Eh, bien maintenant son administration (il travaille dans les cuisines d'un collège) semble avoir compris: il est malheureux au boulot!!! Tellement que ce matin il a craqué: Il a crié, bousculé son "chef" si prompt à critiquer "Toto" (si, si il l'appelle comme ça) et si prompt à oublier qu'il bâcle son travail pour sauter sa collègue... Gilles a craqué, il a jeté une chaise à travers tout et est parti avec l'ambulance...
La si chouette copine du chef, lingère, ne lui fournira plus de vêtements de travail trop courts ou trop grands, sans manches l'hiver... Gilles ne travaillera plus en cuisine, plus là! Il aime son boulot, le fait bien, l'intendante le reconnait, mais c'est lui qui va partir. D'abord en congé maladie, puis ailleurs (Où??).
Des sanctions sont envisagées contre le chef (avertissement?) et qui lui mettre dans les pattes maintenant?... Un déplacement souhaité pour la lingère. Elle pourra recommencer ailleurs, encore...
Gilles a craqué et depuis il parle, il parle, il parle, il vide son sac!!!
Son sac vidé il pourra reconstruire...sans le chefayon, sans sa poule.
Dire qu'il aura fallu qu'il craque pour que l'on voit que le système est pourri..
un seul mot me vient à l'esprit en te lisant...."bravo" Gilles !
RépondreSupprimerLe meilleur reste a venir. Courage camarade. Bizs a tous.
RépondreSupprimeren un sens, voilà une bonne nouvelle ! l'avenir est devant vous camarades !
RépondreSupprimerEtienne m'a dit ce soir que deux ambulances étaient venues au collège aujourd'hui... mais j'étais loin de penser que la première était pour Gilles !...
RépondreSupprimerDur, dur... Comment va-t-il ce soir ?
Alors là, je vais être grossière : dommage d'en arriver là pour que ça lui chauffe au cul à ce chefayon de mes deux !... Maintenant, j'espère que ce sera à son tour d'en chier.
Un évènement malheureux qui ponctue cependant un nouveau départ pour Gilles... bon courage !
Oo BIN MINCE...bin contente qu'il soit débarasser de ces branquignoles, j'espere que ça va quand même..
RépondreSupprimerOh non ! J'espère que tout ira bien pour vous, que ton mari parviendra à évacuer toutes ces tensions à se reposer. C'est vraiment triste de devoir en arriver à ces extrémités pour se faire entendre et pour que les choses changent.
RépondreSupprimerBon courage à Gilles, l'avenir ne pourra être que meilleur !
Je suis heureuse 1/ que Gilles ait craché la bile plutôt que de se faire un ulcère (ou pire) 2/ que sa voix ait pu être entendue, car c'est cela qui le guérira vraiment et lui permettra de tourner la page. Une page vierge, Gilles! REPOSE TOI, NE CULPABILISE PAS SURTOUT je suis de tout coeur avec toi!!
RépondreSupprimerps: par contre il y a un truc que je ne comprends pas: pourquoi une ambulance?
A tous: Merci de votre soutien positif!!
RépondreSupprimerKatoune: Il ne souhaitait pas en arriver là, il a d'excellents rapports avec les collégiens pour qui il travaillait, ils vont lui manquer!
Fred et Boubounz: Gilles appréhende la suite: où va t il atterrir?
Val qui rit: Gilles était le rempart des gamins contre le chefayon aboyeur, j'espère que des parents se plaindront en haut lieu (conseil général) de la qualité de la nourriture et du service!!! Si le service vétérinaire passe c'est la fermeture immédiate! On ne peut pas baiser et cuisiner sans que cela s'en ressente sur le résultat.
Imen, Loulou: Gilles ne va pas encore bien... Le sac est lourd à vider et le doute ne contamine pas que la vie professionnelle... Mais nous allons nous battre pour remonter la pente. Maintenant que l'abcès est percé il faut juste appuyer pour que ça sorte!
Barbara: Après avoir pété une durite il était en état de choc et dans ces cas là l'administration appelle le 15..
Mauvaise fin d'année, mais sûrement bonne en 2011. Gilles est où ?
RépondreSupprimerpepette
Le message précédent est une bonne illustration de tout ce qui va aider Gilles a aller mieux, heureusement qu'il a une si belle famille pour contrebalancer le côté carrière pas épanouissante.
RépondreSupprimerBon courage à toi pour l'épauler, pense à prendre soin de toi aussi :)
Que les fêtes permettent à Gilles de se reconstituer complétement pour partir vers de nouvelles aventures professionnelles !
