mardi 10 décembre 2024

L'open brisé

Cela fait des mois qu'il y travaille.
Il s'est fait des muscles partout où il faut.
A fait disparaitre le gras.
Jusqu'à ne plus peser que le même poids que moi.
A vécu, pensé, rêvé Force Athlétique.
Dimanche le rêve s'est brisé.
La blessure s'est aggravée au point qu'il n'a pu assurer sa performance minimale et a été éliminé (mais a réussi à obtenir l'autorisation des juges pour continuer quand même).
Le soutien inconditionnel de Victor, qui était là depuis le début de matinée pour tout installer...
...(le matériel est à Arthur. Il est arrivé (et revenu à la maison) là grâce au camion de Simon, ce sont les gars qui ont tout manutentionné (et c'est lourd!))...
...des copains, copines, de salle,...
...notre présence...
...n'ont pu adoucir vraiment la douleur et la déception.
Nous avons tous souffert avec lui.
(tous pour un)
Arthur s'est battu.
Il a forcé l'admiration de tous.
Câlin à tonton.
Pitreries de nièce...
Il va falloir guérir, effacer l'échec de cette journée (qui a été riche, aussi).
Outre la déchirure musculaire à cicatriser, il va falloir retrouver l'énergie de rebondir.
Nous sommes tous derrière toi, Arthur.
La force est en toi.

dimanche 8 décembre 2024

Les 52 de Virginie: "Musical"

49éme semaine du défi photo de Virginie.

Bon... Bien embêtée pour trouver des images de ces jours-ci en rapport avec la musique.

Alors je suis allée dans mes archives... 

Octobre 2023, sous le chapiteau du Cheptel, spectacle de fin de résidence de... (je ne sais pas!):

Spectacle musical que j'ai adoré!
(pourtant je ne suis pas fan des cuivres (?))
(Le Cheptel vend son chapiteau et écrit: Nous continuerons évidemment de faire rêver les publics mais dans d'autres lieux et sous d'autres toiles et étoiles 🌟)(Non!!! Ne partez pas!!!)
... Alors...
La musique et moi...
C'est, un peu comme Clovis, qui compose, joue et écoute de la musique dans le silence de son casque, c'est perso, privé en quelque sorte. 
Je partage quelques morceaux, artistes, avec Gilles. Mais nous n'entendons, n'écoutons pas la même chose.
Gilles adore les chanteurs/teuses qui "bêlent", les chanteurs/teuses "à texte" (bavards).
Que je déteste (il aime aussi, c'est incompréhensible, la pub (quand arrive la coupure pub je coupe le son, et ça l'agace) (en fait je n'écoute la radio qu'en voiture)).
Il écoute sa musique à fond, la "distribuant" généreusement à tous (même à ceux/celles qui ne le souhaitent/supportent pas)
Je ne l'écoute fort que seule dans la voiture, pour relancer la machine en allant au boulot (certains morceaux). Sinon, en fond, sur l'ordi... En fond (pas à fond) dans la maison. 
Pour moi la musique devient vite du bruit...
Dérangeant, douloureux même (Surtout, et c'est le cas un jour sur deux en ce moment, quand je fais une migraine).
Je fuis les magasins à musique de boite de nuit, je ferme la porte pour éviter certaines musiques qui me stressent (le rap, l'auto tuning, les chorales en boucle (Aïe, les chants de Noël)... (Nous sommes allés voir Vaiana2 au cinéma avec Suzanne, dimanche dernier, et j'ai trouvé qu'il y avait de sacrées longueurs quand les personnages chantent)).
Les fausses notes, les décalages de rythmes/paroles, les dissonances (cela ne gène pas Gilles d'allumer la radio dans la cuisine alors que j'ai de la musique dans le bureau, qui n'a pas de porte) les.... (parfois je ne sais pas, ce qui me gène. Mais ça me gène) me sont difficiles à entendre.
Gilles: "T'es chiante!"

Et que crois, en effet, que je suis chiante avec la musique. Sérieuse...

Gilles, lui, a la musique gaie (il chante, très fort, et parfois très faux). Et c'est... Chouette/chiant.

samedi 7 décembre 2024

Sous l'eau...

Au sens figuré...

Encore que...
Brouillard, bruine...
Et pas mal de larmes aussi... Chagrin d'amour pour Suzanne (Oui, je chuchote).
Et pas de yoga, mardi soir: Je ne peux me dédoubler, aller chercher Suzanne au car, pour l'emmener à l'entraînement (courir lui vide la tête, lui permet de reprendre pied) et pratiquer les asanas à l'opposé (cela m'a permis, positivons, d'effectuer des achats pour Noël et de ravitailler en pellets). 
 
