrouvé à cuire dans une cour bondée (pas de bancs pour les spectateurs, mais Arthur nous en a trouvé (pliés, bien rangés?) quand nous nous sommes réfugiés au fond, le long d'un mur) après avoir fait la queue, bousculés et échouis, pour que Bastien soit maquillé (le pauvre a été refoulé deux fois, il fallait un ticket, puis une gamine, apparue comme par magie, était là "avant").
C'est là, alors que Bastien, en pleine détresse (les petits de sa classe sont passés les derniers et ont  attendu, de longues minutes (presque une heure) que se déroule les "pestaques" des autres), passait de crises de larmes à sa tête des mauvais jours (comme il fallait s'y attendre, sur scène, il n'a fait que figuration, ne comprenant pas du tout ce qui ce passait), que nous avons essayé de faire le compte des fêtes d'école auxquelles nous avons participé (je passe sous silence celles que j'ai bénévolement assurées dans le cadre de mon travail (en maternelle nous avions bouleversé les habitudes pour proposer autre chose que cette tannée (pour les gamins comme pour les enseignants) de spectacle de fin d'année), et...
De 1993, première de Simon, à 2016, dernière de Suzanne... 23!
24 avec celle-ci (qui est très loin, voire en dernière position, dans le classement des "chouettes" fêtes d'école).
Heureusement, pour Bastien, qui une fois qu'il eu mangé, et enfilé son pyjama, a retrouvé son allant, et pour nous, la soirée s'est prolongée dans la rue, privatisée (hop, quelques plots), de Simon et Cynthia, où les participants, du quartier, à la fête d'école, gosses, parents, grands parents, se sont retrouvés pour un "barciou" (Bastien n'en démord pas, c'est un barciou) fort sympathique (ils remettent ça la semaine prochaine avec une fête des voisins).

jeudi 26 juin 2025

Mystère et poules d'orage.

"On s'est fait avoir!"
Affirme Gilles (Notez le "On", très pratique, qui est moi/je/Anne, puisque c'est moi qui effectue les commandes, les réservations, les coups de fils, les prises de rendez-vous...) en parlant de la "chinoiserie" de porte de poulailler, automatique, solaire (mais qu'il faut recharger depuis quelques temps).
En effet...
Cette nuit (ce matin plutôt, en début de nuit cela grondait plus au sud, il y a eu de gros dégâts autour de Chambord, semble t-il) nous avons eu un bel orage. 
Arthur est rentré du travail juste avant son apogée, se mettant à l'abri avant les trombes d'eau et les impacts de foudre les plus proches.
Malgré qu'il ait affirmé, et réaffirmé, que cette histoire d'orage n'était qu'une histoire, Gilles (qui ne s'est absolument pas réveillé, n'a pas bougé d'une oreille alors que je descendais voir comment Suzanne qui ne raffole pas de ce genre d'intempéries, allait) avait correctement tout fermé.
Mais les poules, mouillées, étaient dehors quand je suis allée ouvrir le poulailler. Qui était fermé.
?
La porte s'ouvre t-elle pour se refermer ensuite?
À moins que nos gallinacés ne soient des Poudini?
 Mystère...
Et sinon, à part ça,...
Le yoga et le club photo sont en "congé" jusqu'à la rentrée (de toute façon mon port USB/clef, qui me permet de charger mes photos, a disparu depuis que Gilles l'a débranché pour souffler l'ordi (qui en avait grand besoin!)).
Pourquoi?
Ceux qui les fréquentent ne vont pas à l'école...
Les locaux ne sont pas non plus liés aux établissements scolaires.
C'est une énigme, là aussi.
Autres ténèbres à éclaircir:
BAC (aller retour, hier, de Suzanne (en bus, nous avions les chicoufs en garde), au Mans, pour y passer le grand oral (pas ravie, la fille, de sa prestation)) et avenir... Son nom progresse dans les listes d'attente.
En espérant que cela se débloque rapidement pour que l'on puisse passer à la phase suivante, inscription, recherche de logement et autres réjouissances.
D'autant plus qu'elle commence à travailler dans douze jours, et pour un mois et demi (il faudra l'y conduire, la récupérer).
Alors autant dire que la piscine de Mirabeau (dont je gère, à distance, l'entretien (et, bien sûr, la panne du bidule qui teste et dose le sel et le PH) (Je vous ai déjà dit que jamais, oh grand jamais, je n'aurai de piscine?) (ainsi de des problèmes d'éventuelles fuites entre le compteur, à un kilomètre de la maison (Oui, vous avez bien lu: le compteur est à un kilomètre de la maison, le long d'un chemin, sur un terrain ne nous appartenant pas), et le robinet d'arrivée à la maison, qui est fermé)) nous ne la verrons qu'en photo, cet été.

