Victor, Emma et Apolline étant à Quiberon (chez les parents, puis grands parents, puis frère, puis sœur), c'est sans eux, mais avec Colette et la maman de Cynthia que nous avons mangé le 24 au soir.
Et que Bastien a ouvert son premier cadeau (les autres, tous les autres, pour tout le monde, seront ouverts au retour des bretons. Et avant le rush des Richez. Il y en a qui commencent à s'impatienter... Rendez vous pris le 27 à 10h!).
Les questions sont celles de Dr CaSo:
- Question de Cinabre: vous est-il arrivé d’avoir un fou rire au mauvais moment?
Oui, bien sûr, souvent (à l'école, devant la réaction, la réflexion, la révélation (oh!!! J'ai compris!) d'un-e élève). Avec ma collègue AESH nous essayons de rire discrètement...
- Question de Mme Chapeau: vous est-il déjà arrivé de refaire plusieurs fois de suite le même cauchemar?
Sans doute... Je ne me rappelle jamais mes rêves ou mes cauchemars.
- Question de Bleck: les huîtres, vous les gobez ou vous les mâchez, avec un trait de citron, avec échalote et vinaigre, ou brut d’ouverture?
Je les mâche, avec du citron, ou pas. C'est un petit plaisir une fois par an.
- Question de Roz: chaussettes trouées : reprisage ou poubelle ?
Et sinon...
Hier, le 25, j'ai cuisiné un canard (cadeau du papa de Coline) à l'orange et Colette est venue le manger avec nous pendant que Simon, Cynthia et Bastien étaient chez le papa de Cynthia. Il sont arrivés en fin d'après midi pour jouer à Blokus pendant que je terminais un cadeau fait main (Je vous parlerai de cette histoire d'éléphant rose quand il sera déballé (j'ai oublié de la prendre en photo avant le scotcher le papier)).
De leur coté, Coline et Clovis avaient fêté Noël avec la maman de Coline le 23 au soir, chez son papa le 24 à midi.
Cela fait un peu...Chez vous aussi c'est Noël à répétition?
Chez nous, Noël est forcément le 24, puisque le 25, c'est l'anniversaire de la Merveille ;-) On verra bien les prochaines année puisque la Miss va quitter le nid en Septembre...
RépondreSupprimerDepuis que les enfants ne sont plus des enfants nous nous adaptons à leurs emplois du temps. La date n'a pas d'importance. Ce qui compte c'est les bons moments passés ensemble.
SupprimerPas de Noël ici, mais j'aurais adoré le canard et les chocolats :D
RépondreSupprimerMême pas en décalé?
SupprimerD'habitude oui. Cette année nous sommes restés à deux. Virus hivernal et réaction de surprotection par certains membres de la famille. Sentiments très partagés... L'effet sur le moral a été très moyen. Mais bon s'il y a de la gène et de la culpabilité il n'y a pas de plaisir. Bref nous avons lâché prise et sommes restés chez nous. Nous nous verrons à un autre moment. La vie continue 😃
RépondreSupprimerJe vois très bien ce que tu veux dire!
SupprimerAprès, je sais maintenant d'expérience que pour certains le plaisir est dans le "pas de gène" (ou, carrément, il n'y a de plaisir qu'en causant de la gène).
Alors il faut faire en sorte de profiter des bons moments, avec les bonnes personnes.
Oui, 24, 25 puis 27, et cette année on a bien profité des moments passés (même si les parents âgés vieillissent, mais c'est dans l'ordre des choses) et bien profité les uns des autres. Maintenant on va finir les restes (j'ai été horrifiée d'apprendre que la majorité des gens jettent de leur volaille de Noël le lendemain !) et ranger un peu, et puis profiter du reste des vacances pour se reposer.
RépondreSupprimerOui, se reposer!!!
SupprimerPour nous ce fût réveillon du 24 à trois avec mes enfants et noël à 9 chez ma soeur, il manquait juste le copain de Grande qui a fait les deux repas chez ses parents. Bon il est arrivé après et on s'est rattrapé ! ;) Maintenant, j'avoue que tout ça ne me stresse plus, je profite juste de ce qu'il y a , avant j'en aurais été malade si il y avait un petit problème ou décalage ou un absent, maintenant je m'adapte et surtout je profite du moment !
RépondreSupprimerNoël avec les enfants n'est pas une source de stress. Celui plus élargi si (pour certains ce n'est sans doute pas sans raison que l'on ne se voit qu'une à deux fois par an). D'années en années les mauvaises expériences s'accumulent. Cette année aura été la dernière. S'il y a encore un "grand" Noël ce ne sera pas chez nous. Ainsi nous pourrons partir quand ce sera trop compliqué et ce n'est pas de chez nous que partiront ceux qui n'ont rien trouvé de mieux à faire (discuter, partager) que de picoler (malgré nos efforts pour essayer de maîtriser l'affaire).
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