vendredi 8 décembre 2017

En mode... Décembre. Ou à la mode en décembre.

Elle sait, la rusée que je suis allergique à ce genre de manifestation... 
Que j'ai largement ma dose de mouvement, de bruit, de "foule", avec ma classe. Que je n'aspire qu'au silence, au calme, genre coin du feu, bouquin... 
Déjà que la coupure du mercredi ne commence qu'à 13h... 
Mais elle avait tout organisé, et qui suis je pour la priver de ce plaisir?
Elle avait rendez vous avec ses copines les jumelles qui y allaient avec leur mamie. Et cela ne dérangeait pas leur mamie de veiller sur une fille de plus.
Ok, j'ai écourté ma sieste déjà courte et je l'ai amenée à Vendôme. Les filles ont pris en charge son apprentissage et, puisque j'étais en ville j'ai fait quelques courses.
Je dois avouer que seule c'est plus simple.
J'ai réussi à trouver quelques trucs. Et même si je suis très loin du compte je suis contente.
Moui... Puis j'ai récupéré Clovis au skate parc (il va mieux, parfois, est encore capable de dormir 20 heures de rang, va mieux, il a faim puis plus..) et, vous savez quoi? Il faisait déjà noir, et c'était déjà le soir, ne n'avais toujours pas réussi à mettre un pied à la médiathèque (en même temps les bouquins me tombent des mains au bout de deux ou trois pages alors ça dure...), toujours pas eu le temps de faire du ménage (et pourtant Groove mue, donc perd ses poils par poignées)...
Mercredi en mode éclair.
Jeudi...
J'ai commencé par faire un gâteau. oui, encore en pyjama, juste après le café, juste avant le passage du car, un gâteau au yaourt tip top.
Pour les invités surprise de la classe des CM1! C'est Émilie et Jérémie qui sont venus présenter un projet qui va nous mener jusqu'en mars. Ce fût un chouette moment dans une journée bof. Et ne me dites pas que c'est à cause de Noël, à cause de la mort de Johnny (encore que... Dans certaines famille Johnny c'est un proche en quelque sorte) qu'ils sont énervés, bruyants, agressifs les uns avec les autres parce que... Johnny ben... et Noël c'est pas encore tout de suite, non?
Bon sinon j'ai au un rendez vous délicat (merci du soutien de ma hiérarchie qui ne s'est pas manifestée, qui ne s'est inquiétée de rien alors que j'avais signalé que ce pouvait être chaud) qui s'est bien terminé.
Jeudi disparu sous des trombes de pluie glacées et dans une atmosphère d'épuisement collectif à la maison (et l'épuisement n'est pas de bon conseil) nous sommes vite passés à la suite.
Vendredi. Ralenti.
Mais productif. Ma matinée de classe, entrecoupée de coups de fils importants (mais toujours pas ma hiérarchie) c'est terminée par un appel du maître de Suzanne. Je suis allée la récupérer bien blanche et nauséeuse (avec mal à la tête) et nous sommes allées chez Colette. Le repas avalé, l’accès au site de location de la maison de Mirabeau débloqué, le bisou fait à Simon, nous sommes rentrées.
Et j'ai fait la sieste.
Avant de passer trois heures a rattraper le ménage pendant qu'Arthur "plantait" le sapin, que Suzanne décorait.
Oui... Il y avait aussi spectacle. Et téléthon.
Mais il aurait fallu ressortir.
Et je me suis mise en pyjama, déjà.
Acte manqué? C'est Gilles (qui a fait une sieste sur le canapé, une sieste dans le bain) qui ira chercher Victor à la gare dans la soirée...

4 commentaires:

  1. La marathon de décembre... courage !

    RépondreSupprimer
  2. Aller courage, si le père noël t'entend (il parait qu'il entend tout et voit tout et sait tout et tout et tout !) il va te trouver un peu de temps pour ... mais tu es bien capable de l'utiliser encore ce temps, et pas pour toi !

    RépondreSupprimer