lundi 27 septembre 2021

Félicitations!

Deux nuits, avec une "pause" chez eux samedi.


Et l'attente qui empêche de dormir.


Et à 5 heures il est arrivé!

Bastien.



3kg 700 d'amour.
Bravo les jeunes! Il est parfait.

dimanche 26 septembre 2021

Projet 52/2021, 39 éme épisode: "bestioles".

Projet photo avec Virginie.

Cette semaine c'est au tour des bestioles d'être à l'honneur.

Des bestioles? Que dire?

Vous parlerais-je des poux que j'ai ramené de l'école (Gilles pense qu'ils sont dans ma tête (et pas sur ma tête) parce qu'il ne les voit pas (il faut qu'il change de lunettes) (ou que j'aille voir un psy)).
 


Mais je préfère en rester à nos bébés. Les poussins nés entre mardi et mercredi.

Celui là est le petit dernier. A peine visible dans l'herbe et les feuilles qui tombent. Mais que l'on entend très bien!! Comment un si petit truc (quelques grammes, pas plus) peut-il faire pour faire autant de raffut? Dès que sa (ses) mère(s) (elles sont deux à assurer le rôle) s'éloigne(ent) qu'il se met à piailler à qui mieux mieux. Il piaille tellement que je me demande s'il arrive à entendre les cotcot des mères qui se signalent ainsi en permanence (quand je m'approche avec l'appareil photo elles émettent des bruits de gorge très... Je comprends que les chats se carapatent!).

Bref... Ces jours ci me voici devenue une chick addict!

samedi 25 septembre 2021

Prendre le temps...

De faire la sieste.
 


Ou la grasse matinée (ce matin j'ai dormi jusqu'à 7h30! (malgré deux interruptions momentanées de sommeil)).

Prendre le temps...

D'attendre. Valise prête (Cynthia). 

Entrainement à l'installation du cosy effectué (Simon).

Tout le monde est au taquet. Simon ne s'éloigne plus, A la moindre sonnerie du téléphone c'est alerte générale.

"Bidulon" est encore dans les temps.


Alors, en attendant, Gilles m'envoie des vidéos des poussins lors de leur première sortie (sonnerie: mes collègues: "C'est peut-être ta belle fille qui a accouché!". Ok, les poussins c'est trop meugnon mais... Déception générale...).

Mais en attendant... Les poussins c'est bien!


Le petit cinquième, trop faible pour suivre, a été tué par l'une des poules qui n'a pas couvé. Victor a tenté de le sauver, n'a pas réussi, l'a enterré.
Pour les quatre premiers pas de problème. Les deux mamans veillent très sérieusement. Süta qui était curieuse a été chargée avec efficacité.


Voilà...
Prendre le temps.
Et profiter du week-end.
 

mercredi 22 septembre 2021

Patience et précipitation (ou l'inverse).

Début de semaine sur les chapeaux de roue.


L'organisation de l'ULIS me prend du temps.
Mais lundi je suis allée, comme un lundi sur deux, au club photo.
Je suis rentrée tard et je me suis couchée à 23 heures.
Alors, le manque de sommeil, couplé à la pleine lune, au couac d'organisation (transport de Suzanne et ses copines au collège au moment du passage de l'infirmière) et au stress (relatif) de recevoir trois familles mardi soir, je me suis cognée une migraine indéracinable toute la journée.
Nous avons reçu les parents et je suis rentrée épuisée..

Et c'est entre deux portes, alors que je n'aspirais qu'à aller me coucher, que j'ai eu le résultats des rendez-vous des garçons:
Victor: commence dès ce matin une formation à l'AFPA (production horticole). Il aura besoin d'une voiture...
Clovis a un peu plus de temps pour se retourner mais une "formation" (trouver sa voie, en quelque sorte) de 4 mois lui est proposée.
Arthur, lui, inscrit au permis moto (pas encore commencé) a trouvé une moto à acheter. 

Ok. C'est cool.

