samedi 20 septembre 2025

Courges Koï et têtes de bœufs.

Semaine de bascule, du soleil d'été aux feuilles qui roussissent.
Quand les 10° matinal mutent en 30° en milieu d'aprem...
Grasse mat (pas pour moi, mon corps s'oppose à tout dépassement de couette au delà de 7h (souvent avant)) et sieste comme au milieu de l'été.
Balade motivée en bonne compagnie...
 ...et soirée, repas partagé dans un jardin accueillant jusqu'à la nuit noire.
Gilles s'est retrouvé, ravi tous comptes faits, embarqué à ma suite, dans le groupe de bénévoles d'Assemblage.
Tout en se régalant d'houmous maison, de quiches aux brocolis et de salade de lentilles (entre autres, Gilles a aussi trouvé de quoi satisfaire ses goûts plus "classiques". J'avais fait une tarte tatin qui a disparu) nous avons retrouvé Coco et HPO, qui recevaient, Geneviève, et avons rencontré la trentaine d'autres qui se sont inscrits dans le tableau de permanence au grand manège.
Et nous avons papoté, et bien rit, passé un bon moment avec Benjamin et Darkoï.
Et puis nous avons "travaillé" au jardin.
Ramassé des pommes, des pommes, des pommes, des coings, des figues.
Alors que Gilles désherbait, pendant que je calais les caisses/clôture au long du potager, nous avons trouvé des courges cachées.
De belles courges musquées prêtes à être cuisinées.
Mais Clovis, dont ce n'est pas la tasse de thé, a été soulagé, quand ce sont des tomates farcies déstructurées (la taille des tomates récoltées n'étant pas adaptée, j'ai adapté le plat: une couche de tomates, en rondelles, une couche de farce, une couche de tomates) que j'ai posé sur la table.
Nous (Simon, Arthur, Clovis, Coline, Gilles et moi) les avons mangées en suivant par message les nouvelles péripéties ferroviaires de Suzanne.
Et, le flan de pêches (les ders des ders) avalé (et pour Clovis, le saucisson, le fromage, le...), et en attendant l'arrivée, tardive (en retard) du train de Suzanne, nous avons partagé quelques têtes de bœufs colorées (jeu le Baron). 

Suzanne récupérée, j'ai trainé encore dans la cuisine (j'avais réussi à préserver sa part de tomates farcies), pour un débrief de sa semaine (chouette). J'ai attendu le retour de Simon et ce n'est que tard, quand des mots ont été posés, déposés, que je suis montée me coucher.

Ma nuit, courte (pas de dépassement de couette, je vous ai dit!), a été jalonnée de courges tombées sur l'estomac dans lequel des carpes koï, poursuivies par des têtes de bœufs, tournaient, viraient (Heureusement c'est le week-end! Et que nous n'avons, presque, rien de prévu!).

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