dimanche 28 novembre 2021

Projet 52/2021, 48 éme épisode: "Cocktail"

Projet photo avec Virginie.
Cette semaine Virginie nous invite à un cocktail!


Et voici celui que nous a concocté Victor!

Plus d'une trentaine de plantes ramenées de son stage. Plus d'une par jours passés dans un jardin remarquable de Menton.
Complétés par l'arbre (olivier de Bohème) donné à la sortie de sa jardinerie préférée où il n'a pas manqué d'aller dès le lendemain de son retour.


Son retour a aussi été le prétexte à se retrouver tous (Les Allet de la Hirlière, Simon, Cynthia et Bastien, et Colette (Rachel ne fait plus, officiellement, partie de l'équation)) ce samedi soir (ci-dessus: attroupement dans la buanderie autour du change de Bastien).


Chouette soirée (où nous avons essayé (et pas toujours réussi) de ne pas remettre sur le tapis le virusdontonnepronocepaslenom) où nous nous sommes réjouis des deux mois (déjà?!) de Bastien.

vendredi 26 novembre 2021

Nouvelles rapides.

Il fait froid.


Poêle et cheminée braisent.
Le poêle à gaz de la classe aussi (Clovis, qui m'y a rejoint avec Alexis parce qu'une petite est restée en rade (Oubliée? Erreur de planning?): "Non mais c'est incroyable de trouver encore une classe chauffée de cette façon!!") (Mon premier geste est de monter le thermostat parce qu'en plus avoir une mode de chauffage, heu..., le bâtiment est isolée à la mode d'il y a... Longtemps!).
Emma rentre du boulot à 7h30, juste avant que je parte avec Clovis, et je lui souhaite une bonne nuit.
Pendant sa "nuit" Victor va retraverser la France pour rentrer.
Il arrivera peut-être avant qu'Emma retourne travailler.
Il arrivera, c'est certain, après Arthur qui va rentrer de sa semaine de formation à Tours.
Suzanne, elle, est impatiente!
Plus qu'une semaine et demie avant le début de son stage!
Clovis, lui, démarre le sien lundi. Dans l'entreprise où travaille Arthur (Ouf! des trajets en moins à effectuer).
Lundi Simon, lui aussi, reprendra le chemin du boulot après un mois de congé paternité très apprécié.
Lundi Gilles (il en trépigne) va garder Bastien pendant que Cynthia se rendra à un rendez vous.


 C'est tout bon ça, non?

mardi 23 novembre 2021

Le 11éme.

Le week-end a été... Enfermé. 
A la maison (à part un saut pour acheter les indispensables sacs de granules, et une incursion rapide dans le jardin pour curer le fossé (Gilles (les joies de la campagne!)) et ramasser les feuilles (moi (elles vont sur le tas de déchets verts))), sous un brouillard tenace.
Week-end rugby pour Gilles, aussi (sauf quand la gastro l'a couché quelques heures).
Alors j'ai lu.
Le 11éme livre du carton. Qui n'a pas de petit mot sur la seconde de couverture.

Babélio dit: 

San Francisco et sa fameuse baie, ses tramways cahotant dans les rues en pente, son pont du Golden Gate, compte désormais un monument de plus : le 28, Barbary Lane, une pension de famille tenue par la pittoresque Anna Madrigal qui materne ses locataires avec une inépuisable gentillesse. Et ils en ont tous bien besoin, car "s'il ne pleut jamais en Californie, les larmes en revanche peuvent y couler à flots". Ils le savent bien, Mary Ann, venue de Cleveland dans cette ville qui a le don de décoincer les gens, Mona qui vient de perdre son emploi, Michael qui cherche vainement l'homme de sa vie...

Moi je dis:
Ouh! Trop de personnages! Et un peu tiré par les cheveux qu'ils se croisent/couchent ensemble tous ainsi! Je comprends qu'il ait été adapté en série TV.
Ceci dit je l'ai lu jusqu'au bout sans me lasser. Il a égayé mon morne week-end (à part en fin d'après midi, dimanche, quand Simon, Cynthia et Bastien sont venus à la maison où Babeth, José, Malou et Luz sont passés les voir.).
Alors...

dimanche 21 novembre 2021

De brume et de dons. Post plutôt boulot.

