Cuisine phase 3, suite (et pas fin), avec l'épareuse, suite (et, on espère, fin).

 Jeudi après midi...

...la sieste a été écourtée par un ancien voisin (ils sont partis il y a 20 ans) qui est passé dire bonjour. 

Et, comme Simon avait levé la main pour effectuer les coupes, le biseautage et le ponçage des planches destinées à embellir, fignoler, la cuisine, c'est chez lui, Cynthia et Bastien, où Emma et Apolline sont arrivées, que nous avons terminé l'après midi.

Arthur et Suzanne nous ont rejoint et nous avons passé un bon moment.

Grâce à Simon, aidé de Gilles, les planches étaient prêtes vendredi et, hop! Le dessus de la crédence (la planche n'est pas jaune, elle est protégée de scotch de masquage)..

...et hop! Le dessus de l'étagère du frigo (à coté du frigo)(le coffrage qu'elle couronne entoure une excroissance terreuse du mur).

 

Nous étions en train de boucher/cacher les trous des vis avec des chevilles quand un brouhaha inhabituel a agité le "quartier". Pas le même fracas que quand nos plaques de protection de regard ont été désintégrées mais...

 

Voilà, voilà, le gars à l'épareuse, de retour, doit se maudire (à moins que ce soit nos quelques dizaines de mètres de route qui le soient, maudits). Où alors le stress de travailler dans notre petit coin le fait dérailler?

Cette fois c'est le poteau (qui, à sa décharge, avait pas mal de gîte et était complètement pourri du pied (et du reste aussi)) du téléphone (et de la fibre! Un voisin était particulièrement inquiet pour le câble de la fibre) qu'il a couché, cisaillé.

 

L'adjoint, puis le maire, et les voisins présents, ont pris des mesures d'urgence: alerter orange (propriétaire du poteau), sécuriser les lieux (pose de panneau (hors d'âge aussi, le panneau)), guider des câbles (attachés à notre portail de derrière et enrubannés de "rubalise", merci Gilles).

 

Depuis hier (et pour une durée indéterminée. Un câble tient attaché au milieu (à mi hauteur) d'un poteau avec un bout de ficelle depuis dix ans le long de la route en bas), donc, d'aérienne la ligne téléphonique est devenue... Routière.

 

Voilà, voilà... Sans doute inspiré par l'affaire Gilles à fait le contraire et est passé du terrien à l'aérien (il a le vertige, je vous le rappelle): escabeau sur table...

 

Avec Clovis en parade.

Bref, tranquillement, et sans incident majeur, la réfection de la cuisine avance.