Je pense à eux, et à d'autres, si souvent mais en parle peu... En cette période "anniversaire" je voulais aussi les revoir un peu. Alors j'ai emprunté à mon amie FD ce poème qu'elle avait appris à l'école, là bas, en Afrique pour "encadrer" ces photos...
Bénou, ma sœur...
Albert, mon père...
"Ceux qui sont morts ne sont jamais partis :Ils sont dans l’Ombre qui s’éclaire
Et dans l’ombre qui s’épaissit.
Les Morts ne sont pas sous la Terre :
Ils sont dans l’Arbre qui frémit,
Ils sont dans le Bois qui gémit,
Ils sont dans l’Eau qui coule,
Ils sont dans l’Eau qui dort"
Merci.
RépondreSupprimerToujours présents dans nos gestes,dans nos moments de doutes,dans nos prises de décisions,ils nous accompagneront tjs ...
SupprimerToujours là, oui...
SupprimerJe pense aux miens.. ceux qui sont en fait là, dans mon coeur.
RépondreSupprimerNous avons tous les nôtres...
SupprimerJe les ai bien connus tous les deux, il y a longtemps et je ne les ai jamais oubliés.
RépondreSupprimerC'est gentil...
SupprimerIl y en a beaucoup qui, comme pour toi, restent là bien présents dans mon cœur et mes pensées, même après de nombreuses années.
RépondreSupprimerMoi non plus je n'en parle pas beaucoup, mais ils m'accompagnent au quotidien.
Douces pensées pour Bénou et Albert que je n'ai pas connus, si ce n'est un peu à travers toi.
Ils continuent à vivre en nous, dans ce que nous portons d'eux...
SupprimerJe parlais justement ce soir de mon père à ma Louloute, qui pleurait de ne pas l'avoir connu... Il est si présent, presque plus accessible que de son vivant, à toute heure !
RépondreSupprimer"Ils sont dans mon coeur qui sourit".
C'est aussi pour cela que j'affiche ces photos! Suzanne a 15 mois quand Bénou est partie, un an plus quand cela été le tour de papa...
SupprimerIls ont fait et font toujours c que nous sommes aujourd'hui. Sans nos "partis", nous serions différentes...
RépondreSupprimerL'intégrale du poème "souffles" de Birago Diop est là http://neveu01.chez-alice.fr/birasouf.htm.
Bien nous serions différentes! Puisque nous nous sommes construites autour, avec et sans nos "partis".
SupprimerPoème très juste et très beau, ils sont là en nous aussi et nous portent en avant. J'essaie de transmettre ce que j'ai appris près d'eux, une façon de les prolongés et parfois je ré-entends leurs voix... La chaleur toujours dans la voix de ton père lorsqu'il me demandait des nouvelles des miens et de moi, la passion qui l'habitait lorsqu'il partageait ses convictions. Le rire de Bénou, son espièglerie...
RépondreSupprimerJe pense à vous, même si le temps file et que je ne rappelle pas ! J'espère passer aux prochaines vacances...
Bises
Oh, tu reviens justement le jour de la pause nostalgie/souvenir... Merci pour tes souvenirs! Et, oui n'hésites pas à venir! Nous allons samedi visiter les jardins du vieux Mans avec mamie Simone.Tu veux nous y rejoindre?
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