Temps et contre temps, la musique du quotidien.

Le tempo n'est sans doute pas celui dont je rêvais. 

Mais, si en rentrant mardi, de l'école, après être allée soutenir mes anciennes collègues (celles que j'ai trouvées, les autres étaient chez les gendarmes en train de témoigner pour un enfant en danger), j'espérais trouver le poêle remis en route (petit mot pour Arthur, laissé sur la table en partant à 8 heures) j'aurai pu être déçue.

Il avait travaillé à débiter, à entasser, le bois coupé das le jardin. Il n'avait pas eu le temps (moi j'aurai commencé par le poêle, mais, il faisait beau, je comprends pourquoi il a choisi le travail en extérieur).

Pendant je me lavais, il a démonté la bête, encore, et a dégrippé la vis sans fin (c'est cette histoire de poêle qui est sans fin!).

La maison était bien chaude pour le mercredi chez papi et mamie de Bastien. Merci Arthur.

Qui nous a accompagnés, Bastien et moi à la médiathèque.

Une fois que nous avons récupéré la Skoda (dans laquelle il y a le siège auto) que Gilles avait prise pour aller faire les courses, ayant interprété à l'envers ce que je lui avais dit:" Ne prends pas la voiture, s'il te plait"

Puis il y a eu la sieste... Retardée parce que que j'ai été récupérer Colette à la gare TGV, contente de rentrer chez elle, pour la ramener jusqu'à sa porte (je ne voulais pas réveiller Bastien en rentrant dans la chambre pour m'allonger). Du coup Bastien était en pleine forme, papotait, jouait dans son lit.

Jusqu'à ce que je le rallonge et lui redonne doudou et tétine: en une minute il dormait.

Mais pas nous!

Le collègue de Gilles l'a appelé alors que nous venions de sombrer: Il redevenait chef (de cuisine) pour une journée (absence du "chef " actuel). 

Son mi-temps thérapeutique est très élastique (et que dire de l'arrêté qui se fait attendre depuis... un mois?)... Gilles, trop gentil, est corvéable à merci (la plupart du temps sans, le merci).

Il est temps que les vacances arrivent, il est très fatigué.

Et que dire du portail? Je ne vous ai jamais parlé du portail?

Depuis des années, mais cela c'est aggravé ces derniers mois (c'est une idée ou tout s'aggrave ces derniers mois? (pour mon amie Camille s'est ces derniers jours que tout empire...)), il faut forcer pour l'ouvrir (en plus d'avoir une serrure qui s'ouvre à l'envers, il frotte sur le seuil). 

Enfin, il fallait forcer. Maintenant, habitude oblige, son ouverture aisée nous surprend: sur un coup de tête (bienvenu), Gilles et Arthur ont déboité le "pied" du battant affaibli et l'ont soulevé avec des rondelles. Ils l'ont même graissé!!!

Quand aux voitures... Simon a dû garer la sienne dans notre cour le temps qu'elle retrouve ses esprits et qu'elle redémarre: une sombre histoire de capteur défectueux qui met l'engin en défaut (alors qu'il n'y a rien) mais qui obligerai à démonter tout le moteur pour le changer.

A défaut (ces défauts à répétitions sont également... Bref!) de moteur de voiture c'est le lave linge que Simon et Arthur ont désossé: deux roulements sont cassés dans l'axe. Le roulement coûte 5€. Mais il faut des outils spéciaux pour les extraire... Pour les remplacer. Et il n'y a pas, dans le secteur, de réparateur.

J'avais dans l'idée d'amener la machine hors service en ville, chez Envie (association d'insertion qui répare et recycle) et en acheter une nouvelle (recyclée). Simon pense qu'elle a plus de valeur en poids de ferraille et je m'interroge:

Un lave linge entre t-il dans la Skoda?