D'un claquement de doigt. Ou, pourquoi j'ai l'impression d'avoir fait un marathon.

Le temps semble avoir passé en un claquement de doigts. Nous nous sommes quittés lundi. 

Je lessivais les murs du salon.

Mardi, idem. 

Puis j'ai poncé, poncé, poncé, ces mêmes murs (qui étaient recouverts d'un enduit de papier avec des aspérités... Datées, passées de mode elles aussi). J'ai, littéralement, recouvert la maison de poussière... Je m'en suis rempli les nasaux, les oreilles, les yeux.

J'ai fait quelques tas dans lesquels les chats ont pissé dans le court intervalle pendant lequel j'ai tenté de faire une sieste!!!

Je ne suis sortie que pour conduire Clovis a son stage. Puis le ramener chez son pote (puis aller le chercher à 3 heures du matin quand il n'en a plus pu des gens et du bruit).

Gilles a effectué les autres allers retours en plus des courses.

Mercredi matin nettoyage.

Un premier nettoyage.

Mercredi après midi, re poussière.

Chez Simon cette fois, où Gilles a nettoyé les poutres pendant que j'aidais Simon à poncer les angles.

Là aussi nous nous en sommes remplis les nasaux, les oreilles, les yeux.

Et les cheveux!

Une fois dépoussiérée j'ai préparé le repas de fête.

Suzanne a fait un gâteau très apprécié sur lequel Simon a soufflé ses bougies.

32 ans... Quand je vous dis que le temps a passé d'un claquement de doigt!

Et hier... Pendant que Gilles dépoussiérait les meubles, lessivait les sols, de toute la maison, j'ai bouché les trous, masqué poutres, plinthes et portes avant de passer la première couche sur la moitié des murs (monter, descendre de l'escabeau... Presque un marathon, moi je vous l'affirme).

Et, bien...

Ca éclaircit. Sans contestation possible.

Au programme d'aujourd'hui, fin de la première couche (un mur et demi) et pose de la seconde.