Nous avons eu froid...
Mais la neige n'est jamais venue.
Elle a été remplacée, après le gel, le verglas matinal, par une pluie froide et insistante.
Victor a trainé son mal de tête au long des jours, Paris, pas Paris,...
Gilles a eu mal au ventre mais ce n'est pas à cause des douceurs suisses reçues, colis surprise!
Merci Marie-Ange!!
Nous pensons à vous en passant devant le chocolat et le faisons durer pour prolonger le plaisir. Suzanne a pris la petite poule pour son porte clef.
Mercredi matin.
Pendant que j'étais, avec les collègues de cycle 3, enfermée en classe pour être formée aux "bonnes méthodes" en matière de fractions.
J'ai bien fait de profiter du trajet pour y aller pour faire des photos parce que quand nous sommes sortis, à midi, c'était fini.
Le gris était de nouveau de mise.
Suzanne est retournée au collège jeudi et elle est restée, épuisée par la toux, à la maison vendredi.
Vendredi, Victor est retourné à Paris.
Pour prendre un train pour Quiberon.
Gilles a trainé son mal au ventre au travail, à la maison.
A l'école certaines classes se sont vidées.
La liste des enfants malades, grippe, gastro, rhino et autres joyeusetés, c'est allongée.
Deux de mes collègues sont rentrées chez elles ce vendredi soir aussi malades que leurs élèves.
Et puis il y a eu, vendredi après midi, ce petit élève de ma classe qui a glissé dans la cour.
Et n'a pas pu se relever tellement il avait mal à la jambe (il s'était déjà blessé la semaine dernière au même endroit, se faisant renverser par le dogue de son voisin).
Avec sa maman, accourue très vite, nous avons attendu l'ambulance, assises à son chevet, au milieu de la cour.
Au dernières nouvelles il doit se faire opérer, transféré à l'hôpital pédiatrique régional, la jambe est cassée.
Voilà, voilà...
Les jours rallongent mais pas le temps. Il file sans que l'on s'en rende vraiment compte.
La fatigue se fait déjà, encore (?), sentir.
Ce matin j'ai dormi, c'est extraordinaire, jusqu'à 8h!!!
Pour trouver la table pas débarrassée, le feu éteint, le poêle idem (faute de granules. C'est pourtant pas faute d'avoir demandé le ravitaillement à ceux qui se couchent tard).
Les jours rallongent mais je sens que, même si nous n'avons rien de particulier de prévu et que le temps est moche, le week-end va passer plus vite que le temps pour le dire...
Ce temps qui nous manque, où le trouver ? Parfois j'ai l'impression qu'il en faudrait le double et encore, par sur d'arriver à tout caser dans la journée. bon WE à toi.
RépondreSupprimerWeek-end plus... Calme. Pour l'instant.
SupprimerQuand je travaillais, tout allait vite .. les jours de la semaine comme le week-end ! Maintenant c'est tellement différent :-)
RépondreSupprimerC'est bientôt les vacances...
SupprimerLe week-end passe toujours trop vite (ou peut-être qu'on l'idéalise trop à l'avance : je ferai ça, ça et ça… et c'est déjà fini) Soignez-vous tous bien (et je râle avec toi our la table pas débarrassée et le poêle pas chargé, c'est usant d'être toujours celle qui pense à tout
RépondreSupprimerIl passe vite... Et, oui, c'est usant!
SupprimerPfff ! pas drôle la réunion, pas drôle le poêle éteint , pas drôle la jambe cassée, les malades et tout et tout ! Je crois les doigts mais ici on s'en sort mieux pour l'instant ! Week-end dernier toute seule, ce wee-end plus trois à la maison, chouette ! je prends le temps même si je n'en ai pas, c'est ma façon de faire maintenant ! j'ai changé de priorités ! Non, mais !
RépondreSupprimerJ'ai réussi à profiter, un peu, de ce week-end.
SupprimerLes nouvelles ne sont pas très bonnes et j'en suis désolée :( !
RépondreSupprimerVendredi matin, l'effectif de ma petite classe était réduit de moitié pour cause de virus et j'ai passé une partie du week-end avec mon dernier petit-fils tout fiévreux dans les bras. Moi pour le moment, ça va, je résiste !
Je tiens le choc, moi aussi. Deux de mes collègues sont malade mais je suis toujours debout.
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