jeudi 31 octobre 2024

Bouffée d'ailleurs: de Montluçon (une bouchée) à Guéret (repas complet, en mode dégustation).

Troisième journée, qui démarre un peu mieux que la seconde.
Il faut croire que Gilles a fait son deuil de la grasse mat. Et sans doute aussi a-t-il compris, d'expérience, que le programme ne le décevra pas.
Bon, il demande quand même ce qui est prévu... Au programme.  
J'ai failli, le temps d'un instant, m'agacer. Ce n'est pas comme si je ne lui avais détaillé tout cela de nombreuses fois...
Et puis... Tranquille... Petit déjeuner, bagages et GPS. 
Une petite portion de nationale 7 (où de nombreux platanes centenaires n'ont pas résisté à la dernière tempête et se sont couchés en emportant avec eux les rails de sécurité), et hop! cap à l'ouest.
De nouveau nous admirons le bocage et nous félicitons du temps (alors que les enfants, à la maison, nous parlent de flotte).

Et nous voici à Montluçon (pas prévu, mais qui nous tendait les bras alors que nous avions un peu de temps), trouver une place gratuite (qui s'est avérée payante) à quelques pas du Cher...
...et se détendre les jambes sur la pente, dans un sens, dans l'autre...
Errer (à la recherche de toilettes... Et ne pas en trouver (l'aire qui nous a accueilli ensuite valait un -10)). Se dire que le coin vaudrait le coup d'y rester un peu plus...
...mais repartir impatients d'arriver.
À Guéret, chez Virginie.
Où, repas et promenade donnent le temps de se retrouver.
Parler des siens.
Parler de soi.
D'hier et de demain.
Notre tour dans les bois se termine au début de l'averse...
...qui a lessivé la ville sous des trombes d'eau.
Petit tour à l'expo photo (nous avons tant en commun!) et soirée cool.
Il y a encore tant à partager au matin.
Comme ces deux tours, dans un sens, dans l'autre, du Lac de Courtille.
Toutes deux armées de nos appareils photo.
Prendre le temps d'approfondir ce que l'on sait, de découvrir ce qu'on ignore. 
Papoter légèrement de tout, de riens, de maux et joies.
Et, tout en profitant, regretter, un peu, que cela ne soit pas plus fréquent.
(Cela, dans quelques mois, devrait pouvoir s'arranger, non?)
Puis il a fallu rentrer. Après un dernier repas, une dernière conversation.
Retrouver le quotidien (très plein, limite trop) à la maison.
Nous nous sommes évadés 4 jours et c'était une vraie bouffée d'air.
A refaire.

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