Il y a 20 ans, alors que j'étais très enceinte de Clovis, Simone, la maman de Gilles, nous avait donné ses "vieux" meubles de cuisine. Des caissons en mélaminé blanc, des portes en chêne.
Elle nous avait bien recommandé de ne pas les jeter quand nous n'en aurions plus besoin ("c'est de la qualité"(cela a de la valeur)(ça peut (re) servir)).
Avec ces meubles nous avions aménagé une "belle" cuisine.
Pile poil pour l'arrivée de Clovis.
Depuis de l'eau a passé sous les ponts, la "belle" cuisine de Simone est devenue l’extension de la salle de bain, la buanderie, quand nous avons intégré la "vraie" cuisine il y a 5 ou 6 ans.
Les caissons blancs et leurs façades en chêne ont alors renfermé des serviettes éponges, des gants de toilettes, ont soutenu les tas de vêtements à trier/plier ou/et triés/pliés.
Jusqu'à cette nuit.
Où, entre 2 et 3 heures du matin, l'un d'eux a cédé (un caisson, pas la porte, elle a chu mais elle est indemne).
Bardadoum!
Nous (Gilles (il a entendu!!!) et moi. Les autres...?) sommes descendus en catastrophe: "Les chiens?", "Les chats?", "Un gosse?".
Ok, rien de grave.
Sauf pour ma nuit... Je ne me suis rendormie, bercée par les ronflements (légers) de Gilles, qu'au petit matin. Quand le réveil s'est mis en branle...
Voilà, voilà...
ça doit faire peur en effet !
RépondreSupprimerJe suis en train de renoncer à avoir des nuits "normales". Cette nuits orages. Et, de nouveau, le chat (Gilles a essayé de le faire sortir avant que je me lève (il a échoué, il pleuvait, le chat à changé d'avis)(avec moi il n'a pas eu le choix) et m'a dit: "rendors toi!" mais à 5 heures c'est trop tard....
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