mardi 31 octobre 2017

Un peu de battage....

En fait j'ai besoin d'un coup de main.
Pour Victor.
Si vous suivez le blog vous savez que le jeune a assuré un max, qu'il a décroché haut la main, malgré le fait qu'il soit encore au lycée, qu'il n'ait pas encore son bac, un stage au service "Art Merchandise" chez Disney.
Un mois.
Le mois de décembre.
Hip, hip, hip....
Mais, contrairement à Lille, où il est actuellement, je n'ai pas de sœur, à Marne la vallée pour le loger. En région parisienne nous avons bien Nanette au nord de Paris mais c'est à quasi deux heures de RER, de transilien...
Alors...
J'ose utiliser les anonymes, nombreux (300 par jour) qui visitent le blog quotidiennement et surtout ceux qui viennent de ce coin là (y'en a, on le voit sur la carte):
Et puis il y a ceux qui connaissent quelqu'un qui connait quelqu'un, qui...
Bref! Une chambre chez l'habitant pour un jeune bien sous tout rapport le long de la ligne du RER A?
Vous avez ça? Évidement nous participons financièrement.

dimanche 29 octobre 2017

Je me soigne!

Du début des vacances je n'ai vu que l'ombre... 
Un peu de calme jeudi, un chouette spectacle vendredi.
Mais les vacances ont réellement commencé samedi: nous n'avons rien fait (une fois que j'ai amené maman à Tours, bien sur)!
Enfin presque rien... 
Gilles a tondu, taillé, il a profité du soleil dans le jardin.
Moi j'ai fait du ménage, pendu la lessive pour profiter du soleil dans le jardin.
Et puis en fin d'après midi, entre filles, avec Suzanne, Vanessa et Juliette, nous sommes allées au ciné!
Dans le cadre du festival Graines d'images au cinéma Zoom de St Calais nous avons vu:
Et c'était extra!
Le texte, en vers (!), les personnages, les situations, ont fait rire petits et grands!
Une blanche neige blonde et un petit chaperon rouge en manteau de fourrure.
Dur, dur d'être un loup (et un petit cochon, et une vilaine sœur, et...).
Bref...
Deux belles heures!
Suivies d'une visite à l'expo sur l'herbier, sous le ciné.
J'ai dans l'idée d'y emmener mes élèves...
Ça devrait être cool. S'ils arrivent à se tenir quelques minutes.
Bon et puis sinon...
J'ai transformé la salle de bain!
Si, si!!! Ce n'est visible que par ceux qui fréquentent la salle de bain (enfin, Clovis n'avait rien vu) mais le tablier de la baignoire est maintenant rouge! J'ai enfin peint le placo hydro vertbeurk (couche d'accroche puis rouge (c'est la seule couleur que j'avais en stock)). Ça fait plus propre, plus fini.
Bon puis dimanche pluvieux je me suis levée tard! 8 heures! Ah, non, changement d'heure oblige, il était 7 heures... Pour une fois que je faisais un effort!
Je n'ai rien fait...
Juste un peu aidé Suzanne (qui a planté des clous, planté des clous, planté des clous) à passer quelques fils.
Bon, les poules n'aiment pas trop être mouillées, Groove non plus (et les chasseurs, il n'aime pas non plus, les chasseurs, qui chassent dans le bois derrière chez nous! Il a aboyé toute la journée, tant qu'ils on été là..).
Mais... Dimanche zen, cool...
Qui se termine bien vite pourtant!
Et décidément les poules n'aiment pas être mouillées!!!
Et se couchent bien tôt...

samedi 28 octobre 2017

Blablacar's day et plus si affinité.

