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dimanche 27 avril 2025

Les 52 de Virginie: "printemps"

17ième semaine du défi photo de Virginie et nous voilà au printemps.
Même si ça n'est pas très visible en bord de Loir ce samedi matin...
Ah! Si, les marronniers sont fleuris!
Ça l'est, un peu plus clairement l'après midi, quelques coins de bleu apparaissent, pendant les longues heures d'attente (surtout pour moi qui suis en tribune et n'ai pas à m'échauffer (mais à me réchauffer, le vent est... printanier (en Avril, ne te découvre pas d'un fil)!))...
...entre le relais et le (beau) 100 mètres de Suzanne.
Par contre, ce matin, pas d'erreur!
Tout est réuni pour une belle balade printanière.
Cela m'a permis de me dérouiller les jambes (deux jours sans marcher et ça grippe).
Et, pas après pas,...
...en tournant autour de la maison,...
...j'ai profité d'une belle lumière...
...très printanière, non?

jeudi 24 avril 2025

Sans doute pas les plus futées de la boite d'œufs...

Il est 7h28 et ils dorment.
Arthur, bien entendu, il a terminé sa nuit de travail à 4h11, est allé se coucher vers 5h, après avoir mangé (l'équivalent de notre repas du soir), Gilles, qui se couche toujours tard, c'est son rythme, Apolline, qui dort chez nous puisque nous devons l'emmener chez le pédiatre en fin de matinée, et même Bastien, qui arrivant à 6h45 (son papa est du matin) a demandé à aller dormir avec papi (il en a parlé à son père dès la sortie du lit (le sien) en expliquant qu'il pouvait prendre l'oreiller de mamie).
J'adore ces moments où la maison est quasi silencieuse, où rien ne presse, où les "choses" étant calées, je peux trainer ici à écrire des pas grands choses, à lire les écrits d'autres (liste des blogamis et blogsuivis à droite).
Et sur les blogs de quelques uns, aujourd'hui, il est question "d'habiter son nom".
De s'en sentir possesseur?
C'est une question que je ne me suis jamais réellement posée.
Ici, comme ailleurs, pas de surnom, pas de pseudo, je suis Anne Allet, à l'aise dans mon prénom comme dans mon nom.
Mon prénom, qui n'appelle pas de diminutif (il n'y a que Viton qui m'appelle Nanon, sans doute un pendant à son surnom), est simple et clair. Je me sens Anne sans restriction.
Anne, c'est comme cela que mes élèves (sauf, pendant les deux jours où je fut en collège) m'ont toujours appelée (au grand dam, parfois, des certains collègues (le prénom appelle le prénom, le tutoiement, le tutoiement) (les parents aussi m'appelaient (m'appellent encore) par mon prénom, mais là le vouvoiement a toujours été de mise, même s'ils furent d'anciens élèves)
Mon nom, celui qui a supplanté mon nom de jeune fille (il y 37 ans), se porte légèrement (Même s'il ne faut pas manquer de l'épeler sous peine de se voir affubler d'H. Les enfants adoraient, quand ils devaient le faire, ajouter "pour mieux voler" après le 2L).
Je ne suis qu'une des nombreuses "Madame Allet" mais je n'ai pas d'homonyme dans notre coin.
En quelque sorte l'unique dans le nombre.
Mais ne le sommes nous pas tous? Quelque soit notre nom...
Bref! Je suis à l'aise, les "habitant" bien, avec mon prénom et mon nom.
Là dessus les petits se sont réveillés, se sont fait un câlin (et sont déjà à fond).
Et j'ai ouvert aux poules, qui ne portent pas de nom (Pour l'instant? Définitivement?)...
...qui, décidément ne sont pas des plus futées!
Chaque soir, depuis leur arrivée, nous devons les trouver (couchées dans l'herbe, perchées dans la haie), les attraper (ce ne sont pas des foudres de guerre, ça se fait relativement bien) et les rentrer dans leur poulailler.
Mouais!
Pour l'instant notre belle porte automatique solaire est toujours en mode manuel, le temps que les poulettes comprennent l'intérêt du poulailler (elles restent comme des cruches, de vraies poules mouillées, dehors sous l'averse (régime giboulées, en Avril)).
Malgré tout l'une d'entre elles semble avoir eu une illumination et elle y a pondu son premier, minuscule, œuf. 
C'est Apolline, fière comme une paonne (même si la femelle du paon a la fierté moins ostentatoire), qui l'a ramené à la cuisine.
Rien que pour ça je suis ravie d'avoir repris des poules.
Même si elles sont tout sauf des crânes d'œufs!

lundi 21 avril 2025

Jardins et années. Qui des œufs ou des poules sont...? Ou de cloches en couacs (et si je veux j'écris des titres à rallonge!).

Ce début de week-end de Pâques aurait pu me mettre la puce à l'oreille:
Le marchand de poules n'était pas sur le marché, samedi matin, quand nous y sommes allés. 
J'aurai du envoyer un message avant d'y embarquer Gilles et Bastien (et, en y repensant, une copine m'avait dit qu'il était là le mercredi). 

