Quand la rumeur a commencé, quand Gilles m'en a parlé, quand c'est sorti dans le journal, quand c'est passé à la tv, j'ai su que j'en serai.
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Et hier, ça n'a pas raté. Gilles m'a apporté l’enveloppe en ronchonnant: "une amende".
Potentiellement, à la vue des dates, je peux en recevoir deux autres: chaque lundi matin, autour de 6 heures, je passe à cet endroit pour conduire Suzanne a son covoiturage...
Avec les radars embarqués et les sociétés privées qui sont 24/24 à nous traquer, on va bientôt être aussi nombreux à devoir marcher à pied pour toutes nos activités quotidiennes (aller à l'école, au boulot, chez le médecin, à la poste, quand il y en a, dans un périmètre raisonnable, ou chez le boulanger, que ce que nous étions de manifestants selon les organisations syndicales, avant hier ! Bref, cela devient invivable dans ce pays qui se compare si souvent à une grande puissance civilisée. Bon courage !
RépondreSupprimerIl n'y a rien de ce que tu cites que je puisse faire à pied.
SupprimerC'est le principal problème de vivre à la campagne...
Ahhh c'est frustrant ce genre de truc, que d'argent perdu pour rien! (Mais console-toi, c'est bien pire en Suisse depuis toujours, du genre tu fais 3 km/h de trop et paf, 100 balles d'amende!)
RépondreSupprimerEn fait là, je ne paie pas. C'est le radar (le technicien qui l'a réglé) qui a fait une erreur.
Supprimerj'espère pour toi que cela ne va pas être trop compliqué de ne pas payer ces amendes... parce que l'administration... pfff...
RépondreSupprimerPour l'instant je fais la morte...
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