Oui, oui, ce sont bien des graminées, là devant le capot de la Dyane. Et David, à pied, qui ouvre le chemin, dix mètres devant est déjà invisible. De l'herbe jusqu'aux aisselles...
A cause de ces reconnaissances...
Oui, ces, au pluriel, vu que la première a abouti à un chemin bouché, clôturé, servant d'aire de stockage pour du fumier, pour des branches en tas de trois mètres...
Ne rigolez pas!
Perdus dans la pampa Sarthoise, dans un coin qui s'appelle la "Borde Panvert" et où la maison a un pignon peint en bleu de prusse, une façade en rouge sang... Heu...
Alors Simon a pris les choses en mains, avec Arthur comme arpette pour le moteur... Et Gilles en a profité pour retaper un peu le siège conducteur bien malade...
Cela a duré jusque tard dans la soirée. Cela a attiré les voisins. Et la Dyane a finis par redémarrer... Hier soir. Tard. Je vais voir ce matin...
En tout cas maintenant elle est propre... Comme la Dacia que Gilles a nettoyé avant que je lui ramène "sa" Dyane malade... Rohhhh... J'me sens encore plus bête de l'avoir mise en panne!!!
La Dyane, c'était la voiture de mon grand-père ! Il en prenait grand soin !
RépondreSupprimerDis donc sont bizarres tes chemins ! ;) Pas étonnant que la Dyane n'ait pas résisté ! ;)
Bon, du coup elle a pris un bain de jouvence !
Nous avons acheté la Dyane il y a 15 ans. Je l'ai conduite une dizaine d'années et j'adorais! Maintenant c'est Gilles qui l'utilise le plus souvent. Oui, grâce à cet encrassement involontaire, les agriculteurs du coin ne sont pas très respectueux des chemins, se les annexant souvent, elle a eu droit à un traitement de première classe!
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