samedi 28 décembre 2024

Autre plan, plus mieux (si je veux).

Depuis 2015 nous recevions, à la maison, les Richez (ma famille, maman, frère, sœurs, leurs valeurs ajoutées, neveux et nièces: entre 25 et 30 personnes) pour Noël.
Généralement en décalé.
Toujours en mode raz de marée...
Et l'année dernière fut l'année de trop. Trop de bazar, trop de monde pour la maison, trop de bruit, trop d'alcool, trop...
Quand les derniers invités avaient quitté la maison je n'avais ressenti, et je n'étais pas la seule, que du soulagement. Je n'avais profité de rien. Je n'étais, et je n'étais  pas la seule, que tensions et frustration.
L'inverse de ce doit être Noël, non?
La décision fut prise: c'était la dernière!
La dernière à la maison.
Ce fut, nous pouvons maintenant l'affirmer, la bonne décision.
Une salle a été louée. Les courses ont été faites, avec Colette, le 23.
L'installation tranquille, le 26 au soir, pas besoin de déblayer la maison. 
Quelques bras, de bon sens et de bon goût et... Voilà!
Chacune à cuisiné chez soi et le repas est arrivé prêt.
 
Les arrivées échelonnées, de midi (les Allet), à 14 heures 30 (Victor, Emma et Apolline, qui arrivaient de Quiberon) en passant par midi et demie (Colette, Thomas, Valou, Lilou, Tao, Babeth, José, Malou et Luz) et 13h30 (Manou, Louise, Zoé et Zazie) ont été tranquilles.
Les quantités de bonne nourriture et de boissons, ont été, comme je m'en doutais, pantagruéliques...
La table et les conversations ont été investies de belle manière.
Les intermèdes ludiques et la petite marche "avant le dessert", ont été appréciés.
Chacun a trouvé sa place et papoti, papota... Des nouvelles des uns et des autres.
J'ai pu, comme le reste de l'assemblée, profiter de cette journée.
Le service, buffet, les allers retours en cuisine où étaient réchauffés les plats, le débarrassage, dressage de couverts, la plonge, l'essuyage, rangement, nettoyage, ont été partagés.
(Et je savais, soulagement, qu'en rentrant chez moi la maison serait rangée, propre et dans sa configuration habituelle. Que je n'aurai pas des montagnes de déchets à évacuer...)
La seule fausse note a été qu'Apolline, malade depuis 3 jours, était fiévreuse.
Et n'acceptait que les bras de son papa, de sa maman (et deux minutes, celle de Suzanne...).
Mais, la soirée s'est terminée, sans tension, ni frustration, avec une salle, de la vaisselle, propres et rangées.
Et ce matin tous dorment encore.
Surtout Apolline, Victor et Emma qui sont allés aux urgences pédiatriques à 2 heures du matin (je les ai entendu partir, pas revenir)...

7 commentaires:

  1. Pauvre petite Apolline, CV j'espère qu'elle va mieux aujourd'hui.
    Bellzouzou

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    1. L'aller retour, et les deux heures passées aux urgences n'ont pas servi à grand chose. Ils n'ont rien trouvé. On donné pour consigne de revenir si besoin. Ce matin pas de fièvre. Mais elle est encore ronchon (en même temps elle est crevée...).

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  2. Quelle bonne idée :) Ma fille adoptive japonaise m'a racontée qu'il n'y avait JAMAIS eu de fête chez elle, en général les Japonais vont au restaurant ou louent des salles de fêtes comme ça, pour fêter quelque chose entre amis/famille, même les anniversaires! Je suis sûre que c'est pratique (et les maisons/appartements au Japon sont souvent de taille modeste), mais c'est quand même un peu triste, alors on a organisé deux grandes fêtes pour elle, chez moi, (Thanksgiving et Halloween) avec ces amis et les miens, et elle adoré :) Différentes cultures :) J'espère qu'Apolline va mieux!

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    1. Ta fille adoptive japonaise? Il y a en effet de grandes différences culturelles...
      En fait, je pense que j'aurai supporté encore que la maison soit bouleversée pour une soirée sympa. Mais il y a eu de mauvais moments que nous n'avons pu réguler. Nous continuons à recevoir les nôtres, nos proches, avec beaucoup de plaisir. Pour ceux vus une fois l'an la solution hors des murs est la bonne.

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  3. C'est drôle nous avions également une petite Apolline venant également du côté de Quiberon (ce n'est pas une de nos petites filles)
    Du temps de la génération précédente, mes parents ainsi que les parents de la femme que j'aime louaient une maison dans une région centrale ce qui permettait d'agrandir le cercle chacun payait sa part et nous avons de grands souvenirs de cette formule... que nous tenterons dans quelques années.

    Bleck

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    1. Ce sont les grands parents (les autres) d'Apolline qui sont à Quiberon. C'était une première et elle m'a grandement soulagée!

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  4. Petite Ombre04/01/2025 12:36

    Ouille comment va la petite au final?
    C'est vrai q'au vu du nombre de personnes, le faire chez soi c'est pas agréable au final... très bonne décision d'avoir loué la salle!

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