Et un, et deux, et trois...

Nous sommes déjà vendredi et les vacances sont... Trépidantes.

Je me lève comme d'hab pour sortir Victor du lit. Le TGV est à 7h16.

Mais Victor a toujours mal à la tête.

Alors il n'a pas pris le train mercredi, nous avons passé du temps dans une nouvelle salle d'attente. Cette fois le toubib a prescrit des examens.

Simon aussi doit passer par la case examens complémentaires.

Il a le dos en vrac...

Donc, je me lève comme d'hab et une fois Victor en route pour Paris (ou pas, il l'a raté jeudi, nous l'avons vu passer sur le pont quand nous sommes arrivés en bas de la gare. Trop tard!) je travaille, un peu, je ravitaille la maison en gaz, en granules, je paie le garagiste, je prends des rendez-vous, je... fais tout un tas de trucs hyper intéressants.

Gilles, de son coté a rangé le cellier (a rangé le cellier!!! Cet homme mérite une médaille.), est allé chez son pote Jérôme.

Et au milieu de tout ça je fais à manger. Table à géométrie variable.

Les 6 plus Colette, Pablo, Malou, Luz, Louise et Jeanne.

Les 6 plus Luz seulement. Gilles sera t-il rentré?

Les 6 moins Suzanne, chez Colette avec les cousin-e-s.

Je fais transport en commun pour emmener la troupe citée ci dessus jusqu'au ciné, pour les ramener.

Et au milieu de tout ça j'entends parler d'une portée de poilus à donner...

A choisir rapidos, ceux qui ne sont pas attribués vont disparaitre (la mère ne pourra nourrir toute sa nombreuse progéniture). Nous voilà donc en délégation, les 6, plus Luz, à nous extasier au milieu des chèvres curieuses de tout ce remue ménage. Clovis contraint, il est seulement en route pour le skate parc et prévient "Je ne veux pas être sur la tableau de service pour les nourrir!"

Oui, pour les nourrir. Les.
Parce qu'une fois sur place:

Voici le poilu choisi pour garder la maison, Gilles en est déjà gaga, Suzanne aussi, je le trouve craquant, bien sûr.

Son parrain Clément, propose de l’appeler Skank (dans la veine de Reggae et Groove: "Le skank ou skanking désigne le contre-temps propre au reggae, généralement marqué par un accord plaqué joué par la guitare rythmique ou le clavier"). Il faut avouer que...

Victor, lui, s'attribue l'un des deux caramels (vous n'avez pas le son, ils couinent...), il le prénomme, c'est décidé, Bernie (Mouaip!).

Arthur, tombe immédiatement en amour de la dernière femelle. Qui n'a pas encore de prénom.

A mes protestations: "3 chiens!!! Vous n'êtes pas bien! Vous vous rendez compte du boulot!(et les frais véto, et, et, et..." ils ont argumenté: "3 petits chiens pour remplacer un gros. Et puis on va s'en occuper, ce sont les nôtres, ils viendront avec nous quand nous quitterons la maison".

Mais oui, mais oui...

En attendant, dans les mois à venir vous aurez, c'est sur, droit aux aventures extraordinaires des poilus de la Hirlière.