mercredi 16 juillet 2025

Fête nationale, festivités,... ou pas!

Suzanne travaille et, contraintes kilométriques, transports en commun restreints, nous faisons des allers retours.
Les premiers jours, un aller le matin, un retour en milieu, un aller en fin, d'après midi, un retour en milieu de nuit...
Depuis samedi, où Arthur et moi lui avons tenu compagnie à la piscine, elle reste en ville pendant sa coupure (à la salle de sport avec Arthur, chez une copine ou chez Clovis).
L'air de rien cela allège notre emploi du temps (même si le retour à pas d'heure (il nous faut attendre son message: "je termine dans 30 minutes" pour savoir quand elle termine son service) est source de tracas pour Gilles (une fille, la nuit... Cela met Suzanne en rogne de le voir s'inquiéter, elle a l'impression qu'il n'a pas confiance en elle)).
Bref...
Dimanche fut un dimanche de vacances (sauf pour Suzanne, vous l'avez compris).
Où nous avons fait une sortie, avec Colette et Louise,...
...rejoints par Simon et Bastien:
Nous avons pique niqué, à l'ombre des tilleuls, au pied des murs...
À 50 minutes de la maison, dans un coin du Loir et Cher que nous connaissons...
 ...mal (nous ne sommes pas très Beauce).
Et c'est une jolie découverte!
Dans un village minuscule un château magnifique!
Qui abrita, Cassandre, la muse de Pierre de Ronsard...
Nous avons tranquillement profité des lieux.
Romantiques à souhait!
Rohhhh...
Bastien: "Pourquoi ils ne bougent pas, les oiseaux?"
Énorme pressoir (depuis longtemps les céréales, les betteraves et autres pommes de terre (et, depuis quelques années la... lavande!) ont remplacé les vignes)!
Puis Colette, qui connait déjà les lieux, s'est assise à l'ombre pendant... 
...que nous baguenaudions dans le jardin.
Bastien a adoré courir autour des buis, jouer à se perdre...
Pause fraicheur, et plaisir de profiter du sourire de Louise.
Brassée de fleurs avant de repartir.
Mais la journée n'était pas terminée, 13 juillet égal feu d'artifice.
Alors nous (Gilles, Arthur, moi, rejoints, encore une fois par Simon et Bastien) avions prévu de "profiter" du trajet pour aller chercher Suzanne pour aller voir le spectacle du haut du côteau.
Nous avons trouvé une place au sommet.
Mais le feu était tiré derrière les arbres (qui ont poussé depuis le repérage il y a des mois) et derrière des gens (sans gène qui arrivant après nous se sont placés devant nous). Et Suzanne que nous devions récupérer, a terminé très tard, et... Changeant d'avis, alors que nous l'attendions, a décidé de rester dormir chez une copine...
Ok.
14 juillet...
Chasse aux poules évadées (celles qui sont arrivées récemment), menus travaux et repos.
Retour de Suzanne.
15 juillet, aller pour Suzanne, courses et jardin.
Pendant que Gilles empoussière tout le quartier tond la jachère et ramasse le foin, entassé dans le potager, je déronce les plates bandes et le tour du poulailler (dont nous avons renforcé les clôtures).
En parallèle, en même temps, j'ai inscrit Suzanne à sa formation et je lui cherche un logement.
Et, surtout ne pas se relâcher, je "travaille" à la préparation de la rando de la semaine prochaine.
Qui s'annonce... Heu...
Comment dire?
Mes claquettes de marche chéries, je le redoutais, viennent de céder!
Elles sont irremplaçables (on ne les trouve plus!!!).
Et je n'aurai peut-être pas de regrets à ne pas les porter étant donné le la météo s'annonce... Pluvieuse.

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