RépondreSupprimerbonjour,
RépondreSupprimerbulletin d'évaluation à rendre oblige je n'ai pas eu beaucoup de temps pour venir folâtrer sur ton blog ! je suis consternée de ce que je viens de lire. Comment peut-on laisser quelqu'un souffrir moralement comme ça ? Dommage que ça en reste là, et que ce soit Gilles qui soit contraint de partir et non pas ces deux connards qui lui ont pourri la vie !
J'espère que Gilles se remet, je sais que ce n'est pas évident il y a quand même un sentiment de profonde injustice qui se dégage de tout ça et ce n'est pas toujours évident de reprendre confiance après une telle expérience... Nous pensons bien à lui et surtout qu'il n'en doute pas : même si ce transfère ressemble à une sanction, il a eu mille fois raison et honnêtement ce collège ne méritait pas ton homme !
bises à tous, et surtout au principal intéressé bon courage à lui, et qu'il les sortent de son esprit, ils ne méritent pas une seule de ses pensées !
j'ai eu Gilles tout à l'heure, il faut lui laisser le temps de s'en remettre... J'espère surtout que conseil général pourra lui proposer un poste qu'il apprécie et que cette grosse crise sera le début d'un nouveau départ. On pense tous à vous, courage Gilles.
RépondreSupprimerBon courage à Gilles, et à toi aussi Anne !! Nous espérons qu'il retrouvera un poste qui lui plaira. Ca ne peut pas être pire... C'est quand même fou que ce soit toujours les cons qui font partir les bons !!
RépondreSupprimerà bientôt, Aline
Moi aussi je suis consternée... et en même temps, souvent, il faut en arriver là pour accepter un vrai changement. Je suis passée par là en 2007 avec une responsable (qui faisait venir des "représentants" à la crèche à 19h, empêchant la femme de ménage de faire son boulot pendant qu'elle s'envoyait en l'air dans le bureau) qui m'a pourri la vie "tout en douceur", puis mon homme en 2008, largué sur un poste qui ne lui correspondait absolument pas. Il a fallu que l'on craque vraiment pour s'autoriser à bouger, enfin.
RépondreSupprimerJe souhaite plein de courage à ton homme, qu'il reprenne doucement son souffle pour un nouveau départ. Et à toi aussi, courage dans le soutien que tu pourras lui apporter, parce que pour le vivre en ce moment, je sais qu'il est parfois plus difficile d'accompagner quelqu'un qui va mal, que d'aller mal soi-même...
Plein de bises à vous, et un bel objectif pour 2011 : retrouver la sérénité au boulot !
Quelle galère... et si fréquente, hélas ! Bon courage à vous deux !
RépondreSupprimerJe pense aussi que c'est bien pour ton mari d'avoir dit tout haut ce qui se passait. C'est très difficile à vivre quand on garde pour soi. j'espère moi aussi qu'il va vite retrouver la forme et un boulot qui lui plaît !
RépondreSupprimerMerci a vous tous pour votre soutien qui me fait chaud au cœur un peu d'humanité fait vraiment du bien. Malgré certain d'entre vous que je ne connait qu'au travers vos écrit mais que j'aimerai rencontrer merci encore un fois à vous tous.
RépondreSupprimerJ'en rajoute, rattrapant le train en retard (y a des moments ou on peu pas suivre le rythme)
RépondreSupprimerMort aux cons ! Tiens bon la rampe Gilles !
A la bourre, mais je suis contente pour vous que ça bouge !
RépondreSupprimerEffectivement, certains chocs sont salutaires, même si cela reste des chocs.
J'espère que Gilles va pouvoir se poser, et que son nouveau poste correspondra à son envie de travailler correctement !
OUAIS ! Comme pidji, je rattrape le train en retard, mais, COURAGE et repos. Et mort aux cons aussi !
RépondreSupprimeril sait tout faire ton homme Anne,des beaux enfants ,une belle maison,la cuisine.....qu'est ce que tu t'em...avec des cons:ouvre une table d'hôtes dans ta campagne et fais toi plaisir !
RépondreSupprimerps je n'avais jamais pensé que l'on puisse baiser et cuisiner en même temps,c'est pas sain tout ça!
Je lui souhaite de recommencer mieux ailleurs après avoir pris le temps de se remettre psychologiquement.
RépondreSupprimerBisous à lui
oooohhhh... :-( mais c'est un mal pour un bien, l'abcès crevé, certes douloureusement mais pour mieux repartir, rebondir, ailleurs, plus tard, et je lui souhaite plus sereinement. Qu'il se repose, en attendant et que sa route ne croise plus celle d'abrutis.
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