(j'ai un problème avec les nénuphars, et les fleurs blanches en général, je n'arrive pas à les photographier! Le blanc "crame" le cliché. Quelqu'un a la technique? Connait le réglage? J'ai fait plusieurs essai... Sans succès)
Toute pareille pour le boulot, la fatigue, la météo, la gastro, parcoursup, le lycée (c'est fini), la voiture d'Arthur. Il n'y a que Suzanne qui ne s'ennuie pas au collège (mais Gilles a du parler au papa du gamin qui lui pourrissait la vie dans la cour et dans le car. Les avertissements n'avaient pas suffit).
Toute pareille que l'an dernier, sans le BAC, et avec une fresque au lieu des petites randos.
Toute pareille, une année est passée, et, parce que la vie tourne, tout a changé aussi...
Et sinon, vous ça va?
(là je ne vous demande pas de deviner "harassée")
Sur celle-là, le blanc n'est pas "cramé" et la photo est plutôt réussie.
RépondreSupprimerD'une manière générale, les appareils ont du mal à gérer les photos sur lesquelles il y a à la fois des hautes lumières et des basses lumières (zones très foncées et zones très claires, ombres et soleil). Pour moi, il n'y a pas vraiment de solutions sans post traitement.
Tu peux essayer cependant cela :
Si tu travailles en automatique, fais la mise au point sur la partie claire de ta photo. L'appareil se basera sur le clair et ne "cramera" pas le clair (mais pour le coup les zones sombres seront "bouchées"). Il est cependant plus facile de rattraper les zones sombres au post traitement que les zones claires un peu "cramées".
Deuxième solution, sous expose ta photo (normalement sur ton boitier tu dois pouvoir régler l'exposition). Tes zones sombres seront toujours cependant "bouchées". A déboucher en post traitement.
Troisième solution. Choisi un nénuphar sur lequel le feuillage sera bien éclairé et la fleur à l'ombre (moins de contrastes de lumière).
Quatrième solution. Prendre 2 clichés à des expositions différente. 1 sous exposé pour la fleur et un normal pour le feuillage puis fusionner et retravailler ces deux clichés pour n'en faire qu'un seul.
Naturellement, il semblerait que l'oeil ait tendance à compenser ces différences de lumières. C'est pour ça que l'on ne s'en rend pas vraiment compte à l'oeil nu. L'appareil, lui, retranscrit la réalité et ces grosses différences de lumières.
Merci Val! Il faut que je travaille, vraiment, le post traitement!
SupprimerJe n'avais pas trouvé l'adjectif, pourtant j'ai cherché… mais je dors trop peu moi aussi ! Difficiles, ces fins d'années, surtout que tu ne manques pas de grands et petits tracas.
RépondreSupprimerBah... Il n'y a rien de grave.
SupprimerOui, ça va... du moins les jours où j'arrive à dormir plus de 4 ou 5 heures. On devrait se faire un club de nuits pourries pour se tenir compagnie :/ !
RépondreSupprimerJe n'avais pas trouvé non plus l'adjectif. Fatiguée avait le bon nombre de lettres mais pas la bonne initiale. Mais je me rends bien compte que le mot était trop faible.
Gros gros bisous ma copine. Je commente peu, mais je pense souvent à vous tous.
Oui, le club des nuits pourries...
SupprimerJe sais et les pensées sont réciproques (Nous avons parlé de toit hier avec nos invités. Une connaissance en commun dont tu m'as offert le livre ;-)).