(De brume parce que ces derniers temps nous n'en sommes pas sortis. Et que du coup les photos sont... Brumeuses!)
Cette semaine j'ai du temps à consacrer à mes élèves.
A ceux qui étaient présents en fait.
Parce que, cas contacts, la moitié de l'effectif du dispositif était à l'isolement à domicile.
J'ai donc eu encore plus de temps que d'habitude (je vous ai dit que c'était ce que j'appréciais le plus dans mes nouvelles fonctions? Avoir du temps à consacrer à chacun de mes élèves?) pour ceux qui étaient là. Et aussi du temps quand, étant en inclusion, ils n'étaient pas là.
Nous avons donc imprimé et plastifié un bon paquet de jeux supplémentaires (numération/ lecture/ conjugaison) (apprendre en jouant, apprendre sans s'en rendre compte... Ca fonctionne très bien avec ces élèves en situation de handicap (cela fonctionne aussi pour les autres)).
Pour l'instant ces jeux s'empilent joyeusement, élastiqués par paquets, sur le plan de travail du fond de la classe. Ce n'est ni pratique, ni esthétique.
Alors j'ai fait une demande sur la page de dons et trocs de mon secteur.

Quelques heures après quelqu'un avait été dans son grenier exhumer sa vieille collection de films et m'avait mis de coté plus d'un cinquantaine de boites!!!


Restant dans le thème du boulot... J'ai laissé mes Zulis à un remplaçant et je suis allée retrouver mes collègues tous neufs pour une journée de "formation à l'entrée dans le métier".


Si j'ai été moins déçue que la dernière fois, nous avons survolé de thème de l'autisme (à peine gratté la surface), j'ai encore été fâchée de voir comme la marche est haute entre le discours officiel et la réalité (et du coup, c'est pas simple de rester zen quand on te bourre le mou!).


Les jeunes collègues (les "vrais" jeunes collègues, ceux qui débutent et se retrouvent par défaut (contrairement à moi) sur des postes très compliqués (contrairement au mien)) en prennent plein la figure et c'est maltraitant (pour tous, élèves, enseignants, parents...).


Et je ne suis pas la seule à ruer dans les brancards.
L'un des intervenants, politiquement incorrect (par rapport à l'institution), mais franc du collier (la petite collègue à coté de moi: "Je l'aime bien celui là!) a demandé quand on prendrait en compte le poids du "handicap social" (moi aussi, je l'aime bien).

Bon, Nous avons tous soufferts de devoir rester assis, de devoir rester concentrés (surtout après le repas. Le PowerPoint n'est toujours pas le summum de la pédagogie, n'est ce pas?) mais nous avons pu papoter entre collègues, prendre un peu de recul... 


 Et hier après midi, en allant récupérer Suzanne après la rencontre d'athlétisme, j'ai fait un détour par la "zone de gratuité", sur le thème du jouet, des jeux, de l'épicerie associative "Le comptoir des cocottes" et j'ai rempli le coffre de la Dacia de jeux. Pour les Zulis.
(Gilles maugréé dans sa barbe (Ah, non, il s'est enfin rasé!). Je crois comprendre "Y'en a que pour l'école")

Projet 52/2021, 47 éme épisode: "évasion"

Projet photo avec Virginie
Et c'est le tour de Loulou de nous proposer un thème: l'évasion.
Ah?  Avec Gilles c'est en partant deux jours (plus une nuit à l'hôtel) que nous nous sommes évadés de notre quotidien au début des vacances. C'est vrai, c'est bien.
Mais, en fait, notre quotidien ne nous emprisonne pas.
Nous sommes au chaud, nous sommes ensemble (même se cela frotte un peu parfois (surtout avec Clovis qui lui est un peu serré aux entournures, gêné par ses difficultés à s'imaginer un avenir)) et nous savons que le beau temps reviendra. Un jour.


Mais eux, les tricotins, Tic, Tac et Toc, les poilus aboyeurs, ne doivent pas en avoir conscience. Il fait froid, il fait humide, ils voient bien que nous sommes là, dedans, et que le poêle chauffe.
Leur évasion c'est à l'intérieur qu'ils veulent la faire!!! 

mercredi 17 novembre 2021

Skod'gneugneu et crooo meugnon!

Post mi figue, mi raisin.
Mi merde: la Skoda siffle.
(et, oui, la garantie est terminée)
Le garagiste du coin (pas le gougnafier qui a quasi terminé de ruiner la Dacia, un autre...) dit qu'il ne sait pas... Que c'est peut-être un galet de direction... Que l'on peut rouler sans problème (!!?). Il devait m'envoyer un devis il y a... 3 semaines.
Alors autant s'adresser à Dieu qu'à ses saints (Mouarf! Voir le(s) garagiste(s) en saint(s)!!!) j'ai pris rendez vous, il y a 15 jours, au Mans (70 km de la maison) au garage Skoda. 
Et je m'y suis rendue ce matin. C'est la classe à Dallas, la concession, le garage, Skoda! Blanc, propre, avec des gens beaux et propres... Et une salle d'attente avec des fauteuils trop conforts.
Tout cela pour m'entendre dire que oui, elle siffle, et que oui, c'est inquiétant. Peut-être, ou pas, la pompe à eau. Que, oui, il y a un truc qui meurt là dedans. Mais qu'il n'ont ni créneau pour la réparer, ni voiture de courtoisie (Nini!).
Et le prochain rendez vous (et en attendant mieux vaut ne pas rouler avec, si le truc qui meurt meurt cela peut faire des dégâts plus importants (Ah ouais? Sans dec!!!)) est le 6 décembre.
Dans deux semaines et demie (18 jours!).
Je ris ou je pleure?
Je suis rentrée (en l'écoutant siffler à qui mieux mieux) et j'ai tenté de trouver un garage Skoda plus open autour de la maison. Blois, 70 km, premier rendez vous possible le 10, Décembre. Tours, 70 km, premier rendez vous possible le 24. Décembre aussi (joyeux Noël!!!).
Je vais donc, les prochains 18 jours rouler en Dacia (si elle ne dépose pas son moteur en route).
Et Gilles n'aura plus de véhicule (en même temps à part pour faire les courses...).
Bref!
Passons à la mi sucre (caramel, câlins, risettes et...)!