dimanche 22 juin 2025

Fusion du jour J et de "soleil" (52 de Virginie)

Et je vous narre, aujourd'hui, 25 éme semaine du défi de Virginie, l'évènement qui nous a occupé ces derniers jours...
Et pour lequel le thème "soleil" est tombé pile poil!
(des ilots de repos avaient été créé, ils ont été investis)
Même si les photos ne montrent pas vraiment le soleil (écrasant, 33° au plus chaud de la journée) qui nous a été accordé.
 
À la fois un allier précieux, qui nous a permis, journée la plus longue de l'année, de prolonger la fête, et élément, omni présent, dont nous avons dû nous protéger.
Cela a commencé par deux matinées de cuisine, Coline aux gâteaux, moi aux salades et quiches.
(Arthur a distribué des t-shirt à tous les imprévoyants, sans change, qui n'ont pas résisté à l'appel de l'eau)
Puis, tables récupérées (voisin et Simon) nous (Victor, Gilles, Simon et moi) avons passé quelques heures (après un peu de tonte et d'élagage (après que Gilles se soit cogné dans la branche) de "fignolement") à l'installation de voiles d'ombrages et autres barnums, sous, à coté des arbres, pendant qu'Emma peaufinait la déco avec une copine.
(vous les voyez, les deux papis, qui font pression pour augmenter la force des jets d'eaux?)
Puis les invités sont arrivés, nombreux (frères, sœur (des deux cotés), parents et grands parents, amis, de Victor et Emma, d'autres, à nous), de tous lieux (la famille d'Emma, directement de Bretagne), les bras chargés de cadeaux.
(chahut fraternel...)
S'en est suivi des heures de repas à l'ombre, de jeux dans l'eau, ou pas.
(Simon a assuré l'ambiance musicale, bien entendu)
L'héroïne de la fête, organisée par ses parents (chez nous, vous l'avez compris), Apolline, a accepté que Suzanne souffle, elle aussi ses bougies. En fin d'après midi, une demie douzaine de fous sont allés faire un tour en kayak sur le Loir (les gars, les papis et Suzanne) pendant que le calme s'installait doucement et que les petits allaient au lit. Puis tout ce beau monde, est reparti chez lui (ou pour la fête de la musique (Clovis et Coline)), ou est resté dormir (ce qui nous avait obligés à ranger, trier, jeter, les chambres de Victor et de Clovis, la mezzanine) (Victor, Emma, son papa, sa sœur, son compagnon, leur fils).
Voilà, voilà...
La descente est adoucie par un dimanche tranquille: petit déjeuner avec une cuisine pleine comme un œuf (œufs que les petits sont allés chercher au poulailler (et ils ont caressé la poule rousse (qui veut bien) malgré la frousse de leurs mamans), départ des bretons, rangement tranquille, amassage de sacs poubelles (et de cadeaux dans le coffre de la voiture), pliage de voiles, de chaises, de tables, reconfiguration en mode quotidien du jardin et de la maison. 
Repas de restes et sieste.
Pour terminer, il faut bien, pour Victor, Emma, Apolline, Gilles et moi, par la visite d'une chèvrerie et sa fromagerie (par cette chaleur, le kit de visite, casaque, charlotte, surchaussures et masques, en plastique, et c'est le sauna individuel assuré!! (dommage, nous étions "beaux", j'avais oublié mon appareil!)).
Week-end dense!!! 
(heureusement, demain c'est le week-end, nous allons pouvoir nous reposer!)