Et il pleut, il pleut, il pleut...
Les "projets", plus ou moins programmés, sombrent dans la boue de la cour.
Planter, nettoyer le jardin (la clôture du potager s'est allongée de tout son long), laver la voiture (Gilles a réussi à faire l'extérieur (qui, vu le temps, sera à refaire dans quelques jours))...
...ranger (Je frôle le malaise quand je jette un œil dans son gourbi) et repeindre la chambre de Suzanne, poser la faïence (Là j'ai perdu toute confiance en mes capacités, j'ai besoin d'aide) (mais Simon a déjà assez de boulot comme ça. Quand nous sommes passés les voir il élaguait ses arbres entre deux averses) dans la cuisine...
...aller chez Nanette et Françoise, faire les portes ouvertes à Paris (Nous avons bien fait de renoncer, Suzanne a vomi toute la journée d'hier) (cela tombe bien pour Victor et Emma, que nous soyons là, en fait, nous allons pouvoir garder Apolline pour leur permettre de sortir sans culpabiliser),...
Reste le projet rando avec la Coch'mout'team.
Programmé lundi. Sans Valérie, qui va mieux mais n'est pas encore au top. Sans Gilles, sans doute (il ne supporte plus de nous entendre parler école (même quand nous réussissons, de plus en plus souvent, à nous limiter à quelques minutes (il est temps que je prenne ma retraite, là aussi))).
J'ai réservé le repas.
Ces vacances sont gluantes, collantes, lourdes.
Comme le temps.Temps usé à faire du ménage (boue, boue, boue...), à faire à manger, à rentrer du bois (et, génial, il ne manquait plus que ça, je me suis fait mal au dos en déchargeant la brouette) à regarder quelques séries.
Voilà...
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