Etant tous sortis de la période d'isolement "cas contact", tous estampillés négatifs, nous avons pu recevoir la petite famille.


(oui, je confirme, Gilles ressemblait à un ours (ou un père Noël dégarni))
(Depuis, après quelques réclamations de l'ourse (ou la mère Noël (moi j'ai plutôt le cheveux qui bique)), il a retrouvé sa peau douce et lisse sur le menton et le crane)


 Nous avons tous fondu...

Je pense que nous sommes définitivement atteint de la "Bastienmania"!

dimanche 14 novembre 2021

Les 8, 9 et 10éme, le mystère de la clef, les kilomètres et autres billevesées.

Depuis mercredi...


Il y a eu jeudi et une échappée autour de la maison pour Clovis et moi.


Clovis pour qui les temps sont difficiles.


Jeudi j'ai, malgré une migraine (merde, j'en ai de plus en plus souvent (cela va, sans doute avec le mauvais sommeil et les tracas que je me fais pour Clovis)) terminé le 8éme livre du carton offert par mes collègues quand je suis partie de Savigny.

Babélio en dit:
"Des écrivains comme ça, dans le roman noir, on en découvre un tous les dix ans." Michel Lebrun, Le Matin.
"Opéra noir, peuplé de fantômes, où le sexe et la mort rôdent sans cesse dans l'immensité inhumaine de Los Angeles la mal nommée, lune sanglante est un fulgurant joyau, une moderne tragédie, qui porte fièrement en exergue une citation du Richard II de Shakespeare." Bernard Audusse, Le Monde.
"Un des plus remarquables romans noirs de la décennie, par sa préoccupation intellectuelle élevée, son écriture savante et, pour le dire balistiquement, son épouvantable puissance d'arrêt..." Jean-Patrick Manchette, Libération.
Violence sadique et psychologie se partagent les 288 pages d'un ouvrage qui marque un nouveau sommet du roman noir. Michel Renaud, Le Dauphiné.
Moi:
Noir, très noir. Avec des personnages torturés (dans les deux sens du terme) à souhait... Bien écrit, dense. Un voyage dans une Amérique dure, qui dépayse.

(Suis la seule pour qui ce genre de roman noir lave la tête? Cela me tire de mon quotidien. Cela "distrait" mon cerveau... C'est grave docteur?)


Et jeudi après midi, puisque Gilles râlait qu'on ne lui avait pas proposé la balade du matin (il dormait encore), qu'Arthur et Emma étaient partants, que j'avais encore les pieds (et l'appareil photo) qui me démangeaient, c'est à Troo que nous sommes allés crapahuter.


Toujours un plaisir.


Et toujours de nouvelles découvertes, de nouveau trajets.


(Ouh! Ca grimpe!!!)


(Quelques "valeurs sûres")


Et des jeunes (et Gilles, définitivement très jeune) qui jouent avec le "puits qui parle".


Tout à leurs blagues et à leurs rires ils sont passés devant le soleil couchant sans le voir...

Vendredi je suis allée bosser (pas de migraine), j'ai essayé de me faire trifouiller le nez (2éme test de cas contact (les autres l'avaient été mercredi leur contact étant moins récent (fait suer ce truc!!!))). Définitivement les horaires des labos (à 1/2 heure de route du boulot) sont incompatibles avec le fait de travailler. 
J'ai aussi résolu le mystère de la clef USB disparue. La clef sur laquelle je stocke tout mon boulot (et le transporte de la maison à l'école (ou vise versa), de la classe à la photocopieuse...). La précieuse avait disparu mardi entre l'ordi de la salle des maîtres et la classe. J'avais cherché sur mon bureau (dans l'océan de papier), dans mon sac, dans mes poches, au toilettes (où j'avais réussi à aller!!!). Elle n'était nulle part. Vendredi c'est munie d'une autre clef que j'ai fait le trajet maison/école, celui classe/salle des maîtres. Et elle aussi a disparu!
Mais, remuant la paperasse je l'ai retrouvée! Je dis à ma collègue que pour ne pas la re perdre je vais la mettre dans ma poche de manteau. Je le fais et je note, intérieurement, de m'en souvenir (la vieillesse!!!). Et je pars pour le faire tester (voir ci dessus). Pendant que je marche vers ma voiture je me rends compte que la clef a, de nouveau, disparu!
J'ai stoppé net. Et la lumière c'est faite!!! J'ai retrouvé mes deux (2!!) clefs USB dans la doublure de mon manteau. Voilà, voilà...


Vendredi j'ai, plus tard, de retour à la maison, terminé le 9éme livre du carton....

Babélio dit: 
Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidûment.
Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie.
Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis...
C'est le début d'une passion dévorante. C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.

Moi:
C'est léger, c'est vite lu. C'est plutôt bien tourné mais que ces personnages sont agaçants! Voici l'art de tout faire foirer par manque de communication. Voir l'amour chacun de son bout de la lorgnette. Attendre que tous les efforts soient faits par l'autre...

Samedi. Migaine. Forte. 


Le temps est au diapason et c'est de Victor que l'on reçoit le soleil. Il passe son week-end à deux heures et demie de son lieu de stage, à Mirabeau.
Chouette!!!
A la maison l'ambiance est morose, le temps est gris, humide et collant.
J'arrive à me faire trifouiller le nez et, avec Gilles nous faisons les courses (faire les courses ensemble a toujours été une épreuve. Nous nous agaçons l'un l'autre. Nous ne fonctionnons par du tout de la même manière (Il ne prend pas les sacs, il transvase donc deux fois les trucs, de la caisse dans le chariot, en vrac, du chariot aux sacs (j'ai réussi à ce qu'il trie dans les sacs le frais et le reste...), fait tous les rayons, prend encore du suremballé, du surtransformé), mes demandes lui compliquent la vie et même si je ne dis rien (ce qui fût le cas, terrassée par la migraine et ayant renoncé (il fait les courses alors que je déteste ça, je dois m'en accommoder)) ma seule présence le stresse.
(Que de problèmes nous avons!!!)
Bref! Le temps n'est pas à la balade, alors pendant que chacun vaque à ses occupations je commence le 10 éme livre.
Je le termine (en même temps que se termine la migraine) aux urgences où j'ai passé deux heures avec Suzanne pliée en deux par un mal de ventre (cela faisait longtemps!!! Ou pas? Il semble qu'elle soit sérieusement constipée!).



Babélio dit: 
Une station-service, une nuit d'été, dans les Ardennes.
Sous la lumière crue des néons, ils sont douze à se trouver là, en compagnie d'un cheval et d 'un macchabée. Juliette, la caissière, et son collègue Sébastien, marié à Mauricio. Alika, la nounou philippine, Chelly, prof de pole dance, Joseph, représentant en acariens... Il est 23h12. Dans une minute tout va basculer. Chacun d'eux va devenir le héros d'une histoire, entre elles vont se tisser parfois des liens.
Un livre protéiforme pour rire et pleurer ou pleurer de rire sur nos vies contemporaines.
Comme dans son premier roman, La Vraie Vie, l'autrice campe des destins délirants, avec humour et férocité.
Les situations surréalistes s'inventent avec naturel, comme ce couple ayant pour animal de compagnie une énorme truie rose, ce fils qui dialogue l'air de rien avec la tombe de sa mère, ou encore ce déjeuner qui vire à l 'examen gynécologique parce qu'il faut s'assurer de la fécondité de la future belle-fille. Elle ne nous épargne rien, Adeline Dieudonné : meurtres, scènes de sexe, larmes et rires. Cependant, derrière le rire et l'inventivité débordante, sa lucidité noire fait toujours mouche. Kérozène interroge le sens de l'existence et fustige ce que notre époque a d 'absurde.

Moi je dis:
On dirait un exercice d'atelier d'écriture. Sur le principe.
14 personnages réunis par le hasard au même endroit. 14 histoires de vie. Qui se croisent, ou pas.
Noir, triste. Tant de détresses.
Roman qui se termine un peu brutalement.
Sans doute parce qu'il faudrait un autre roman pour raconter ce qui ce passe après le choc...

Voilà... Nous sommes dimanche, j'ai dormi comme un bébé jusqu'à 8h30!
Le temps est moche, comme hier, et , avec Suzanne nous allons aller à la recherche de la pharmacie de garde (toutes fermées quand nous sommes sorties de l'hôpital). 
Et s'il ne pleut pas trop peut être que nous ferons une sortie... Sinon ce sera au 11éme que je vais consacrer mon temps libre.