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vendredi 1 décembre 2023

Vrac frénétiquement vécu.

Mercredi 7h45:
Avec Bastien, arrivé à 6h45, au moment où son papi part au travail (le seul jour où il ne commence pas à 6 heures (s'il arrive à y être, à 6 heures)), nous sommes allés chercher Apolline devant le travail d'Emma (qui est du matin une semaine sur deux). Nous sommes revenus dans la nuit noire. Ce qui n'empêche pas Bastien d'en faire des tonnes pour Apolline, sa cou'ine.
Une fois le biberon donné, les couches changées (et rechangées. L'un comme l'autre semblent apprécier de faire caca dans une couche propre), la sieste du matin d'Apolline achevée pendant qu'avec Bastien (dans les jambes, toujours) nous terminons le ménage (joie de la campagne: la boue de dehors dedans!), nous voilà partis pour une petite balade! Au soleil en plus!
Gilles revient pile pour les pâtes traditionnelles du mercredi (Bastien les réclame. Ou doit penser que chez Papi et Mamie on ne mange que des pâtes) et le biberon purée d'Apolline.
A midi et demie, tout le monde est rétamé.
Alors, dès 13 heures, au lit!
Gilles et Bastien ne se rendent même pas compte qu'Emma vient récupérer Apolline, qui dort profondément, vers 14 heures.
Ils ne se réveillent qu'à 17 heures!
Et sont, du coup, tout à fait en forme (en fait Gilles est sans doute malade) pour jouer au "stiques" de Papi jusqu'à ce que Simon vienne récupérer Bastien.
Il fait nuit noire, de nouveau... Enfin presque.
Nous avons des nouvelles de nos voyageurs, qui ont passé quelques jours (nuits?) en Laponie, et de Colette qui se remet de son opération du cou.
Nous voilà déjà jeudi.
Il fait encore nuit quand je pars.
Et déjà quand je reviens de ma journée de travail. Et quelques courses (mercredi dernier, comme nous étions moins nombreux Gilles n'avait pas fait de courses, ce mercredi, il dormait), je n'arrivais plus à cuisiner quoique ce soit avec les réserves du placard et du congélo (que faire avec 6 boites (!) de légumes à couscous (Beurk!)). Et la petite dame que je covoiture. Et Suzanne à aller chercher à l'arrêt du bus (elle a une journée off ce vendredi).
Et... Voilà!
Ah! Non, il reste les feux à entretenir, le repas à faire... Et...
Nous voilà déjà vendredi. Il fait nuit...
A 8 heures je ramène la petite dame chez elle et, hop, au boulot!
Vivement le week-end!
 

4 commentaires:

  1. Je suis très admirative que tu arrives en plus à écrire tout ça dans tes journées complètement dingues :)

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    1. Mais, en fait, en écrivant je m'allège... Et puis c'est trépidant mais très positif, non?

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  2. oui bravo à toi!
    depuis quand on ne vit que pour nos weekends? a quel moment ca a basculé? en tout cas moi c'est comme ça....
    virginie

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