Ce matin: Suzanne s'est levée en retard. Victor s'est levé comme s'il commençait à 9 heures et c'est rendu compte que, tous comptes faits, il devait aller au bureau pour les papiers à 8 heures (heureusement il se lève toujours très en avance).
Comme Suzanne s'est levée en retard l'heure de passage du bus dans le bourg était passée, alors nous somme allées directement 3 arrêts plus loin. Mais pendant le trajet les copines lui ont fait savoir que le bus n'était pas passé. J'ai fait demi tour et l'ai déposée avec ses copines (j'étais en pyjama, je voulais m'habiller avant d'aller en ville). 
Quand je suis arrivée à la maison Victor était parti. Je me suis habillée et j'ai préparé la gamelle d'Arthur (et lui ai pris un rendez-vous aux impôts). J'allais repartir mais j'ai eu des nouvelles de Suzanne: le bus n'est jamais passé, le père des copines s'est dévoué pour les emmener. 
Arthur est parti.


Alors, j'ai vérifié que j'avais bien sorti les poubelles et je suis allée voir où en était...
Hi!!! Ca y est!

Il y a 21 jours nous avons glissé sous la grise qui couvait ses pattes une douzaine d'œufs fécondés qu'une copine avait récupéré auprès d'une de ses copines. La grise a assuré son job, gonflant les plumes dès que nous ouvrions le poulailler. Et ce matin il y a un poussin!


Bon... Un pour l'instant.

Nous allons encore patienter un peu. En espérant qu'il ne soit pas le seul à éclore.

dimanche 19 septembre 2021

Projet 52/2021, 38 éme épisode: bijou.

Projet photo avec Virginie.

Bah... Je ne suis pas inspirée.
 


Mais en allant chercher le linge gorgé d'eau sur le fil (pour l'essorer avant de le re pendre à l'intérieur) j'ai trouvé de quoi faire l'affaire: gouttes d'eau comme des diamants ornant la rose qui orne le jardin (il n'en reste plus beaucoup...).

samedi 18 septembre 2021

Le 3/30 éme. Et quelques nouvelles de ma nouvelle "carrière".

Voici lu le 3 éme livre du carton/cadeau de mes anciens collègues (camarades et amis).


Et cette fois la deuxième de couverture est riche en émotions.
Merci David!
L'amitié, la vraie, que nous partageons, ne se mesure pas à la distance.
Je te sais, comme tu me sais, là.
(Et puis travaillant avec Manue j'ai des nouvelles fraiches)


 Babelio en dit:

Dans un orphelinat situé au fin fond du Maine, Wilbur Larch, gynécologue excentrique, se livre à une double mission : mettre au monde des enfants non désirés, et futurs orphelins - " l'œuvre de Dieu " -, interrompre illégalement des grossesses - " la part du Diable ". Mais entre lui et un orphelin réfractaire à quatre tentatives d'adoption, vont peu à peu se développer des sentiments qui ressemblent fort à ceux d'un père et d'un fils.

Moi j'en dis... 
Que ce livre m'a accompagné plus d'un mois (c'est très rare!!!).

Il m'a accompagné avec des personnages attachants et attachés les uns aux autres. Il y a beaucoup d'amour dans ces pages. Amour filial, parental (même si l'on est orphelin, ou pas), amour romantique (joli trio), amour entre le médecin et ses fidèles assistantes, amour inconditionnel des femmes... Des enfants qu'elles n'ont pas désirés...

Il est resté au pied de mon lit depuis le 11 août et je l'ai lu par petites gorgées. Parce son temps et son action s'y prêtait, une vie, quasiment. 

Parce que ma vie professionnelle a pris un virage qui me demande beaucoup de travail.

(Plan de l'école, plan de la classe)

Mais, soyons clairs, ce virage m'a permis de lâcher du lest. Beaucoup de lest.
Je suis toute légère (alors que je ne sentais pas, pas autant, le poids de la charge).
Je travaille en équipe (et vous connaissez mon goût pour le travail d'équipe) avec des collègues motivé-e-s; en duo avec une AESH cool.
J'ai le temps. Incroyable!!! J'ai le temps.
Et je retrouve le cœur de mon métier d'enseignante: rendre accessible les savoirs à chacun-e. Adaptation, créativité...
Les Zulis qui me sont confiés sont de chouettes gosses, attachants.
Pour eux, et avec eux, je cherche de nouvelles voies, à la découverte de la lecture, dans l'exploration des nombres (entre autres apprentissages).


