mardi 28 janvier 2025

"4h11"...

...répond, patiemment, Arthur à Gilles.
(patiemment parce que ce doit être la énième fois qu'il répond à cette question, à Colette, à ses frères, à sa sœur, à ses belles sœurs, à moi (et, peut-être à ses copains). À plusieurs occasion il y a répondu alors que Gilles était dans la pièce. Mais, souvent, Gilles n'entend pas. Pas parce qu'il est sourd, le test a été fait, il n'a perdu que dans les aigus, parce qu'il n'écoute pas. Il vaque à ses occupations, pas toujours attentif)
(Après midi escalade en famille: Apolline et Emma (qui proteste: "je ne fais qu'un mètre cinquante!"))
(Bastien monte avec Victor, assuré par son papa)
4h11 donc.
(Simon)
C'est l'heure à laquelle Arthur termine sa nuit de travail.
(Clovis)
Et c'est exactement l'heure qu'il était quand j'ai consulté mon portable (qui me sert de réveil) lundi matin.
(Clovis et Cynthia)
Et, j'en suis certaine, c'est la seule fois de la nuit que j'ai consulté l'heure (Gilles se/me demande pourquoi j'ai besoin d'un réveil...
(Victor)
...Outre le fait qu'une semaine sur deux Bastien arrive à 6h45 (et que j'aime déjeuner tranquille (et donc avant son arrivée)) j'aime savoir où j'en suis si/quand je me réveille la nuit.)
(Gilles, aussi)
4h11
C'est curieux, non, cette coïncidence? À moins que ce n'en soit pas, une coïncidence?
Alors qu'est ce donc (ce n'est pas la première fois que je remarque ce genre de phénomène)?
Et, juste une question en passant:
Avez vous l'heure la nuit?

dimanche 26 janvier 2025

Les 52 de Virginie: "Étincelant"

Nous sommes dimanche est c'est jour de défi photo avec Virginie.
Qui nous envoie chercher ce qui étincelle...  
Et... Heu...
Le givre ça compte?
Sans le soleil c'est joli mais pas étincelant.
Et, dans la maison, ce mercredi, avec les Chicoufs grognons (malades), nous avons rangé ce qui étincelait. Le sapin était sur sa fin définitive et les guirlandes lumineuses dans les escaliers agaçaient Gilles ("C'est pas Versailles ici!").
Alors... Je vous propose ce rayon de soleil sur l'étang de Villiers (Virginie, c'est notre Courtille à nous) (Comme un idiote j'avais oublié mon appareil photo!).
Et puis, je dois absolument vous parler d'un qui fait des étincelles ces derniers temps!
Arthur (Photo d'archive, janvier 2024).
Qui a trouvé du travail grâce à sa persévérance et qui, hier, a obtenu la première partie, la théorie, de son examen d'arbitre de Force Athlétique.

Trop top!

samedi 25 janvier 2025

Emploi du temps et agenda...

J + 25
Rien de ma vie d'avant ne me manque...
(C'est, semble t-il, une inquiétude de la part de copains, de connaissances, croisés ici et là (Je m'inquiétais de même quand Gilles s'est arrêté))
Mon emploi du temps n'est pas vide. 
Il est juste moins contraint (encore que...), plus lâche...
Plus souple aussi.
Adaptable en un tour de main.
Ainsi nos "vacances" prévues à partir du 25 reculent, sans tracas (Mais avec un peu de ronchonnage, pour le principe, de la part de Gilles), d'une semaine quand la date de la nuit sous surveillance médicale de Suzanne tombe.
Il faut voir le bon coté des choses, en mars il fera sans doute meilleur qu'en février.
(Tiens, 3 333 articles!)
Depuis 25 jours, je range, mon bureau, les jouets des petits, le dressing (dont les planches avaient cédé sous le poids des vêtements et autres couettes) (nous l'avons réparé avant que je ne re range, après tri (J'ai réussi à ce que Gilles ne récupère pas les vieux t-shirts troués "au cas où"/"pour les travaux", dans le sac (pour rappel Gilles est l'heureux possesseur (un poil compulsif) d'une centaine (au moins) de t-shirts)) (depuis (plus d'une semaine) les outils et la visserie trônent sur le fauteuil de la salle de bain)...
La maie pleine de laine.
Depuis 25 jours j'ai tricoté une écharpe pour Suzanne, un châle pour Viton (il faut que je lui envoie (contrairement à moi elle a repris le travail après un long arrêt suite à un accident du travail, c'est un châle doudou, pour le réconfort)). J'ai de quoi faire des gilets, des bonnets, des...
Et puis, depuis 25 jours, j'ai le temps de cuisiner.
J'ai fait des tartes, des gâteaux, des plats (il faut que je note mes échecs, pour éviter de les reproduire, mes réussites, pour les ajouter à la liste des possibilités)...
Et puis, une semaine sur deux, j'emmène Bastien à l'école.
Je me retrouve de l'autre coté du miroir.
À papoter au portail alors que les ex collègues entrent en classe (J'avoue: j'adore!).
Et puis tranquillement je fais le tour des mairies environnantes pour travailler la communication des activités de la médiathèque. Mon nouveau titre "bénévole culture" me plait bien.
Tout comme...
J'ai retrouvé mes gants, perdus il y a quelques semaines. Ils m'attendaient à la pharmacie...
Tout comme les gars, Arthur, Victor, qui trouvent, retrouvent du travail.
Comme Suzanne qui, malgré la fatigue, malgré une grosse migraine mardi, est ravie de son entrainement, et impatiente... 
Dans une semaine, après deux jours de portes ouvertes à Paris, elle va s'envoler pour Athènes.

