Lundi courses annulées puisque Victor est arrivé avec Apolline.
L'opération taille des arbres a été mise en œuvre, avec Victor à la taille, Gilles et moi à entassage de branches coupées, Suzanne, et Arthur quand Suzanne fut terrassée par la migraine, à la garde de mini fille (jusqu'à ce que je prenne le relais). En soirée il s'est avéré que la migraine de Suzanne n'était que les prémisses d'un attaque virale de 24h.
Mardi les courses furent effectuées avec Colette, et en y retrouvant, les croisant sur le parking bondé, Victor et Apolline, dans des conditions dantesques (foule dense, rayons clairsemés, toilettes (Apolline a eu envie de...) réduites de moitiés, aux portes (toutes, un record!) aux gonds grinçants, longtemps, souvent, et... Pas de papier toilettes (Pauvre Apolline que j'ai dû rhabiller sans essuyage!). Au retour Suzanne qui avait passé la nuit sur le canapé (plus prés des toilettes) était toujours malade. La sieste fut appréciée. Puis Colette est revenue et nous avons cuisiné (pour le 29): pâtés de poisson et pâté de canard.
Nous étions presque à l'enfournage quand Clovis et Coline sont arrivés pour le goûter. Ils étaient en forme et sont restés jusqu'après le repas (ils voulaient nous voir avant le début du marathon de Noël, chez la maman de Coline, chez son papa, avec nous, avec les Richez).
En allant me coucher j'ai commencé à ne pas me sentir très bien... Merci Suzanne pour ton virus pourri. La nuit fût totalement avariée...
Mercredi c'est entre la tête en vrac, l'estomac à l'envers et des douleurs musculaires variées que nous avons mené à bien le chantier seuil du bureau.
Nous avons eu des bonnes nouvelles de Victor et Emma chez sa mamie avec sa famille.
La nuit tombée et le vent glacial m'a accompagnée quand j'ai emmené Colette à la gare. Au retour j'ai cuisiné du quotidien et Simon, dont le camion est de nouveau fonctionnel (il y a passé deux jours, la tête dans le moteur) est venu le partager avec nous. Nous avons prolongé la soirée, un peu, en jouant au Trio et au Skyjo.
Au moment où chacun se retirait dans son domaine Suzanne nous a fait part de ce qui la préoccupait:
Ayant trouvé du travail, se voir devenant moins aisé, celui qui était sensé l'aimer lui a fait part que... Qu'il n'avait pas envie de se compliquer la vie alors...
La super classe, le soir de Noël, par message...
Jeudi... C'est Noël.
Mais c'est pas encore Noël. Il a neigé mais le soleil a tout fait fondre (malgré le froid intense).
Le virus pourri est passé (je l'espère pas chez quelqu'un d'autre), Gilles a passé une partie de sa journée à redonner de l'eau à ses poissons (en râlant, le tuyau étant gelé il a fait des allers retour avec un seau: "Plus que 75 comme ça et ça ira") (le bassin avait perdu la moitié de son volume, la faute au filtre encrassé (qu'il a lavé dans l'évier (heurk!))) pendant de j'ai préparé la carbonade de demain......et Suzanne la seconde bûche!
Tout à l'heure je récupère Colette à la gare...
Joyeux Noël en perspective (et dont l'effectif, prévu réduit, est exponentiel...)

Pas cool, le virus. Pas sympa, le copain (il était si mignon, en figurine). Je souhaite à tout le monde une chouette réunion de famille pour oublier les soucis. Joyeux Noël !
RépondreSupprimerMais vite passé!
SupprimerMignon mais... Pas si amoureux il faut croire (Suzanne avait des doutes qu'en à se "durabilité", elle ne nous l'avais pas présenté).
Oui, être ensemble, c'est ce qui compte...
Merci! À toi aussi.
heureusement, virus passé vite ! pfff pauvre Suzanne, virus + malotrus, on va dire expérience de jeunesse !!! Une bonne carbonade devrait faire passer tout ça ;-)
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