Quand il est question d'orientation (et d'organisation. Encore!).

Ça démarre tôt le matin samedi:

Tirer du lit un Clovis léthargique pour aller faire une prise de sang.

Et voir les minutes s'accumuler dans la salle d'attente, 5, 10, 20...

Alors que j'ai rendez vous.

J'ai même des rendez vous.

Avec des passagers. 4.

Que je réussi à embarquer à l'heure (ouf!) pour aller à Paris.

Pendant la première heure de trajet j'ai eu... Un doute. 

Covoiturage égal convivialité, non?

Là... Silence. A part les conversation téléphoniques des uns et des autres, les ronflements du seul monsieur monté à bord...

Mouaip! J'ai tenté quelques lancements. Puis j'ai laissé tomber.

Heureusement nous avons fait une pause pipi.

Et là tout c'est détendu!

Les passagers arrière, une famille, papa, maman, la jeune fille, m'ont offert des falafels.

Et la conversation c'est engagée. Surtout que, rapidement, ils se sont rendus compte, qu'ils connaissaient la dame qui était devant (en même temps la communauté africaine de Vendôme n'est pas si étendue..).

Nous sommes arrivés porte de Versailles tout à fait détendus (sauf moi peut être un peu nerveuse à cause du nombre de voitures, la façon de conduire des parisiens...).

Puis j'ai rangé la voiture dans le parking souterrain (mais pourquoi il y a autant de poteaux dans un parking souterrain?) et je suis partie à la recherche de Victor et Emma. A l'autre bout du parc des expos (navette puis trottoirs roulants noirs de monde).

A l'autre bout du parc, sinon c'est pas rigolo.

Et puis une fois que je les ai retrouvés nous avons fait le chemin inverse (trottoirs roulants noirs de monde puis navette) .

Parce qu'il faillait déposer les sacs dans la voiture (Victor arrivait de Lille, Emma de Rennes), à l'autre bout du parc (sinon c'est...).

Voilààààààà...
Nous y sommes! Pause pipi.
Et c'est parti.

Exploration de filières, dégotage d'écoles qui vont bien (mais qui coûtent!!! Gloups!),...

Bruit, chaleur et piétinements...

Emma et moi avons carrément sombré, quand installées dans le canapé d'une grande école (quelle belle idée) Victor nous a perdues en engageant une discussion sur les langages de programmation informatique. Oui...

Voilà, voilà...

Nous sommes sortis de là vers 16h30.

Et nous n'avions toujours pas mangé (sauf les falafels, bien sur!).

Alors nous avons cherché l'association fort commode d'un resto rapide et d'un parking.

Ben, à Paris y'a pas!

Alors nous avons pris le large, nous avons traversé la périf, évité l'autoroute proposée par le GPS (accident camion/car) et nous sommes dirigés vers le nord (notre destination finale).

Nous avons atterri dans un truc américain (avec parking et sans poteaux).
Où nous sommes tombés sur... Benoit! Qui n'avait pas eu le temps non plus de manger.
Qui avait choisi le même endroit que nous à la même heure!!!
On aurait voulu le faire exprès on n'aurait pas pu y arriver.

Ah.... Ça va mieux!

Et ça va carrément bien quand arrivés chez Nanette et Françoise nous avons été soignés aux petits oignons. La totale: apéro, repas miam et nuit de repos.

Avant d'aller squatter pour le dimanche midi dans le charmant loft de Benoit et Chloé.

Puis après quelques coups de fils de coordination (vive le portable! Vive blablacar!) nous sommes repartis pour une odyssée à travers Paris:

Premier arrêt pour déposer Victor porte Maillot (covoit pour Lille)

Second pour Emma au métro la Motte-Picquet - Grenelle (covoit Rennes).

Nous avons traversé de très beaux coins que j'étais frustrée de ne pouvoir photographier (mais avec les mains sur le volant et le nombre de voitures, la façon de conduire des parisiens...). Heureusement Emma a bien voulu prendre deux trois clichés à la volée avec mon appareil.

Emma déposée j'ai rejoins la porte de Versailles et j'ai ré embarqué 4 passagers. 

Dont une de la veille.

Et l'ambiance a été chouette tout au long du trajet.

Oui, oui. Et vous pensez bien qu'il faisait nuit quand, tous mes compagnons de voyages déposés à bon port, je suis arrivée à la maison. Où ils s'étaient tous très bien débrouillés sans moi. ;-)