mercredi 27 avril 2016

A l'atelier.

To be or not to be. 
Consigne proposée sur Kaléïdoplume cette semaine:
Quand la neige fond, où va le blanc ? Phrase attribué à William Shakespeare, mort il y a 400 ans (23 avril 1616).
Il est temps de répondre à cette question hautement philosophique non?
Sous forme de comptine, de poésie ou dans un texte en prose, répondez à cette question:


Quand la neige fond, où va le blanc?. 

Il est dur, son nom de famille! Dit Suzanne...


Quand la neige fond, où va le blanc?
Ben, mince! Tu parles d'une citation...
De William Shakespeare, moui...
De  Shakespeare je me souviens essentiellement d'un "trivial poursuite" lointain et de la prononciation, heu..., "à la française" de son nom: "Cha qu'esse père" par l'un des participants. 30 ans après il se fait encore charrier par ses frères et sœurs!
Sinon, j'ai du lire dû  Shakespeare, sans doute... Il y a longtemps. Et voir une ou deux de ses pièces, ou leur adaptation. Sans doute.
Quand la neige fond, où va le blanc?
C'est une bonne question William! Mais à qui la poser? Les scientifiques qui tentent de répondre à tout ont-ils une réponse à cela? Ils peuvent expliquer ce que devient la neige. C'est même enseigné à l'école. Suzanne nous a expliqué le cycle de l'eau, qu'elle avait étudié à l'école l'an dernier (à moins que ce soit l'année précédente). Mais le blanc? Les savants nous disent que le blanc contient toutes les couleurs... Qu'on le voit dans les arcs en ciel. Ok. C'est beau un arc en ciel. Mais la neige ne produit pas d'arc en ciel. Ou je ne suis pas au courant (et, oui, je sais que je ne sais rien). Bien, bien, bien...
Quand la neige fond, où va le blanc?
Quand le réveil sonne où vont les rêves? Quand le musicien pose son archet où va la musique? Quand le spectacle se termine où disparait la culture? Quand la réalité les rattrape que deviennent les espoirs? Quand le temps fait son œuvre où va ma jeunesse? Quand la neige fond, où va le blanc?
Quand William pose des questions où se trouvent les réponses?

6 commentaires:

  1. Rien ne disparait,les notes de musique,les rêves, les espoirs, la culturel,le blanc et meme William restent suspendu quelque part parmi nous ; entre nous. Tissant des liens invisibles mais qui nous font nous rencontrer. Ils vivent parce que nous y pensons. Je trouve que tu es une belle personne Anne et parmi tous tes ecrits celui-ci est de ceux qui nous montre ta belle âme.

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    1. Tu as raison... Rien ne disparait. Et surtout pas les bons souvenirs!!! Merci...

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    2. Les bons souvenirs ont cet effet merveilleux de permettre chaque jour d'enchanter notre présent, d'inventer une vie plus belle à'chaque instant comme un miroir aux bons souvenirs :-)

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  2. Ah mais j'aime bien quand tu essaies de répondre à cette question par une multitude d'autres ! Voilà ce qui arrive quand on te fait trop cogiter ! :D

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