Il a fait relativement chaud jusqu'à ce dimanche où le temps à basculé du côté sombre et froid de l'automne.
Et ce matin l'herbe est blanche et craquante.
J'oscille entre des envies de couettes et de coin du feu (que j'entretiens tout au long de la journée. Et que Gilles oublie quand je vais me coucher: il n'a pas froid (sauf quand il vient se coucher, il "pédale" frénétiquement pour réchauffer les draps, pourquoi n'ai je pas réchauffé son côté?!)), et besoins de bouger irrésistibles.
Je consacre, depuis quelques jours, pas mal de temps à régler de l'administratif, à planifier ce qui doit l'être à la maison et autour.
Je prends soin de...
Prendre les rendez-vous pour Gilles (Ah? Il faut que j'aille chez le kiné? Mais j'ai plus mal (à l'épaule) avant qu'après?).
D'administrer des traitements aux chiens qui ont des puces.
De chercher comment soigner la poule qui boite.
De réserver, avec Colette, la salle pour le Noël des Richez.
De...
Mais j'irai bien, pour quelques jours, voir ailleurs si j'y suis.
Comme d'habitude Gilles fait lest: "Comment "on" va faire pour Suzanne (qui rentre le week-end)? Et les petits, le mercredi (et plus si affinité (Victor et Emma visitent des maisons à acheter...))?"
Il est vrai qu'il y a à faire ici et que nous pourrions aller à Mirabeau après les fêtes.
Mais... Bon... Deux ou trois jours off du quotidien?
Je me tâte.


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