Pipi, caca, père Noël et compagnie.

Non, non, je n'ai pas perdu la raison.
Je n'ai pas abusé de la bouteille.
Mon cerveau n'a pas grillé au soleil.

 Même si ce mercredi d'été début avril a donné au confinement un air de grandes vacances.

Je n'ai pas perdu pied.

Je l'ai mis devant l'autre, en fin de journée, bien occupée entre la classe sur ordi, le linge, la cuisine, la couture, pour aller, avec Suzanne, promener Roots.

 Oha! Fait chaud, non?

Cette promenade, tractée, plus ou moins, par le chien ravi de mettre son nez dans tous les trous et tenté par tous les fossés, a complété le début de mon "entraînement" physique. Depuis trois jours je profite qu'ils dorment encore (ils seraient trop heureux de se moquer de moi et j'en aurai pour des jours) pour faire quelques mouvements (les 5 tibétains) et je redécouvre quelques muscles oubliés.

Et pendant ce temps là Arthur réparait la barrière du potager.

Où Gilles œuvrait, encore et encore. Il s'entraîne pour quand il sera à la retraite.

Bon, tout ça, me direz vous, n'a aucun rapport avec le titre!

Alors j'éclaire votre lanterne:

Le pipi c'est celui que Bernie, trop content, a fait sur la main qui le caressait. 

Celle d'Emma outrée. Incident qui a déclenché un fou rire général, bien sûr!

Et le caca c'est celui qui m'a sauvée du sort peu enviable de dormir chaque nuit avec le père Noël (c'est pas de saison, vous devez bien l'avouer!):

Depuis qu'il ne sort plus Gilles ne se rasait plus. Et sa barbe se faisait de plus en plus touffue, hirsute et piquante. Je lui avait bien suggéré de faire quelque chose pour améliorer son aspect mais...

Jusqu'à ce que, passant la débroussailleuse, il rencontre un caca. Caca qu'il a pris... Dans la barbe!

Illico il s'est rasé, ce qui m'a laissé perplexe, en pleine journée, mais qui m'a grandement satisfaite!