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vendredi 24 décembre 2021

Beau [temps], bois [de chauffage] et bouquin [le 11éme].

Nous avons eu beau temps.
Très beau temps!
Très froid aussi, sous la barre du zéro toute la journée...
Mais, bien couverts et en activité c'était drôlement agréable!


D'autant que j'ai désormais un nouveau point de vue à photographier avec la quasi disparition du hangar qui nous bouchait le paysage derrière la maison.


En activité, donc, pour se réchauffer:
5 stères livrées à midi, 5 stères entassées bien propre, sur deux rangées, avant le milieu de l'après midi (avec une pause pour le repas et avec l'aide précieuse d'Arthur et de Suzanne (chacun son tour)).
Nous voici donc parés pour la chaleur.


Parés aussi pour la soirée à venir (papiers cadeaux ok. Préparatifs des repas planifiés (Olala! Il reste tant à faire!!!)).


Tout cela ne m'a pas empêché de terminer le 11éme livre du carton/cadeau de mes collègues/amis.
Et celui ci est annoté.
En rose, bien sûr! Merci Camille!
Avec le recul partager ma vision de l'école, et ma façon d'en être directrice avec toi, avant de partir, a été symbolique. Je suis partie sans regrets, transmission effectuée.
Surtout que je n'avais pas grand chose à t'apprendre.
Et que j'y ai "gagné" une amie.


Babélio dit: 
Résumé : Le Livre des Reines est une saga familiale qui s’étend sur quatre générations de femmes prises dans le tourbillon tragique des guerres intestines au Moyen-Orient – au cœur de territoires de souffrance, du génocide arménien au conflit israélo-palestinien, en passant par les luttes entre chrétiens et musulmans au Liban et en Syrie. Reines d’un jeu de cartes mal distribuées par le destin, Qayah, Qana, Qadar et Qamar constituent les branches d’un même arbre généalogique ancré dans la terre de leurs origines malgré la force des vents contraires qui tentent à plusieurs reprises de les emporter. Une lignée de femmes rousses unies par les liens du sang – qui coule dans leurs veines et que la violence a répandu à travers les âges – et par une puissance et une résilience inébranlables. Avec la parfaite maîtrise d’une écriture finement ciselée, Joumana Haddad parvient à construire un roman d’une extraordinaire intensité, sans jamais sombrer dans le pathos ou la grandiloquence.

Moi je dis:
Mais que de malheurs!!! 4 générations de femmes qui se transmettent la tragédie de leurs origines. 
La tragédie du Moyen Orient.
C'est bien écrit. Pas léger, mais pas lourd non plus.
Tant de douleurs, non dites.
Tant d'incompréhensions entre générations, dans les couples...
C'est comme une spirale de douleur qui se referme sur elle même de l'arrière grand mère à la petite fille... Qui s'interrompt dans une ultime incompréhension, bourreaux et victimes étroitement liés.

Bon, j'en fais une critique noire. Mais c'est un bon livre. Que je n'aurai sans doute jamais choisi, et donc jamais lu, si on ne me l'avait offert.
Merci!

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