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lundi 18 avril 2022

Quelques (nombreux) pas de coté. Jour 2.

Nous nous étions quittés pour quelques heures de sommeil bien méritées (mais pas toujours gagnées, entre le voisin de la chambre contiguë ronfleur ou l'estomac en vrac).
(perso j'ai parfaitement bien dormi, Gilles aussi) 


Nous nous sommes retrouvés pour le petit déjeuner en forme et d'excellente humeur. 


Il en fallait, de la forme, et de la bonne humeur, pour attaquer,...


...dès poltron minet (avant 10h), le circuit de "vallée de misère".


Qui nous a jeté dans une cote...


...qui nous a menés aux sommets!


Puis, comme il fallait s'y attendre,...


...nous a fait redescendre...


...retraverser la Sarthe (Fier, le gars!)...


 ...et la vallée...


...sous un ciel estival...


...pour attaquer l'autre versant.


Un voyage de quelques kilomètres qui nous a mené bien loin de notre quotidien.


Partageant, au gré des pas, avec l'un, avec l'autre, des paysages, des émotions...


...et des mots.


Houps! Nous voilà, l'espace de quelques centaines de mètres, perdus...


Bonne occasion de découvrir pourquoi le resto de la veille s'appelle les "Ardoisières". 


Nous avons contourné les trous qui furent des carrières.


Avant d'atteindre le sommet de la butte de Narbonne.


Recto bucolique...


....verso...


...fantastique.


Et c'est là que nous avons croisé une jeune femme (nous n'avions pas croisé 10 personnes (à part la vingtaine de pompiers, en exercice) ) qui a reconnu Manue!


Une amie de sa sœur... Croisée, il y a longtemps, lors d'un anniversaire...


(un écho au serveur propriétaire de Cochmout? Quelle "chance" de discuter de ces bestioles dans ce resto et devant cet homme là?)
La boucle de la vallée de misère s'est refermée sur l'annonce de la naissance attendue dans la famille de Blandine (et quelques récits (dès qu'il y a des mères!!!) d'accouchements) et un repas en terrasse à la cave à bière (où les pauvres apprentis serveurs n'ont pas vécu leur meilleure journée (pas cool, la patronne, organisation à revoir)).
Repus (et ayant démêlé les différentes formules pour pouvoir payer la (juste) note) nous avons embarqué (une vingtaine de kilomètres au Nord) pour le sommet.




Depuis je cherche... Qu'ai je fait, qu'avons nous fait, à Pré en Pail?
Ce nom éveille un écho très lointain (mon adolescence? Les scouts? Notre jeunesse sarthoise? Un mariage?).


Le belvédère se dresse minéral et sévère d'un coté, coloré et écrasant de l'autre.


Offrant une vue à 380° à ceux qui arrivent son sommet.
Moi j'ai du redescendre après avoir atteint le second plateau, estomac retourné, tête bourdonnante (j'ai mis une heure a retrouver pleinement mes esprits).
Avec Caroline, descendue, comme moi, avant le sommet, nous avons entendu les héros de hauteurs glousser et éclater de rire, rejouant le radeau de la méduse sur le plateau qui se trouve au sommet (inspiration bizarre?).


Ayant récupéré tous nos co randonneurs nous avons repris la marche sur le sentier du mont des Avaloirs.


Nous sommes passés au pied de certains qui sont définitivement au bout du voyage.


Une "salle" de réunion/de réception...


Autres paysages, plus "fermés".


Plus sauvages, plus humides.


Quasi à la source de la Mayenne.


Les derniers pas, les derniers moments...


 ...nous amènent à cette conclusion:

Ces jours en off, avec cette compagnie, ne peuvent être que les premiers d'une belle série!
Merci amis.

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