Je suis dans une école où quasi aucun parent ne me connait (sauf une maman qui trépignait, cachée derrière son masque: "Oh, mais oui! C'est madame Allet!!". Une ancienne élève), je ne connais quasi que les prénoms de mes élèves. Je regarde, parfois effarée, la directrice courir d'un bout à l'autre de l'école, pendue au téléphone, recevant des parents, essayant de régler les problèmes de livraison, d'accès internet.
C'est un pas de coté incroyablement... 
Et tout cela sans culpabilité!!!
Est-ce cela la maturité?

jeudi 16 septembre 2021

Course à la plage... Horaire.

Tout faire rentrer...
Après le château de Frétay et ses artisans d'art samedi...
Dimanche matin c'est à la braderie que nous sommes allés traîner.


Et, après la sieste...


...nous sommes allés soutenir Leïla que son maître tenait absolument...


...à l'emmener dans le Loir.
 

Si elle avait pu parler elle aurait dit:...


"Ca ne pas ta tête, non?"


Comment ça sa tête? Il se l'est mise à l'envers...


Et il était ravi!


Puis la semaine a repris. La frénésie aussi. Mercredi, entre autres, j'ai ramassé les pêches (elles pourrissent dans l'arbre, et tombent...) (Il en reste). 


Comme elles n'étaient pas belles j'en ai fait de la compote que j'ai réduit en purée fine (ils n'aiment pas les morceaux!) et stérilisé sur la lancée (en rentrant du boulot ce soir).


 J'ai fait aussi fait une belle salade avec les haricots et les tomates du jardin...


Tout cela entre des tranches de travail acharné pour faire rentrer toutes les plages horaires (inclusion des uns et des autres, les soins, les arrivées les départs, les ateliers avec moi) dans l'emploi du temps de l'ULIS. Joli tableau, n'est ce pas?

dimanche 12 septembre 2021

Projet 52/2021, 37 éme épisode: émotion.

Projet photo avec Virginie.
Là encore, ce week-end, j'ai trouvé de quoi illustrer le thème!


"Bébert", jeune papa (leur bébé, Roland, trois mois, ne dort qu'en tranches fines de maxi trois heures) explique à Simon (au cas, improbable, où il n'avait pas encore compris) ce qu'il va perdre d'ici quelques jours/semaines.
Mais qui à ma question: "Le regrettes tu."
S'esclame: "En aucun cas!"

 Et je sens, moi aussi, que mon statut va rapidement basculer. 

Mamie, à coup sûr de l'émotion en perspective!

De sortie.

Le linge.
Après quelques hésitations, le ciel étant très bof, j'ai pendu la première lessive sur le fil, la seconde sur le "tancarville" (Emma s'est occupée de la troisième, à l'intérieur). Qui s'est effondré sous le poids (de l'âge autant que du linge).
Tous comptes fait le ciel s'est débouché et le linge "étendu" est tombé à pic (Mouarf!) pour faire de l'ombre à Bernie (saurez vous le voir?).

En tout cas, quand nous sommes partis, Gilles et moi, en amoureux, pour le château de Frétay (41360), il faisait beau!

L'année dernière Gilles se reposait, de retour de la clinique. Il ne connaissait donc pas le salon de l'artisanat d'art.


Cette année il y avait 41 (comme le numéro du département) exposants.


Et nous avons déambulé tranquillement.


Papoté, un peu avec des connaissances, avec des artisans.


Tous les deux (c'est bien aussi, de n'être que tous les deux).


D'autant plus que j'ai repris le travail sur les chapeaux de roue et que je ne suis pas aussi disponible que je le voudrais ces derniers jours.


Mais c'est bien aussi avec d'autres.


Et, au retour, nous avons fait un détour pour prendre des nouvelles de Simon Cynthia et Bidule.
Bidule est bien au chaud et gigote à qui mieux mieux, Cynthia commence à trouver le temps long, Simon trouve que tout cela va bien vite...


Cynthia et Anita, sa maman, sont parties faire un loto, nous, Simon Arthur, Gilles et moi, avons fait une petite balade dans le village.


Où Leïla a trouvé un chatpot!
Voilà, voilà...
Un samedi de sorties bien agréable.