Ce livre là n'a pas de petit mot sur la deuxième de couverture.
Babelio en dit:
Face au mal qui se propage et qui a tué sa fille. Pour les millions de victimes passées et les millions de victimes à venir. Virgil Solal entre en guerre, seul, contre des géants.
Moi j'en dit:
Que les personnages, attachants pourtant, ne sont pas l'essentiel du roman. Ils servent, avec l'intrigue, à porter une charge virulente contre ce qui mène le monde à sa perte. Les grandes entreprises, les plus riches et les actionnaires qui les possèdent, avec la complicité active des gouvernements. Polluant, détruisant, la planète, les uns en toute conscience, les autres en toute lâcheté (ou profitant des miettes).
Je l'ai lu par "petites bouchées", chapitre après chapitre. Le lire d'une traite aurait été angoissant...
Reste que le constat dressé l'est, angoissant (et il s'appuie sur des références documentées).
Est-il trop tard? Comment arriverons nous à infléchir, virage à 90°, la marche du monde qui nous mène au néant?
C'est un livre auquel je penserai, sûrement, quand je cuisinerai, quand je manierai un pinceau (Non, Camille, les toilettes ne sont toujours pas peints), quand je désherberai...
Et de cette réflexion.....
Merci à celui, celle, qui l'a choisi pour moi.
Quelqu'un est intéressé? Je le prête à qui le demande.
C'est un livre qui paraissait effectivement puissant et bien écrit. Je l'ai entendu chroniqué sur Inter mais pas encore lu... Je te le piquerai avec plaisir, Anne. Petite suggestion : tu pourrais enchaîner ensuite sur des livres avec petit mot sur le 2ème page car ceux qui en ont suggéré plusieurs n'ont mis de mot que dans un seul, je pense (c'est mon cas en tout cas �� ).
RépondreSupprimerJe te l'amène demain.
SupprimerJe pioche les livres au hasard. Et le hasard a voulu que c'est sur le livre sur lequel tu as mis un petit mot sur lequel je suis tombée (tu voulais me faire pleurer?) alors... Il faut juste que je finisse de la lire (et c'est un pavé!).