J'ai eu un jeudi cool.
Vendredi devait l'être aussi.
Et puis...
Épisode 1:
Nous avons du changer les plans de Victor. Sa nouvelle carte bleue, ses conventions de stage et son inscription au bac (vous vous souvenez de vous être inscrits au bac, vous?) étaient à la maison et c'était plus simple qu'il revienne à la maison avant de filer dans le Nord.
Alors j'ai annulé le blablacar qui l'amenait au Mans à 22h30 et je lui ai trouvé un blablacar fort commode qui l'amenait à Montoire (à 8 km de la maison) à 20h.
Ce blablacar partait de Vannes et il suffisait à Victor de prendre un train Auray / Vannes (10 minutes de trajet) qui l'amenait au lieu de rendez pile à l'heure.
Nickel, il était justement à Auray.
Épisode 2:
Mardi j'avais aidé Colette à trouver le blablacar idéal qui l'amènerai de Tours à Mirabeau où elle doit rejoindre Thomas. Ce vendredi elle voulait que je fasse la même chose pour le retour. Elle est arrivée en fin de matinée et cela nous a pris... Un moment. Mais nous avons ficelé l'organisation. Colette était contente et je me suis accordé une petite sieste après le repas. Qui a été écourtée!
Épisode 3: Sieste interrompue: appel de Victor: son train est annoncé avec 20 minutes de retard.
Il sera encore dans les temps mais pour plus de sureté il appelle la dame avec qui il doit voyager. pour 5/10 minutes elle va l'attendre.
20 minutes plus tard, le train est annoncé avec une demie heure de retard.
Puis remplacé par un car qui arrivera à Vannes une heure plus tard.
Victor appelle la dame qui ne l'attendra pas si longtemps (mais empochera le prix du voyage puisqu'il a été annulé après l'heure de départ annoncé).
Voilà mon gars en rade à Auray.
Je cherche un autre covoit. Vers le Loir et Cher si possible.
Non, ce n'est pas possible.
Vers Le Mans alors, et le plus tôt possible pour faire la jonction avec le bus de ligne, ou un autre covoit?
Y'a!
Je fais une demande de réservation, en informe Victor. Et je prends contact avec le convoitureur. Il est ok pour le lieu de rendez vous mais il partira plus tard finalement. Merde! ce sera plus compliqué de trouver un autre covoit Le Mans / notre coin paumé.
Puis je reçois une notification de refus de réservation et un message du monsieur. Il annule son annonce pour en reposter une aux bons horaires. Il suffit que je refasse une nouvelle demande.
Ouaip! Comme il a refusé ma première demande je ne peux pas en faire une seconde...
Et là vive le smartphone. Victor fait la réservation de son téléphone.Et il part.
Et avec Suzanne nous partons aussi.
Laissant Gilles qui a mal au ventre sur le canapé nous allons à la médiathèque pour assister à un spectacle offert dans le cadre du festival de contes "Contre vents et marées".
C'est "l’œil Bleu de la baleine" par Nathalie Krajcik....
Et c'est ça que nous avons appris que nous, hommes, sommes nés du rêve apparu  dans l’œil de la baleine.
Une heure délicieuse, appréciée même par les plus petits!
Et puis, hip, hop, hup...
Nous rentrons, je mange rapidement et me voilà partie pour chercher Victor au Mans. Je n'ai pas trouvé de covoit pour faire le joint.
Arrivée presque à destination je m'arrête pour prendre en photo le compteur de la Dacia. Voilà, voilà...
Mais Victor est rentré, c'est occupé de ses papiers, à dormi puis est reparti.
Gilles l'a emmené de bon matin prendre un bus pour Le Mans pendant que j'emmenais Colette à Tours pour prendre son covoit. 
Sur le trajet de l'aller, dans le brouillard, j'ai heurté un jeune chevreuil. Oui, une belle frayeur et un phare anti brouillard cassé.
Sur le trajet au retour, au moment où je m'étais garée pour prendre des photos du soleil embrumé, j'ai reçu un coup de fils de Victor. Il était en stress!!! Le ouibus ne partait pas de la gare, où il se trouvait mais du quartier de l'université!!! Il ne lui restait plus que 30 minutes avant le départ! Et il était sensé arriver avec un quart d'heure d'avance...
Mouaip...
Le temps que j'arrive à la maison, que je passe aux toilettes (ça devenait urgent!!!), Victor avait pris le tram, couru comme un dératé avec son sac de voyage et...
Réussi à prendre le bus!
En théorie il devrait être à Lille en fin d'après midi.
Mais comment faisait-on avant, sans téléphone portable, sans blablacar, sans...

mercredi 25 octobre 2017

"Tu vends du rêve!"...

