Se reposer dans un état inconscient, de sommeil.
(Cela faisait quelques heures que je cherchais le mot en D à définir quand je me suis tombée d'accord avec moi même sur le verbe Dormir. Mais j'ai hésité avec le nom Deuil. Je pensais au suicide de cette collègue. Morte dans "son" école. Mais cela aurait été une trop difficile conjugaison de mes deux précédents articles, Absence et Boulot. Et puis je ne la connaissais pas personnellement... Je ne suis pas légitime pour parler de l'horreur de mourir pour ou par son boulot. Alors... Dormir. verbe du 3éme groupe.)
J'en rêve souvent.
Bâillant à m'en décrocher la mâchoire tout en faisant réchauffer mon frichti, après une matinée de bureau, ma collègue commente: "Un bon bâilleur en fait bâiller sept!"
Rentrant de chez le médecin où j'ai emmené Suzanne (laryngite), hier soir, je bâille aussi... Je crois que j'aurais pu m'endormir dans la salle d'attente. S'il n'y avait eu cet enfant étrange qui frappait le mur...
Je suis une dormeuse. Du genre croisement entre une marmotte et un loir.
Je deviens ronchon quand je n'ai pas mon compte de sommeil.
J'ai cru mourir de fatigue pendant la période (deux ans et demi) où Arthur ne faisait pas ses nuits.
Oui, dormir... Mais... (Il y a toujours un mais!) Dans mon lit. Pas devant la TV, comme Gilles, qui y fait sa pause post trimage, pas sans lire, un minimum, pour décrocher, pas avec du bruit (et surtout pas le bruits de conversations ou de rires en boite).
Toutes les conditions réunies (Gilles ayant baissé le son de la TV, de sa tablette) je m'endors très facilement. Mais... (Il y a toujours un mais!) Je me réveille tout aussi facilement.
Je ressent la maison, littéralement. J'entends le micro onde, je perçois l'ouverture de la porte, je sent l'odeur d'un caca de chien intempestif (si, si...).
Et puis j'ai cette vessie de mémé qui m’oblige à me lever bien trop souvent.
Et puis j'ai cette vessie de mémé qui m’oblige à me lever bien trop souvent.
Je me rendors relativement bien. Surtout quand les temps sont zens.
Mais, le temps qui passe me grignote du temps de sommeil. Je n'arrive plus à me rendormir le matin. Je n'arrive plus à faire de grasse matinée.
Dommage.
Mais je me rattrape à la sieste. Dès que cela est possible (voir les conditions nécessaires ci dessus) je fais une sieste de 20 minutes...
Et là gare à celui qui me dérange (genre les nuisibles télévendeur d'isolation à 1€)!!! Je peux être très très fâchée. Et quand je suis fâchée...
J'en rêve aussi ! Je ne dors que si je sais que tout le monde est en sécurité : je ne dors que d'un œil si l'un de mes jeunes est de sortie et je m'éveille au plus léger bruit quand ils rentrent. Et en ce moment, je suis réveillée par mes douleurs d'épaule, par un coup de trop chaud, un coup de trop froid, par Guillaume qui est réveillé par son boulot… et aucun de nous n'arrive non plus à dormir tard le matin. Donc je valide la sieste, quand je trouve le temps de la faire (sauf que si je m'endors c'est plutôt pour une bonne heure !)
RépondreSupprimerOui, c'est ça! Dormir seulement quand tout le monde est en sécurité! C'est grâce à cette capacité d'attention même en dormant que nous ne sommes pas tous morts ( https://blogallet.blogspot.com/2008/01/on-la-chapp-belle.html ).
SupprimerDormir ? y'aurait pas un dictionnaire pour que je comprenne ce mot ? ;)
SupprimerCe matin je suis fatiguée en me levant. Très mauvaise nuit...
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