dimanche 5 août 2018

Août pas out.

Et canicule pas nulle...
Il fait chaud, pas la peine de le répéter, je suis obligée de remettre de l'eau aux poissons (il faut dire que Groove s'obstine à boire dans le bassin au lieu de le faire dans sa gamelle. Ça n'aide pas).
Il fait chaud mais Gilles, depuis notre retour, c'est lancé dans un chantier...
Un gros chantier.
Tailler les haies (et Simon a râlé: "C'est pas le moment pour tailler les haies!!! Qu'est ce que tu nous fais?!!)
Du coup il y a du déchet vert à terre!
Simon, dévoué, est venu à notre rescousse avec le broyeur.
Donc jeudi nous avons broyé, broyé, broyé...
(Je dis nous parce que, outre le reportage photo habituel, j'ai manié le râteau, pour former le tas à la sortie de la machine)
Nous voilà débarrassés d'une partie des branches (il en reste partout sur le terrain, par petits tas ici et là) et les heureux possesseurs de deux mètres cube de paillage (qui sent bon le vert. Si! Si! Ça sent bon le vert!).
Pendant ce temps là, le linge sèche, Arthur travaille, Victor aussi et Suzanne s'ennuie.
Et comme elle s'ennuie elle me traine (elle n'a réussi à recruter personne d'autre!) chaque après midi, après une petite sieste, à la piscine où je suis obligée de me baigner régulièrement pour ne pas griller sur place faute d'ombre.
Vous n'aurez pas de photos, elles sont interdites (j'aurais pu "ruser" et en faire avec mon portable, mais...). Quand je ne barbote pas entre les gens (nous ne sommes pas les seules à avoir cette lumineuse idée et justement pour ça que Suzanne y va. Y rencontrer des copines) je lis ou j'écris. Cela épate le maître nageur.
Et à part ça Marine et Antoine ont mangé avec nous, Simon était là et c'était faritas alors...
C'était chouette.
Tout comme la soirée de vendredi chez Jérôme et Nathalie.
Jérôme avait encore de bonnes idées pour faire faire des bêtises à Gilles avec le dévalkart.
 Gilles ronchonne que c'est plus de son âge mais il y va...
Suzanne, elle, a surtout expérimenté le jet d'eau (qui fait une brume très... Mouillée, en fait!).
Et sinon, le jardin prend des couleurs,...
...et c'est bon!
Et puis depuis deux jours je n'ai plus accès à ma boite mail.
SFR m'a mise en attente. 16 minutes. Avant que je renonce, j'avais un truc sur le feu.
Et puis (quelle veine!) l'assistant de Mme Irma (C'était un autre prénom, plus "sérieux") m'a appelée, sa vénérée patronne a eu des visions me concernant. Je lui ai demandé si elle avait eu mon numéro dans les cartes et il m'a répondu, le plus sérieusement du monde, que c'était exactement ça. Quand je lui ai répondu que j'en étais fort aise il m'a demandé ce que c'était "fortaise".
Et puis, sans ce démonter, il m'a demandé si j'avais un papier pour noter le numéro de la voyante...
Voui...
Voilà, Août pas out.
Encore que...
Ce matin, Arthur, qui faisait sa gamelle avant de partir, m'appelle.
L'eau coule en mince filet.
Il faut au moins deux minutes pour remplir une bouteille d'un litre.
Alors peut être canicule un peu nulle?

4 commentaires:

  1. J'ai aussi reçu l'appel de Madame Irma , j'ai demandé si c'était une plaisanterie, elle a raccroché.
    Nous avons fui enfin la canicule, pas de piscine mais la mer, si j'arrive à mettre ma protection d'avant-bras (le ridicule ne tue pas) pour protéger mon gros pansement.

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  2. Des journées bien remplies donc. Madame Irma <<< ? Si elle m'appelle je lui dirai d'aller voir à "fortaise !

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