...dit Émilie, "ma" bibliothécaire quand je lui explique rapidement mon emploi du temps de vacances...
Mouarf!
Lundi boulot. Sans chauffage. Il avait disjoncté.
L'ordi avec le manteau plus le châle.
Et des mails, des coups de fils...
Et Suzanne qui est venue me soutenir pour l'après midi qui s'installe dans la classe et bouine avec des paillettes (Oh? On a des paillettes dans l'école?).
Mardi, retour à l'école. En chemin nous perdons un balais d'essuie glace (ben si c'est possible!).  Notre garagiste en a en stock, malheureusement, par la même occasion, il me signale que mes pneus arrières sont morts. Mouaip! Heureusement le chauffage, réparé, a réchauffé l'école où Suzanne m'accompagne dès le matin. Elle n'a pas terminé son œuvre. Suzanne n'a trop le temps de finir le matin, "réunion" en maternelle et je la dépose en vitesse à la maison pour filer à la banque pour le rendez-vous annuel (j'aime ;-)). Une heure après je la récupère pour aller manger chez Colette. Qui a besoin de mon expertise pour lui réserver un blablacar. Le blablacar trouvé et approuvé, les tomates farcies dégustées, nous allons déposer l'ordi de Victor, et son écran, et sa tablette graphique, chez une copine de médiathèque et son mari dévoué. Ils vont transporter le tout à Lille pour Victor. 
Nous voilà de retour à l'école. Suzanne retrouve ses paillettes et moi mes collègues. 
En milieu d'après midi j'ai emmené Suzanne à la médiathèque d'où j'ai un mal fou à la décrocher du tobeaubilles une fois mon après midi de boulot terminé. Pour rentrer...
Mercredi.
J'ai tenté, vainement, de rester au lit, de dormir encore...
Mais, bon... J'ai bouiné.
J'ai attendu qu'ils se lèvent.
Et à 11 heures tout c'est accéléré: ils se sont levés, nous sommes partis, fissa, j'ai déposé Gilles au supermarché et nous sommes allés pour payer les cours de poterie.
Nous devions aussi, Suzanne était au taquet, aller dans leur stock de costumes pour en louer un (Halloween se profile). Nous avons suivi la dame dans les escaliers, les couloirs et sommes tombés sur une porte verrouillée et dont la dame n'a pas trouvé la clef...

Ok, mais la vue était belle. Brumeuse et belle.
Bon nous avons récupéré Gilles, et ses courses, et nous avons traversé la route pour aller voir Isabelle.
Qui était en plein dans les plats à gratin.
Et qui avait cuit...
 ...le pot de Victor et...
..."l'assiette" de Suzanne (depuis elle mange dedans).
Puis... On a mangé (il était tard), puis je me suis couchée pour ma première sieste des vacances. Le banquier, en téléphonant, me la tue...
Alors...
Médiathèque, pour Suzanne, et pour moi...
Rendez vous sur un parking avec un camionneur.
Voui.
Le papa d'Emma, de passage dans le coin et à qui je file le surplus de bagage de sa fille (qui n'est pas rentré dans le blablacar pris au vol dimanche).
Voilà, voilà...
Récupération de Suzanne (pas facile avec le tobeaubille) que "j'échange" à la maison contre Gilles et...
...direction cimetière où nous attend Colette.
Toilettage annuel des rosiers de la tombe d'Albert.
Voui... Je vends du rêve.
Demain je n'ai rien de prévu.
Hummm. Je n'avais rien de prévu. 
Jusqu'à ce que Clovis me demande l'air de ne pas y toucher: "Tu travailles jusqu'à quand? parce qu j'irais bien au skate parc..."

lundi 23 octobre 2017

C'était dimanche Tardi!

Dimanche tranquille et presque grasse mat! Je ne me suis réveillée qu'à 7 heures. 
Et d'un seul coup ça c'est agité, agité... 
Victor et Emma ont préparé leurs affaires. Pour des vacances, courtes, à Quiberon, avant de démarrer leurs stages respectifs. Et pour cela ils devaient prendre un covoiturage au Mans à 17h40.
Et tant qu'à aller au Mans nous en avons profité, en partant juste après le repas, pour faire un crochet à l’abbaye de l'Epau  où avait lieu une rencontre, conférence, avec Tardi.
"Nous n'avons jamais été aussi souvent à l'Epau que ces deux dernières années!" dit Gilles.
Il a raison le bougre!!!
Et c'est dommage parce que c'est très beau. L'abbaye.
C'est un bel écrin pour quelques installations.
Le dortoir des moines servant de salle de conférence.
Il y faisait bien chaud, bien noir et cela a ralenti l'attention de Suzanne vis à vis du discours sur les recherches historiques et le travail de Tardi pour l'album "Le dernier assaut" (première guerre mondiale).
Alors nous sommes sorties, Suzanne, Emma et moi, suivies d'assez prés de Gilles et Victor, avant la fin.
Et nous avons fait un tour dedans...
Puis un tour dehors.
Il faisait froid, venteux mais le soleil était revenu.
De quoi rendre plaisant les expos photos semées deci delà.
Et c'est en quittant l'enceinte de l'abbaye que j'ai reçu un message.
Covoit annulé!
Panne de voiture...
Mais nous sommes au Mans, nous sommes venus pour les mettre dans un covoit...
Et bien, au pied levé nous avons retrouvé un covoit!!!
A 17h40 ils embarquaient pour la Bretagne! Ouf!
C'était dimanche...