(Premier jardin: Bastien était à la maison le temps que sa maman fasse son jogging, son papa, lui, était avec Victor, chez Colette pour refaire la pelouse (crédit photo: Simon). Un sacré boulot, rondement mené!)
Je l'ai fait en rentrant et...
C'est en fin d'après midi, et avec Suzanne, que nous sommes allés, directement chez l'éleveur, chercher 4 poules.
Sitôt installées (enfermées) dans le poulailler rénové (avec porte automatique solaire, n'est ce pas?).
Dimanche matin, pendant que je préparais les pizzas, Gilles repris de frénésie "jardinesque", a aménagé un coin de la terrasse (second jardin) avec ses Acers (et y intégrant une sculpture de Pistou).
Déplacer la pierre d'évier (la grosse, rectangulaire, qui sert de base à la composition) n'a été une mince affaire.
Mais le résultat est à la hauteur des efforts fournis!
Il venait de terminer quand ils sont arrivés: enfants, petits enfants, et Colette (ne manquait qu'Arthur, en week-end avec des copains pour supporter une amie au championnats de France Jeunes de Force Athlétique).
(J'ai complètement foiré mes photos! Je suis maintenant en mode manuel et... J'ai oublié de régler la bête en fonction de la luminosité... Décidément je vais de couacs en couacs!)
Alors, une fois tout le monde correctement couvert (Apolline est malade), voici la cérémonie d'ouverture du poulailler (poules pas décidées à sortir) et...
La chasse aux œufs!
(Heureusement les jeunes ont pris des photos!)
Bastien s'interroge: "Pourquoi il y a des chocolats dans l'herbe?"
Bonne question, auquel il n'a pas attendu de réponse, collectionnant œufs et cadeaux de Pâques avec autant de plaisir qu'Apolline.
Puis, vite on rentre!
Le vent est froid et pénible.
Et la pluie menace...
Alors on profite du feu, de l'apéro et des pizzas (J'en ai trop fait... Difficile de correctement estimer les quantités (mieux vaut trop que pas assez, non?)) (Apolline, elle, comme Bastien à cet âge, veut des pâtes), puis du dessert (crème brûlées d'Emma et fondant au chocolat de Suzanne):
(Oui, là aussi j'ai foiré mes photos. Et Apolline a pris peur quand tous ont entonné, faux, "Joyeux anniversaire!")
Bon anniversaire Victor!
De temps en temps nous jetons un œil aux poules. Qui restent à l'abri...
Là dessus Simon, comme il aime le faire, lance une mission immédiate: s'occuper de la tombe d'Albert. Les rosiers ont tellement d'ampleur qu'ils ont pris toute la place (c'est, quasi, un troisième jardin). Ils sont tellement vieux qu'ils ont dégénéré, il faut les remplacer (et remettre de la terre puisque le niveau c'est affaissé).
Alors, cimetière, rosiers et retour en cinq/sept, Simon et Victor ont été très efficaces, il fait un froid de gueux!
À la maison les petits jouent (sans chamaille, ils grandissent) et les poules... 
Sortent!
Une d'abord, les autres la suivant. Là je me rends compte d'un nouveau couac: j'ai oublié de leur couper les plumes... Elles effectuent des vols horizontaux impressionnants.
Et est-ce lié?
Au moment du retour dans leurs pénates (pas une mince affaire! Elles doivent retrouver l'accès, monter à l'échelle (alors que marcher dans l'herbe les affole encore par moment!)) il en manque une.
Gilles, Victor, Suzanne, Simon, et Bastien, se lancent à se recherche sans succès.
Et ce matin, après avoir rogné les ailes des demoiselles, avant de leur ouvrir la porte, j'ai fait le tour, sans plus de résultat. La quatrième a joué les filles de l'air (peut-être l'un de nos voisins la retrouvera t-il?).

dimanche 20 avril 2025

Les 52 de Virginie: "lumière"

16éme semaine du défi photo de Virginie.
Où nous chassons la lumière.
Personnellement j'apprécie particulièrement celle, rasante et dorée, du matin.
Celle qui effleure et magnifie.
Alors je vous propose une série toute récente, de vendredi.
8 petits kilomètres à portée de pas de la maison.
Une respiration sans contraintes.
Sans tracas, sans personne d'autre que moi.
Et, c'est remarquable, ces dernières semaines, sans triptans.
Vendredi où nous sommes allés attendre Suzanne, en marchant de parc en parc (ce qui m'a fait atteindre les 10 kilomètres), qui avait rendez-vous avec le patron du resto où elle a travaillé.
(Si elle "tombe" sur le post elle n'appréciera sans doute pas les photos, elle n'aime pas trop se voir comme ça, au naturel, mais elle est lumineuse, n'est ce pas?)
Rendez-vous très positif. Outre qu'elle a reçu sa part des pourboires (et recevra sa paye après le week-end), elle a eu de bons retours de son travail et une assurance d'en avoir, du travail, cet été.
Cool!