Un temps à ne pas mettre un bricoleur du dimanche, ou du 11 novembre, dehors!!! Ça tombe bien aujourd'hui nous travaillons dedans...presque tout le temps...
Une bétonnière de "colle" et Gilles bouche les trous du pignon.. Dedans et en haut, trop haut pour Gilles qui n'aime pas l'altitude.
Pas du tout l'altitude!!! Gilles et l'échafaudage ne sont pas copains...
Une éclaircie et Gilles retrouve le plancher des vaches et bouche cette fois le trou béant laissé par le four à pain. C'est là que l'on trouve une utilité aux briques de récup, stockées non loin.
Et pendant ce temps là, je fais ma séance de sport pour la semaine. Je transporte les lambourdes (La lambourde de parquet est une pièce en bois de grande longueur, de quelques centimètres de section, clouée par dessus les solives composant le plancher, destinée à recevoir le parquet) de la grange où elles ont été rangées hier pour les amener au pied de la trémie:
Et un, je pars de la grange deux lambourdes sous le bras, et deux, je traverse la terrasse, je contourne la table (au bout de deux tours je pense à pousser la table), et trois, j'enjambe le muret de la terrasse, et quatre, je patine sur l'herbe mouillée, et cinq, je négocie la porte sans heurter le chambranle en alu tout neuf, et six, je pose mes lambourde et retour à la grange à vide, Et je recommence, interrompue seulement par une montée au premier d'un seau de colle, d'un de cailloux, de briques...
Étant donné qu'il y a 56 lambourdes et que je les transporte 2 par 2 combien de tours ai je effectué?
Pour les monter nous nous sommes mis à trois, Gilles en bas, moi à la réception et Michel à l'entassage (au carré!!!).
Derniers clous pour une planche récalcitrante......et nous posons le polyane...
...et attaquons la première lambourde!
Ce que nous craignions s'avère exact: ça va pas être du gâteau de caler toutes ces lambourdes...
...sur le plancher tout biscornu!!!
L'après midi touche à sa fin et nous espérons que la nuit nous porte conseil...
Gilles finit le bouchage de trou de four, la maison n'a plus de trou. C'est plutôt une bonne idée par ce temps de breton!!!
Une journée encore bien remplie !
RépondreSupprimerHa ! ces vieilles maisons... elles sont toutes de bidzingouette !
Je n'ai pas fait de photos mais c'est vrai, ce fut un 11 novembre avec un temps de chien, pas vraiment breton puisque en bretagne il fait beau au moins une fois par jour et aujourd'hui... Il a plu sans discontinuer... Ici aussi. Nous pensons à vous. Bon courage.
RépondreSupprimerLa première photo est très étrange, on dirait une bétonnière plongée dans un lac... j'ai mis du temps à comprendre. Bon sinon le "sport" c'est pas de se ruiner muscles ou/et vertèbres! Fais gaffe à ton dos.
RépondreSupprimerTu as donc fait 28 fois le tour avec les LAMBOURDES et aujourd'hui je sais ce que c'est !!!
RépondreSupprimerBeau travail !
jolie charpente en tout cas!
RépondreSupprimersurtout se dire que quand ce sera fini ce sera superbe.
RépondreSupprimerje vous rassure à paris aussi temps de m.....
Je suis comme Barbara, je pensais que la betonnière était, gloup gloup, morte noyée. Sans doute la vue qui à besoin d'un temps d'adaptation. Bisous.
RépondreSupprimerSacrée journée !
RépondreSupprimerVal qui rit: bidzingouette!!! J'adore!! C'est tout à fait ça...
RépondreSupprimerCécile: Tu as raison c'était plutôt un temps de chien!! Cette nuit le vent a tellement soufflé qu'il a envoyé le toboggan dans la serre et c'est cassé la serre!!!
Barbara: Je me concentre, je serre les fesses et je rentre le ventre, en continuant comme ça je vais avoir une silhouette de mannequin...
Fay: Le compte est bon!!!
Daphnénuphar: Heureusement, vu le prix qu'elle nous a coûté!
cmcg: Superbe, mais pas prêt d'être prêt...
Bouboule: Si la bétonnière coule, nous sommes noyés...
Madame Zaza: Un jour de travaux, nous avons connu pire!! Si tu veux en avoir une idée clique sur l'intitulé "travaux" et remonte jusqu'en juillet 2009....