La carte bancaire de Suzanne ne fonctionne plus (et, comment dire? C'est une catastrophe quand elle cherche, et trouve, LA robe qui va bien). J’appelle la banque. La dame me parle du fin fond d'un puits et me fait répéter, le nom, puis le prénom, et pourquoi j'appelle... Bien entendu, comme je suis en ligne, Bastien (les gosses faisaient de même) hausse le ton. La dame va me rappeler. Ouf!
En attendant Bastien me donne un coup de main pour faire les yaourts, pour faire le pain (encore raté!), pour nettoyer la cuisine.
Elle n'a pas dit quand elle rappellerai. Alors, hop, on se prépare. Bastien mettrai bien ses "bobottes". Mais les "bobottes" sont introuvables (en tout cas à ce moment là). Il tente les crocs violettes de tonton Clovis mais doit se rendre à l'évidence, elles ne lui siéent pas. Dommage...
Câlin au poteau de la médiathèque. Il salue aussi toutes les voitures passant par là. Et les chiens, et les chats...
Et c'est parti pour une heure de jeux.
C'est à ce moment que la dame de la banque rappelle: Suzanne aurai bloqué sa carte ne faisant plusieurs fois un code erroné. Comme elle l'a fait chez un commerçant c'est foutu, ils n'ont pas la main, il faut faire refaire la carte et c'est payant (mais bien sûr ma p'tite dame! Et avec mes remerciements pour votre dévouement!!!)...
De retour à la maison Bastien retrouve son papi (ça y est! Il le prononce parfaitement. Et souvent!) disparu (au travail). Ils vivent quelques belles aventures le temps que je prépare le repas.
Et, hop! Sieste.
Et là, cela se complique un peu: Coline et Clovis partent jouer aux boules dans le village, Gilles part rejoindre Arthur en ville (il était à l'entrainement. Malgré une épaule déchirée (il "fait" les jambes)) pour faire les courses, Simon ramène la débroussailleuse et récupère Bastien, Clovis et Coline reviennent, changent de voiture et repartent aussitôt. Coline rejoint Gilles et Arthur pour les courses, Clovis rejoint son boulot. Les courses terminées Arthur, qui est en moto, va directement chez Victor et Emma. Gilles et Coline ramènent les courses (ou plutôt Coline ramène Gilles, qui ne se sentait pas très bien, et les courses), nous les déchargeons, les rangeons et nous repartons, un fois la débroussailleuse chargée, pour rejoindre Arthur. Nous passons deux petites heures cools, à papoter avec les futurs parents impatients (la petite est descendue et s'est placée en position de départ). Au moment où il recommence à faire froid nous repartons, Arthur en moto, Gilles, Coline et moi, en voiture. Arthur nous double mais n'est pas à la maison quand nous y arrivons. Nous tentons de nous rassurer, il a sûrement pris des chemins de traverse... Nous avons des nouvelles, Arthur parle de panne, Victor, lui a compris chute... Et c'était bien chute. Sans gravité, heureusement. Simon est allé récupérer le motard et sa monture (quelques frais à envisager). Je suis...
Fatiguée.
Oh non, désolée pour Arthur, son épaule déchirée, et sa chute à moto!!
RépondreSupprimerEt l'arrivée imminente de la petite, je comprends l'impatience des jeunes parents!
Pour l'épaule il a sûrement soulevé trop lourd avec une mauvaise position. Et pour sa chute... Plus de peur que de mal. Heureusement!
SupprimerEt du reste de la famille!!!
Courage ! Repose toi un peu ce grand week-end de ta vie vraiment trépidante !!!! tu vas pas tenir jusqu'à 64 ans !!! des bises
RépondreSupprimerNon, je ne vais pas tenir jusqu'à 64 ans. Je n'en ai pas l'intention. Bisous
SupprimerL'expression "tenir à bout de bras" me semble avoir été inventée pour toi. Bon long week-end reposant (I hope). Bisous
RépondreSupprimerPeut-être. J'ai eu une migraine carabinée hier...
SupprimerOui, c'est prévu (rien n'est prévu. A part l'anniversaire de Clovis).
Bisous.
Comme d’hab je suis épuisée rien qu’en te lisant ! Profite du week-end ! Manoudanslaforet
RépondreSupprimerEn fait moi aussi je m'épuise...
SupprimerBon week-end à toi aussi.