mardi 21 janvier 2025

Des nouvelles...

...vraiment nouvelles:
Nous sommes allés manger, samedi soir, chez Victor et Emma.
Suzanne a servi de cobaye à Arthur pour amuser Apolline (je ne suis pas sûre qu'elle apprécie la photo) (elle n'a pas du tout apprécié la salive qu'Arthur a utilisé pour faire coller la toupie!).
Suzanne qui a vu le médecin spécialiste du sommeil qui lui fera passer, d'ici un mois, une nuit sous scope. Suzanne qui fait le yoyo entre angoisse (résultats scolaires, parcoursup, grandir...) et enthousiasme (les mêmes!).
J'avais reçu le chargeur pour l'appareil photo et... Je me suis rendue compte qu'il manquait aussi une batterie (!). Que j'ai commandée, dont la commande a été annulée (?), que j'ai recommandée, qui est arrivée, que j'ai chargée, et...
Houpi! C'est reparti pour la photo (il faut que je prenne en main ce nouveau matériel)!!
Arthur a trouvé du travail (Et Gilles a tenté d'effectuer les tests/apprentissages en ligne préalables (il est chouette, hein, affublé du casque, sur son inamovible bonnet?)). Un qui pourrait bien lui convenir, dans une entreprise qui a bonne réputation (question ressources humaines), et aux horaires qu'il espérait (de nuit). Il vient de commencer (de jour, en formation) et nous nous retrouvons, Gilles et moi, seuls en journée. Expérience un poil déstabilisante, mais appréciée, aussi.
Nous avons fait, hier matin, 50 minutes de route (aller. Et autant au retour. Vive la campagne et son désert médical!) pour aller à la rencontre de notre nouvelle médecin. C'était le tour de Gilles (qui s'était rasé!! (Oups! je ne l'avais pas remarqué (mais je remarque toujours quand il ne l'est pas, rasé)) et, pendant que la docteure remplissait le dossier et prescrivait de nouveaux examens (enfin quelqu'un se penche sur ses (mauvais) résultats d'analyses)...
...j'ai fait un petit tour autour du cabinet médical (moche, le cabinet, joli, le village) (mais pourri le temps, lumière beurk!).
La semaine prochaine nous y retournons, Gilles avec ses nouveaux résultats d'analyses, moi avec la boule qui me pousse sur le doigt.
Voilà, voilà... Tout ça, tout ça...
Et puis mes missions de bénévoles à la médiathèque qui ont démarré, je suis en soutien pour quelques activités, avec les écoles, avec les artistes.
Et, puis, oh combien j'apprécie! je cuisine. Des tartes, des gâteaux, de l'houmous, des petits plats...
Et nous arrivons, de temps en temps, à faire fi du temps, exécrable, pour nous balader un peu (et à chaque fois, c'est rituel, Gilles ronchonne sur le tracé de la virée (il y a des cotes), sur la vitesse de l'exercice (pas assez rapide (mais il n'alonge pas le pas)), sur... Et, oui, je fais des photos!
Nous rentrons généralement apaisés (même si, je dois l'avouer, le stress n'est pas à l'ordre du jour), ayant papoté, entre nous et avec les voisins, que nous ne croisions que rarement, avant, tranquillement au long du sentier.
Sauf hier, où c'est un poil bouleversés que nous sommes rentrés: 
La chienne du voisin, que nous venions de rencontrer a été renversée, tuée sur le coup, sous nos yeux... La conductrice de la voiture, une ex collègue qui rentrait de l'école, a heureusement réussi à garder la voiture sur la route.
Gilles a aidé, pendant que je surveillais la circulation, à ramasser la pauvre bête et les morceaux de parechocs. 
Désolée de terminer sur cette note lugubre... Cela jette un froid.
Comme le temps, glacial.
Gilles: "Nous aurions du prendre notre retraite en été!"
Oui... C'est vrai qu'un peu de chaleur...
Serait appréciée.