Ces derniers jours...
Pas mal d'allers retours (en fait tout l'été a été fait d'allers retours).
Et puis des moments, importants, avec les chicoufs, l'un puis l'autre, et puis les deux ensemble...
Des repas avec les gosses, les uns, les autres, chez Colette, à la maison, à la bonne franquette.
La remorque de bouts de vélos est toujours dans la cour, mais les deux vieux trampolines, sans filets, ont été démontés et Arthur a réussi à commander le matériel pour le chantier "maison de Berthe", dont j'ai pris livraison, que Gilles a déchargé.
Arthur est déçu, cela n'a pas autant avancé qu'il aurait souhaité et il reprend le travail dimanche soir.
Suzanne, elle, prépare son installation à Versailles. Elle a acheté un lit (par le biais du "bon coin", que je suis allée chercher avec elle), un matelas et de la literie (pas aux bonnes mesures), des plaids, des bougies, des bidules et des trucs...
Elle a pris son billet de train pour la veille de la rentrée, j'ai souscrit une assurance habitation (et l'ai aidée à compléter son dossier d'inscription).
Gilles regarde tout cela avec un poil (une touffe) d'inquiétude. Ça, et la claque "rupture" (Simon a retrouvé une once d'humour déclarant que lors du repas de pacs de Clovis et Coline nous pourrions aussi "fêter" son "dépacs"), l'ont touché plus qu'il ne veut bien le dire (en fait, pour être honnête, nous sommes tous touchés) et le moral, et le physique, font des yoyos...
Mouaip!
Rien ne sert à vouloir imiter les chiens, qui guettent de longues minutes immobiles, pour courir à perdre haleine après les pigeons (que la situation à l'air de bien amuser)!
Nous planifions les jours à venir pour en faire du bon.
Mais... La petite pluie prévue s'est avérée battante.
Et le parc de loisirs visé, avec piscine, poneys, petit train et autres bateaux, où nous devions pique niquer avec Suzanne (jour de relâche), Simon et Bastien, Emma (Victor a repris le boulot) et Apolline, Gilles et moi, nous a fait faux bond.
Pourtant prendre l'air est indispensable pour Simon et pour Bastien...



Alors, Bastien ayant apprécié la visite du château de Talcy (ce temps a l'air d'être si lointain déjà...), c'est au château de Courtanvaux, Bessé sur Braye, que nous nous sommes mis à l'abri de la pluie.
Bastien y a surtout apprécié l'attente de la visite guidée, à courir sous l'averse (plus ou moins à l'abri du parapluie).
En fait... Il serait temps que les temps s'apaisent, qu'une nouvelle norme s'établisse, que la pluie cesse de tomber, de plomber (la météo annonce plutôt... de l'orage...)...
Soupir.
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