Mercredi avec les Chicoufs.
En forme, surtout Bastien, tellement content de revoir "sa" Apolline,...
...et qui a affirmé à sa maîtresse que, demain, il serait à "r'etraite" comme papi,...
...contrairement à moi...
Migraine carabinée.
Mais... Qui, heureusement, est passée, quand, laissant Gilles et les petits terminer leur sieste, j'ai conduit, encore, Suzanne à l'entraînement (il faut ce qu'il faut et temps qu'à être rentrée autant en profiter...). 
Je suis rentrée pour récupérer Apolline, à temps pour voir Clovis et Coline, de passage, que j'ai déposée au travail de sa maman après avoir récupéré Suzanne. Que j'ai conduite à son rendez-vous.
(Je me suis écroulée à 21h, après avoir mangé, avec Colette, le risotto que j'avais préparé)
Jeudi matin j'aurai pu ne pas mettre le réveil. 
Si je n'avais pas eu à conduire Suzanne au car...
Je n'ai pas été travailler. 
Avec Gilles nous sommes allés manifester. C'était plutôt clairsemé... 
Pas mal de grévistes (beau score) sont restés au chaud... Dommage.
(Gilles, rigolard: "Vont-ils me retirer une journée de pension pour ce jour de grève?")
(Mes collègues; "Alors, c'est bientôt?", "Tu appréhendes?")
Vendredi...
Nous avons conduit Bastien à la garderie (Non, la retraite avec Papi, ce n'est pas possible), puis Gilles m'a conduite à l'école. Il avait besoin de la voiture pour faire le ravito.
Quand il est venu me chercher nous avons filé chercher Suzanne au car (les joies de la campagne et la simplicité des transports en communs: si elle prends ce bus à 16h il ne va pas jusqu'au terminus, il nous faut faire 20 kilomètres supplémentaires pour la récupérer) pour l'emmener...
A l'entraînement...
À deux pas de l'inauguration de l'expo du club. Où je n'expose, faute de temps et d'énergie, qu'une photo (sur le thème de l'année (qui ne m'a pas inspirée)), où nous avons grignoté quelques canapés en papotant: "Alors c'est bientôt?"...
Puis nous avons franchi le Loir illuminé pour aller visiter le logement sous les toits de Clovis et Coline. Avant de récupérer Suzanne, fatiguée.
À la maison nous avons trouvé Arthur en plein préparatifs (il se faisait beau, avec l'aide d'Alysée, pour les photos)...
Malgré une blessure récente (et parce qu'il se prépare pour cette compétition depuis des mois (régime et entraînements intensifs)) il se présente dimanche à un open de force athlétique.
À laquelle nous ne manquerons pas d'assister (pourvu qu'il n'aggrave pas sa blessure)!!!

dimanche 1 décembre 2024

Les 52 de Virginie: "brillant"

Quarante huitième semaine du défi photo de Virginie.
Qui nous envoie à la chasse au brillant.

Touché!
Enfin, vendredi: celui qui avait disparu depuis tant de semaines...
Le soleil a brillé toute la journée (photo bof, prise au téléphone portable).
Il a brillé toute la journée et a teinté de rose le ciel au dessus du stade où Suzanne s'entraînait...
...pendant, qu'avec Gilles, nous faisions un tour en ville, passions au pied du nouveau nid de Clovis et Coline, et admirions le reflet des lumières de la ville dans le Loir (bien haut, encore).
...
Et puis samedi est arrivé,...
Après avoir mangé chez Colette, nous (Suzanne, Gilles et moi) nous sommes enfoncés dans le brouillard au fur et à mesure où nous approchions le Fleury les Aubrais.
Rien de bien brillant (et un froid à découper au couteau! A noter pour les prochaines fois: apporter des plaids, et de grosses chaussettes. Et... Ne pas arriver trop tôt. Quoique en dise l'entraîneur) dans la Halle où se déroulait la compétition.

Et surtout pas la photographe. Qui a perdu, fausse manœuvre, les quelques photos potables de la série gagnée par Suzanne (8'80") (avant de perdre la suivante (elle était passé de la série 4 à la 2)).
Il faisait nuit noire, blanche de purée de pois, quand nous avons relié une autre salle de sport.
Où se déroulait "la nuit de l'escalade" (dans le cadre du Téléthon), avec (en orange) Victor et Simon...
Clovis et Arthur étaient là, eux aussi.
Extinction des feux! Nuit de l'escalade exige...
Clovis est monté, Suzanne est montée, Arthur est monté.
Même moi, je suis montée (je me suis arrêtée à la moitié du mur).
Brillantes, n'est ce pas, ces prises (mais peu photogéniques, en fait)?
Gilles, lui, ne l'était pas, brillant. Il avait faim! À plus de 21h, et sans avoir goûté.. Alors nous avons laissé Suzanne avec ses frères, nous sommes rentrés (purée de pois).
Et avons brillamment terminé la journée en nous reposant (cela fait deux jours de suite que je me réveille, sans réveil, à 8 heures!!!).