Bonne nouvelle et nouvelle vie.

L'agenda de vendredi était déjà bien rempli quand Victor nous a invité à manger le soir. Ce soir là, spécifiquement. Ok...

Gilles, Arthur et Clovis y sont allés de leur coté, Suzanne et moi les avons rejoint, plus tard.

Plus tard parce qu'avant j'ai quitté l'école dès mes élèves remis à leurs parents, au taxis de transport spécial.

Pour filer vite fait, une heure de route, récupérer Suzanne chez D, déménager sa valise lestée dans le coffre et nous rendre au lycée.

Pour la réunion de rentrée. Heu... Horaires, emploi du temps (subtilités des semaines A, impaires, B, paires, conseils judicieux (mais poncifs et plats), déjà en ligne et/ou déjà...) Bref!

Nous avons eu chaud, soif et envie de pipi, avant de pouvoir, décemment, nous glisser entre les pattes de la prof principale et hors de la salle d'arts appliqués.

Puis nous avons erré dans les méandres d'un nouveau quartier, chaque coin de rue balisé de murs de gabions, sans numéro sur les maisons disparates, à peine entourées de bandes de jardins clôturés de barrières en plastique. Nous avons fini par trouver la bonne adresse, celle avec une polo devant, pour constater que si la douche d'occasion me convient parfaitement elle ne rentre pas dans la voiture (ou alors nous aurions fait le voyage de retour avec le coffre ouvert). Rendez vous pris pour plus tard, avec le véhicule qui va bien, nous avons tracé (moi, Suzanne s'est téléportée, s'endormant très rapidement, ne se réveillant que quand nous avons été ralenties par un accident) jusqu'à chez Victor et Emma.

Où nous avons pu profiter de l'apéro, du repas (nous étions affamées, il était 21h30) et de la bonne nouvelle: Victor a une promesse d'embauche, CDI, avec des conditions très avantageuses.

Génial!

Samedi j'ai eu du mal, du coup, comme nous nous sommes couchés tard, à ce que Gilles, Arthur, Suzanne soient à l'heure pour le départ.

Mais nous ne sommes pas arrivés les derniers chez Annaïg et Hervé.

 

Où une quarantaine de personnes s'étaient réunies...

 

...pour fêter la nouvelle vie d'Annaïg (en disant adieu à la précédente, dans les bras étouffants de l'éducation nationale).

 

Outre l'apéro, le repas, les chants des ex collègues, amies pour toujours, des ateliers accueillaient les convives:...

 

 

...percussions,...

 

....jeux,...

 

...méditation...

 

...(ils ont disparu au fond des bois pendant une bonne heure et sont revenus tous souriants)...

 

 

...atelier d'écriture,...

 

...construction de nichoirs...

...peinture...

Et beaucoup, beaucoup, d'amitié.

Bonne nouvelle vie à Annaïg! Et à Victor!