Il n'y a pas grand chose à dire mais moi je dis...

...que mon rhume arrive à sa mort naturelle (8 jours, il est dans la norme du rhume annuel (je l'espère!)). 

 

J'étais donc nettement plus en forme pour le "jour de Bastien".

Bastien et "je touche à tout avec papi" (il suffit de demander en tendant le doigt). 

Bastien et le "banap" (en charabia bébé: le chien).

Cette fois Victor n'a pas raté Bastien (la semaine dernière nous étions à la médiathèque quand il est passé déposer son chien (il travaille chez Colette)).

 

Il a pu jouer avec lui dans la cabane (bon Victor ne rentre pas dans la cabane, les épaules ne passent pas). L'un et l'autre étaient ravis! (C'est cool chez papi et mamie, il y a des tontons qui entrent et sortent, qui prennent le temps de quelques facéties, de quelques pitreries, lui faire faire un tour de tracteur ou de balançoire, avant de disparaitre (Bastien ne s'y trompe pas, quand il aperçoit du coin de l’œil, l'un ou l'autre, le sourire s’agrandit...))

 

Victor parti, Gilles aussi, nous sommes sortis et nous avons essayé de ramasser les tomates vertes...

Mais il y avait beaucoup, beaucoup, de tomates à ramasser.

 

Alors c'est à Arthur que j'ai demandé de l'aide, une fois Bastien rentré chez lui, une fois la sieste terminée. 

Nous avons travaillé tous les deux de concert et j'ai apprécié. 

Vous savez, papoter, de choses importantes, au milieu de petits riens. Sans se regarder vraiment, les mains occupées...

 

 

Et c'est avec 5 kilos de "matière préparée" que je me suis retrouvée.

 

 

Pour quelques pots de confiture (cuite jeudi matin entre 5h30 et 7h, puis, pour la seconde fournée, entre 18h et 19h30)...

 

(c'est là qu'Arthur m'a avoué qu'il n'avait jamais goûté!!! ("tomates vertes" ne semble pas vendeur) Mais que cette fois il essayerait)

 

Après avoir été chercher Clovis à sa leçon de conduite (le mercredi soir il n'y a pas de bus pour rentrer le la ville), et avoir discuté avec lui de choses importantes, au milieu de petits riens, sans se regarder vraiment, les mains occupées par le volant (C'est l'avantage de ces kilomètres effectué avec les enfants/jeunes, ces plages de papotages, instructifs, enrichissants...) j'ai mijoté une sauce, avec les quelques tomates mures, qui disparaitra au fur et à mesure des repas (heureusement c'est Gilles qui a cuisiné ces derniers jours!)...

 

Voilà, il n'y a pas grand chose à dire...

Mais je le dis quand même.
 

Le temps est plutôt à la pluie, à l'orage, l'humeur est sur le mode automne, fatigue physique (Gilles a le dos raide d'épuisement) et envie de calme. Sans doute ce que nous allons cultiver dans les jours à venir, quand Suzanne sera rentrée.

Pour les vacances à venir. Avec l'option visite d'amis en mal de campagne s'ils en ont envie...