mardi 7 novembre 2023

Ailleurs.

Les vacances sont passées à la vitesse de l'éclair...

La première semaine nous avons gardé Apolline pendant trois jours.
Nous avons essayé de rattrapper le retard de lessive, de ménage.
J'ai donné un coup de main, de loin, par téléphone, Thomas qui a vu ses vacances, à Mirabeau, noyées sous un dégât des eaux.
Nous avons randonné avec la Coch'mout team.
Nous avons passé une super soirée fanfare au cirque.
Nous sommes allés à la piscine, après l'heure de des bébés (pour profiter de l'eau chaude) avec Apolline et ses parents.
La seconde semaine a filé tout aussi vite.
J'ai aidé Colette à rédiger un (nouveau) courrier de protestation, et une (seconde) réclamation à l'ARS.
Nous avons fait une visio familiale (côté Richez) pour gérer la crise Mirabeau. 
Nous avons donné un coup de main à des voisins pour charger leur camion de déménagement.
Cela nous a mené à jeudi après midi.
Où nous avons confié les clefs de la maison aux "gosses" et nous sommes partis.
Gilles et moi.
Nous avons profité d'un double cadeau:
Une nuit à l'hôtel (box) offerte en cadeau de fin d'année.
Et les places au Cadre Noir de Saumur que Emma et sa maman ne pouvaient utiliser.
J'ai organisé ça à l'arrache mais...
Une fois la chambre trouvée, réservée (attention certains hôteliers demandent des "compléments" (pas négligeables), les box ne leur rapportant pas assez...), j'ai réussi à caler la visite depuis longtemps cochée dans la liste des "à ne pas manquer" (Victor nous l'avait recommandé il y a quelques années).
Nous sommes arrivés en fin d'après midi, appréhendant qu'il ne fût fermé pour cause de tempête.
La propriétaire l'a réouvert pour nous.
 Et, malgré la pénombre qui a assombris le dernier quart d'heure,...
...nous y avons passé une heure délicieuse.
Nous avons pris, l'air de rien, une bouffée d'air presque exotique.
A une heure de la maison.
Puis nous avons encore roulé un quart d'heure pour rejoindre l'hôtel à Mansigné.
Nous y étions seuls (en tout cas avant le repas).
Tout comme au resto que j'avais réservé!
Nous avons eu la salle, le patron (un martiniquais Manceau, à moins que ce ne fût l'inverse?) et ses anecdotes, la musique, les boissons et le colombo de porc en exclusivité.
Nuit calme.
Réveil et petit déjeuner, en duo (les autres clients, une famille de quatre, dormaient encore), avec des échanges très cordiaux avec le patron.
Une petite heure de route plus tard nous sommes tranquillement arrivés au Cadre Noir pour nous installer et profiter des "Matinales" (pas de photos autorisées).
Le spectacle terminé nous sommes partis à l'aventure pour trouver un coin où manger.
Et c'est à "l'amuse bouche" que nous avons trouvé une place.
Dans un resto vide, encore!
Mais qui s'est tranquillement rempli de locaux.
Il faut dire que des boissons au repas...
...nous nous sommes régalés.
Crème brûlée flambée...
Petite balade digestive à Dampierre.
Puis à côté du Cadre Noir.
Suivie de la visite des écuries.
Tout cela à de quoi donner le sourire, non?
Ailleurs, à (quasi) deux pas de chez nous....

Merci, Jeanne et Willy, merci Emma et Victor.

6 commentaires:

  1. AH mais extra l'affaire ! tes photos et tes propos font tresses envie! Rapides mais chouettes ces vacances!
    virginie

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  2. treeees envie ! le correcteur ne comprend rien!

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  3. Pas mal du tout ces vacances ! Et je le dis toujours pas besoin d'aller loin pour voir de belles choses ! il y a tant à voir en France !
    Pour revenir sur le courrier de ta mère, bon courgae ! moi, j'ai abandonné, j'ai fait un premier courrier à l'ARS des hauts de france qui m'a répondu 3 ou 4 mois plus tard pour juste me dire qu'ils avaient fait suivre mon courrier à l'ARS de l'oise. Puis l'ARS de l'oise m'a écrit qu'ils avaient bien reçu mon courrier, ils ont fait le bilan de ce qui s'était passé selon eux, c'est à dire: " Ils ont tout bien fait, il n'y a pas eu de maltraitance, c'est la faute à pas de chance mais si je veux porter plainte, je peux... Je ne l'ai pas fait, ma mère est partie, cela ne limitera pas ses souffrances et son isolement de ses derniers jours...
    Il faut de la ténacité pour leur tenir tête ! Bon courage !

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    1. Oui, pour faire un pas de côté pas besoin de faire énormément de kilomètres.
      Nous avons l'impression de nous battre contre des moulins à vent... Mais j'ai la chance que maman soit toujours là alors, pour l'instant nous nous battons.

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