Les 52 de Virginie: "repos"

C'est la 44iéme semaine du défi photo de Virginie et nous voici au repos.

Si, si, c'est possible, même si dans ces vacances trépidantes je n'ai eu qu'une seule journée glandouille (à part un peu de ménage/linge/repas): jeudi (mercredi nous avons eu les petits, puis, le soir, tous les Allet du Loir et Cher, et Colette).

Donc jeudi glandouille mais pas repos.

En fait je me suis sentie plus reposée...

Vendredi.

...après 17km (ou 14, ou 15 suivant les sources/montres connectées ou smartphones) de marche...

...avec la Coch'mout'team quasi au grand complet.

Cette fois encore nous ne sommes pas partis bien loin, c'est la Sarthe voisine qui nous a accueillis.

Départ de Cogners...

...pour atterrir, en milieu de boucle à Évaillé où j'avais réservé à "La Croix Blanche".

Nous nous sommes régalés en devisant (cette fois ce sont plutôt les bons moments de nos années ensemble qui ont été évoqués) (mais aussi les aléas actuels des unes et des autres) (et en laissant la trace de notre passage sous la table...).

Puis nous avons repris nos pas, tranquilles...

Pas et paroles.

Cela réchauffe et apaise.

Cela permet de s'exprimer sans jugement.

Cela permet de déposer et de soutenir.

Les muscles plus ou moins douloureux (quand même) nous avons terminé en beauté cette rando d'automne chez Valérie, qui, toussant, n'avait pu marcher avec nous.

Oui, rando repos.

Surtout pour le soleil, qui vous avez pu le constater, a fait une méga grasse mat/sieste dans la brume...

Point de pas?!

Depuis le début de la semaine le temps est plein comme un oeuf.

Lundi nous avons fait les courses, j'ai emmené la voiture au garage pour la vidange avant d'aller attendre la livraison de fuel chez Victor et Emma. La secrétaire/femme du garagiste m'a affirmé que le rendez-vous était pour le mardi. 

Ce qui est impossible, j'avais expressément demandé lundi, j'ai noté lundi, parce que mardi je n'étais pas dispo (et mercredi nous avons les petits (ce à quoi s'est ajouté le véto pour les chiens)).

Du coup c'est Gilles qui a dû gérer le garage. Et aller, avec Arthur, chercher Victor à Orléans où il a rendu son tablier et son camion.

Parce que je ne pouvais être au four et au moulin.

Je ne pouvais être à la maison et à Paris.

À Paris où j'ai rejoins mes sœurs.

Babeth dans le TGV (nous avions réservé dans la même voiture)...

...Manou, après une belle balade,...

À la bibliothèque Nationale, site Richelieu.

 Ouha!

L'accès à la salle ovale est libre.

Et...

...c'est...

J'aurais bien élu domicile, là, au milieu.

Mais nous n'étions pas les seules à avoir eu la même idée...

Et puis l'idée de cette réunion de sœurs était de discuter tranquillement.

Pour désamorcer les tensions "organisationnelles" autour du repas de Noël.

Nous ne nous voyons que peu.

Autant que ce soit bien.

Alors papoter, prendre du temps ensemble...

...pour mieux se comprendre...

Manou avait des envies de Grand Palais. Qui fait face au petit Palais.

Qui me faisait du pied avec We Are Here.

Nous sommes entrées.

Et...

Rahhh...

C'était... Top!

(Oui, je sais dire que c'était "Top" c'est un peu court... 

Mais j'ai adoré, le lieu, les œuvres, leur association)

(Et j'y ai retrouvé des artistes croisés jeudi à Street art city. Et en ville(s))

Hop!

Un coucou au grand Palais, ouvert mais fermé au public.

Un saut dans le métro et nous voilà à Berçy village où nous avons (bien) mangé.

Encore une balade, une pause dans le parc...

Qui nous a mené à l'heure du rendez-vous.

Que nous avions avec les arts forains.

Cette fois le guide s'appelait Max.

Et, malgré la défection, avant la fin, de Manou, puis de Babeth (qui avaient des contraintes horaires pour leur retour en train) nous avons passé un très bon moment (mais les blagues à la con de Gilles m'ont un poil manqué).

Là dessus j'ai traversé la Seine, je suis montée dans un bus et ai rejoins ma copine Solenne.

Parce qu'il ne faut surtout pas manquer une occasion de se voir (rarement, la dernière fois date de plusieurs années)!!!

Nous avons rattrapé le retard dans nos histoires en arpentant les rues de la Butte aux cailles. 

Et, avant que je reprendre le métro vers la gare, puis le TGV jusqu'à mon coin de campagne, nous avons partagé des makis dans un resto familial (Solenne a grandi dans le 13éme, y a ses parents).

Merci Solenne!

Gilles m'attendait à la gare.

J'ai retrouvé ma maison, et, au moment de partager mes pas et quelques photos,...

Mon podomètre n'avait rien enregistré! 0km.

La bonne blague, en me glissant dans mon lit je les sentais bien les km (au bas mots une dizaine...)

(Et vous savez quoi? Aujourd'hui, c'est reparti! Pas Paris, mais les pas. En bonne compagnie)