Gilles est au désespoir quand il pense que ses cuves sont pleines...
Et que ces pluies nocturnes, ou non, sont "perdues" (j'espère qu'elles réussiront à remplir quelque peu les nappes phréatiques (elles auraient du mérite parce que les champs drainés (?!!) les recrachent illico dans les fossés)).
Donc, le temps n'est pas à l'été. Ou à l'été mouillé.
Alors c'est à l'intérieur que l'on a mangé, mardi soir, avec David, Manue et Gary.
L'objectif annoncé, à part de passer un bon moment ensemble (ce qui fut fait, et bien fait) était de fignoler le tracé des deux jours de randos prévus en Août (avec un meilleur temps commandé, bien entendu!). Et je crois qu'on est arrivé à quelque chose de... Pas mal!
Mercredi soir c'est Simon, Cynthia et Bastien qui sont venus manger. Et Bastien est resté dormir.
Cela lui a permis de faire une belle nuit (jusqu'à 9h20), pendant que ses parents allaient dès poltron minet à Tours où Cynthia se faisait opérer du mollet (nerf compressé).
Sur sa lancée, après avoir balayé les pâtes tombées à terre pour les chiens, il a enchainé sur une chouette sieste de plus de deux heures. Qui l'a mis en pleine forme pour accompagner mamie qui nettoie le jardin (les ronces deviennent amoureuses avec ce temps. Et moi je ne suis pas amoureuse des ronces. Et puis certaines des grosses plantes en pot de Victor n'ont pas supporté la chaleur (il aurai sans doute suffit de résister un peu, jusqu'à la pluie..) et... Arroser?
Si, si, maintenant qu'il a un arrosoir à sa taille, il ne faut absolument pas omettre de mettre de l'eau sur son short les fleurs!
Pendant ce temps, entre les courses, les invités, son petit-fils, Gilles a recouvert l'ensemble de la maison de poussière avant de penser à "bâcher" poncé, une fois, deux fois, au moins, la table de la cuisine ("Si je connaissais le c*n qui a mis autant de vernis!" (Heu... C'est lui)).
Ce qui m'a permis, ce matin, de faire deux passes d'huile de protection (qui, nous l'espérons, ne poissera pas comme le vernis).
Gilles lancé rien ne l'arrête plus! Il fait un sort au plan de travail (retouches à prévoir sur le noir de la crédence, là où la ponceuse... frôle)("Si je connaissais le c*n qui a mis autant de vernis!" (Heu... C'est lui))(plan de travail à travailler: plan de travail à déménager, puis, à réaménager, jusqu'à ce que la boucle recommence).
Rien ne l'arrête plus, à part la jeune femme qui est venue acheter le piano de cuisine en rentrant de ses vacances. Il a fallu des bras pour aller coucher la bête dans son utilitaire de poche, entre son matelas et ses chiens. Heureusement Michel et son fils son venus prêter main forte et, envoyé, c'est pesé (c'est lourd, ils confirment)!
Le piano de cuisine était à peine un souvenir, déjà, que l'orage nous a arrosé (seulement arrosé).
Bien, bien, et à répétition, arrosé!
Et... Voilà! Je viens de terminer le ménage du jour (ponçage prévu demain encore (et sans doute après demain aussi))(plan de travail à travailler: plan de travail à déménager, puis, à réaménager, jusqu'à ce que la boucle recommence) je vais aller profiter de l'eau... De la salle de bain. N'est ce pas?