Cela faisait des jours que je me trainais avec:
Babélio en dit:
Son surnom, Stress, c'est Nordine qui le lui a donné. C'était les années 90, dans le quartier du Panier, à Marseille, au-dessus du Vieux Port. Il y avait aussi Ichem, Kassim, Djamel et Ange. Tous venus d'ailleurs, sauf lui : sur la photo de classe, Stress tranchait avec sa peau rose. Aujourd'hui les bobos rénovent les taudis du centre-ville et les pauvres ont été expulsés vers les barres d'immeubles avec ascenseur en panne. Les potes d'hier sont devenus chauffeur de bus, agent de sécurité, dealer — ou pire. Un peu artiste, moitié loser, Stress rêve, lui, de tourner un film sur leur vie d'avant, quand ils enchaînaient les boîtes de nuit afros, les virées à la plage, les bagarres et les délires aux accents mêlés. Alors Stress écrit "Cinq dans tes yeux" pour conjurer le sort. La langue est inventive, fulgurante. Un roman drôle et insolent comme la vie. Hadrien Bels est marseillais. "Cinq dans tes yeux" est son premier roman.
Moi:
Stress ne m'a pas parlé. Ses fringues de marques, son goût pour le vol et les coups non plus.
Et sa vision de Marseille est terrible.
Il l'aime, mais il l'a décrit... Moche.
Dommage, je suis passée à coté, j'ai insisté, j'ai dépassé la moitié du roman et...
J'ai laissé tomber pour:
Une jeune femme de vingt-cinq ans perd la voix à la suite d’un chagrin d’amour, revient malgré elle chez sa mère, figure fantasque vivant avec un cochon apprivoisé, et découvre ses dons insoupçonnés dans l’art de rendre les gens heureux en cuisinant pour eux des plats médités et préparés comme une prière.
Rinco cueille des grenades juchée sur un arbre, visite un champ de navets enfouis sous la neige, et invente pour ses convives des plats uniques qui se préparent et se dégustent dans la lenteur en réveillant leurs émotions enfouies.
Un livre lumineux sur le partage et le don, à savourer comme la cuisine de la jeune Rinco, dont l’épice secrète est l’amour.
Un petit chef-d’œuvre gastronomique et littéraire (Marjorie Alessandrini, Le Nouvel Observateur).
Roman traduit du japonais par Myrian Dartoi-Ako
Moi:
J'ai adoré!
C'est doux amer.
Et cela donne faim!
J'ai lu le second l'an dernier, juste avant Noël, un régal effectivement. Je l'ai offert à ma fille (qui est fan de recettes japonaises et coréennes) et j'ai bon espoir qu'elle nous prépare bientôt une des recettes qui se trouvent à la fin du livre.
RépondreSupprimerIl y a un second!!! Génial!
SupprimerJe voulais dire le second livre de ton billet "le restaurant de l'amour retrouvé". Mais si tu découvres qu'il y aune suite, tout aussi savoureuse, je suis preneuse.
SupprimerMais oui, bien sûr!
SupprimerOh, j'ai tellement aimé le second ! Et tu me fais penser à regarder s'il y a d'autres titres de cet auteur à la médiathèque…
RépondreSupprimerJe vais chercher le second et surement me régaler encore!
SupprimerJe parlais moi aussi du second livre de ton billet, mais ma médiathèque a en rayon La papeterie Tsubaki, ainsi que sa suite (La république du bonheur), Le ruban et Le jardin arc-en-ciel.
SupprimerMerci pour le tuyau!!
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