lundi 25 août 2025

La vie, à géométrie variable.

Ces derniers jours l'été a glissé sur une pente de plus en plus raide, vers le frais, 15° vers 9h30, quand j'emmenais Suzanne au resto, 25° max l'après midi.
Les volets et fenêtres sont restés ouverts toute la journée, bien refermés la nuit (Gilles a repris son édredon, la chatte de Suzanne a exigé l'intérieur pour passer la nuit), nous avons inversé les repas dehors, le midi plutôt que le soir.
Repas partagés, ou pas.
À deux, avec un, deux, trois "gamins", avec Bouboule et Sylvie, puis quelques jours après, avec Nanette, Françoise et Pépette.
Tous sont repartis avec des fruits (nous sommes passés des prunes aux pêches).
Entre deux visites, le bricolage (très olé olé) d'une clôture en tôle (de piscine) pour le poulailler, celui d'une casier/meuble à chaussures, des récoltes de tomates (après avoir été noyés sous les courgettes) et des kilos (et des kilos) de confiture, nous avons, avec les copains de la Coch'mout team (la Chine (où Valérie a "autorisé" son fils à épouser sa fiancée) et, aussi, l'école et ses vicissitudes, ont été au centre des conversations), mangé au resto et été servis par Suzanne. 
Qui a terminé hier sa saison. Y a gagné quelques sous (en a dépensé un peu, aussi), de l'assurance, des compétences, et des copains (dont Flo, une (la?) bonne copine).
Bastien et Simon, puis Bastien sans Simon, puis Simon sans Bastien, sont venus, repartis, revenus. 
Gilles a donné de sa personne pour son petit fils (oula, ça fait tourner la tête!).
Nous fournissons temps et espace.
Une respiration, une pause.
Qui s'est terminée pour Arthur (Gilles, le voyant partir, à 20h30, avec armes et bagages, l'interroge: "Tu vas où?") et Clovis qui se sont retrouvés, hier soir, dans "leur" salle blanche (Arthur, qui était arbitre dans une compétition (Force athlétique) tout le dimanche, a démarré fatigué).
Ce matin pour Simon, que j'ai croisé à la cuisine, prêt à partir, quand je suis descendue, pour Emma tout à l'heure, quand j'aurai récupéré Apolline.

L'été est bien sur la pente de la rentrée.

Et, comme c'est léger! je ne suis concernée qu'à la marge, parce que l'organisation (des coups de mains) se fait plus "carrée", parce que le "déménagement" de Suzanne se précise (le tas dans l'entrée augmente de jours en jours... !?).

Allez, hop! Je m'habille et je file chercher Apolline...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire