L' Août y es-tu?

Nous sommes, nous dit le calendrier, au mois d'Août.

Mais le jardin nous dit: "Mai". Ou Avril, voire Mars (giboulées caractéristiques).

Heureusement, nous sommes, lors des derniers jours de juillet, avec Coline et Clovis parvenus à trouver une trouée suffisante, deux ou trois jours de suite, pour aller dans le bourg utiliser le terrain de boules.

Il s'avère que je ne suis pas complètement nulle... En tout on s'est bien amusés.

 

 

Samedi, en fin d'après midi, la petite Apolline est venue, avec ses parents, faire un tour de bras (un petit peu avec tout le monde). 

 

Et puis dimanche (on était encore en juillet, je sais) nous, tous les Allet du Loir et Cher, sauf Clovis qui se remettait d'une soirée et Arthur qui travaillait, sommes allés nous cailler (surtout Gilles qui n'avait pas anticipé le vent) à la brocante de la commune où habite Colette (et où j'ai travaillé 30 ans).

 

Nous avons trouvé des moules à bonbons pour Arthur, une lampe de cour pour nous (il s'est avéré que nous en avions une quasi identique en réserve: il faut croire que nous avons de la constance (à défaut de cohérence (si nous l'avions pourquoi ne l'avoir pas installée?!))).

 

Nous avons inauguré la pleine lune et le mois d'Août en "gagnant" presque 40€ chez le ferrailleur.

 

C'est là que la dépression "Patricia" a commencé (continué) à nous arroser, beaucoup (en fait c'est la mousson).

 

Et j'ai fait 3 kilos de confiture de prunes (le vent les a toutes mises à terre, toutes en même temps!!!). Puis, avec l'aide de Coline 3 litres de jus de prunes (Si vous êtes intéressés par des prunes vous savez à qui vous adresser! Et les donner nous soulagerait).

Et puis en fin d'après midi Apolline est arrivée, sa maman sortait (sortie de filles avec la maman de Bastien), et nous étions de garde. Puis ce fut le tour de Bastien (et son papa) qui a trouvé que partager sa mamie c'était... Heu... Bizarre (il a vite été rassuré). 

 

Là dessus sont arrivés Colette accompagnée de Manou, Pierre, Zoé et Zazie qui sont venus manger à l'occasion de leur passage estival.

 

 

Et depuis ce matin, encore secoués par le vent, noyés sous des trombes d'eau (c'est la mousson), nous nous activons à l'intérieur (un coup de main à Simon chez Colette ce matin, ponçage des marches de l'escalier des enfants pour Gilles, dernier plan de travail pour moi). 

 

Là, malgré une migraine tenace, je vais essayer de faire quelque chose de la courgette que Victor nous a apporté...

Et vous les vacances, ça le fait?